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Aide pour les poumons de bébés prématurés

La DBP est une affection parfois mortelle et fort commune chez les nourrissons prématurés. Les chercheurs de l’Université de Californie, à Los Angeles, se sont penchés sur le problème et ont levé le voile sur les propriétés médicinales de la curcumine de safran.

Selon les dires du Dr Virender K. Rehan, principal auteur de la recherche, ce sont deux bébés prématurés sur trois qui développeront la DBP.

En raison d’une insuffisance respiratoire, les bébés prématurés ont souvent besoin d’aide dès leur naissance, et les traitements actuels comportent des effets secondaires désagréables.

Publiés dans l’American Journal of Physiology, les résultats de leurs recherches décrivent comment le composé offrirait une grande protection pulmonaire durable, et ce, pour les trois premières semaines de vie, moment critique pour les prématurés.

Aussi appelée « diféruloylméthane », la curcumine de safran était déjà connue pour ses effets antioxydants, anti-inflammatoires et antimicrobiens. Il s’agit en fait du pigment du safran qui sert communément à épicer les plats de curry.

Connaissant maintenant ses propriétés protectrices contre les lésions pulmonaires, nous pouvons avoir espoir en un éventuel traitement amélioré pour les bébés nécessitant l’oxygénothérapie.

a DBP est une affection parfois mortelle et fort commune chez les nourrissons prématurés. Les chercheurs de l’Université de Californie, à Los Angeles, se sont penchés sur le problème et ont levé le voile sur les propriétés médicinales de la curcumine de safran.

Selon les dires du Dr Virender K. Rehan, principal auteur de la recherche, ce sont deux bébés prématurés sur trois qui développeront la DBP.

En raison d’une insuffisance respiratoire, les bébés prématurés ont souvent besoin d’aide dès leur naissance, et les traitements actuels comportent des effets secondaires désagréables.

Publiés dans l’American Journal of Physiology, les résultats de leurs recherches décrivent comment le composé offrirait une grande protection pulmonaire durable, et ce, pour les trois premières semaines de vie, moment critique pour les prématurés.

Aussi appelée « diféruloylméthane », la curcumine de safran était déjà connue pour ses effets antioxydants, anti-inflammatoires et antimicrobiens. Il s’agit en fait du pigment du safran qui sert communément à épicer les plats de curry.

Connaissant maintenant ses propriétés protectrices contre les lésions pulmonaires, nous pouvons avoir espoir en un éventuel traitement amélioré pour les bébés nécessitant l’oxygénothérapie.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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George Michael doit faire face à un interrogatoire des policiers

Le Daily Mirror a obtenu des aveux de la police, ceux-ci étant encore perplexes quant à la façon dont Georges Michael s’est retrouvé hors du véhicule. Cependant, aucun membre de l’ordre n’a encore réussi à obtenir une entrevue avec le chanteur, toujours alité.

Selon le journal, les conditions de l’accident demeurent inexpliquées et sont « loin d’être unanimes » de la part d’experts en automobile. D’autant plus qu’il y a deux versions des faits.

Au début, il s’agissait d’un impact et par la suite d’une « expulsion » du véhicule, alors qu’hier (21 mai), on apprenait que Michael avait tenté de refermer correctement la porte de son côté à plus de 110 km/h sur l’autoroute.

Les experts affirment qu’il serait « très, très difficile » de « tomber hors du véhicule » à cette vitesse. Il y a donc de nombreux septiques.

Même le spécialiste du magazine Autocar, Colin Goodwin, affirme qu’il faudrait un réel effort pour sortir du véhicule à cette vitesse. « Il y a une immense barre d’impact au milieu de la porte, ainsi qu’un moteur électronique pour les systèmes de fenêtre et de verrouillage. »

Un porte-parole du chanteur a déclaré que Georges Michael avait très hâte de sortir de l’hôpital. Ce qui est moins sûr, c’est qu’il ait hâte de confier sa version des faits aux policiers.

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Suivi médical des mères et dés bébés : le Québec manque à l’appel

Dans un rapport déposé le 23 février à l’Assemblée nationale, le commissaire à la santé et au bien-être, Robert Salois, met en avant-plan le manque et l’absence de suivi médical chez les femmes enceintes et les bébés, pendant et après la grossesse.

Avec la pénurie de spécialistes et le nombre de naissances grandissant, M. Salois propose que le Québec s’aide en s’outillant d’un réseau de cliniques du nourrisson qui permettrait d’offrir un meilleur encadrement, notamment lors du premier trimestre de grossesse qui s’avère très déterminant.

Ces cliniques rassembleraient en un endroit des personnes qui pourraient échanger, en privé ou en groupe, avec une personne-ressource pendant et après la grossesse. Selon lui, un site internet complet avec des informations sur la petite enfance et davantage de cours postnataux devrait être offert.

Le commissaire a interrogé 200 personnes, 49 familles et 27 experts, qui ont tous conclu que le Québec éprouve de grandes difficultés et ne fait pas de l’enfant sa priorité.

La province connaît une hausse du taux de natalité depuis quelques années. En 2010, 88 000 naissances ont d’ailleurs été enregistrées. On compte 500 000 enfants de 0 à 5 ans. Selon le rapport, il semblerait que seuls 68 % des bébés ont eu droit à des visites postnatales à la maison.

Pour le ministre de la Santé, Yves Bolduc, qui a pris connaissance du document, il n’y a pas place à l’inquiétude, car toutes les femmes finissent par avoir accès à un professionnel de la santé durant la grossesse. De plus, le taux de mortalité infantile au Québec est parmi les plus bas du Canada.

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Quand les brûlures provoquent la mort d’enfants

Dans une étude publiée en ligne par The Lancet, des chercheurs des universités de Toronto et du Texas invitent les médecins qui traitent les enfants brûlés à donner plus d’attention, être plus vigilants et améliorer la thérapie pour ces patients.

Les spécialistes recommandent notamment que les patients pédiatriques atteints de brûlures couvrant plus de 60 % de leur corps soient immédiatement transférés dans un centre spécialisé pour grands brûlés.

De plus, l’enfant en question et sa famille devraient pouvoir bénéficier d’un meilleur suivi psychologique postbrûlures.

Sur un total de 123 952 morts infantiles à l’hôpital Shriners pour enfants aux États-Unis, entre 1998 et 2008, les enfants brûlés du groupe de 30-39 % TBSA ne représentaient que 3 % des décès, tandis que ceux du groupe de 90-100 % TBSA en représentaient 55 %.

Des cas de septicémie et de défaillances multiviscérales ont été trois à quatre fois plus diagnostiqués chez les enfants qui se sont retrouvés dans le groupe des brûlés à 90-100 % de leur corps.

Les chercheurs ont également constaté que la présence et la concentration de nouveaux biomarqueurs pour la fonction des organes, du métabolisme et du contrôle de l’inflammation dépendaient en grande partie du fait que le patient avait des brûlures au-dessus ou en dessous du seuil de 62 % TBSA.

Les nouvelles techniques de greffage, les traitements médicamenteux et les méthodes d’amélioration des soins ont permis de sauver davantage de vies depuis le début des années 90. Cependant, les chercheurs affirment qu’il reste du travail à faire afin de répondre au taux élevé de mortalité des personnes atteintes de brûlures couvrant plus de 60 % de TBSA.