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Wentworth Miller atteint du spectre de l’autisme

Wentworth Miller de la série télé Prison Break annonce qu’il est atteint du spectre de l’autisme.

L’acteur de 49 ans a lui-même annoncé la nouvelle sur Instagram.

«Ce n’est pas quelque chose que je peux changer… immédiatement, car être autiste est au centre de qui je suis. De ce que j’ai accompli et articulé», explique l’acteur.

La vedette se doutait que quelque chose clochait.

«L’automne dernier marquait un an que j’ai reçu mon diagnostic informel de l’autisme. Cela avait été précédé par mon autodiagnostic. Et suivi par le diagnostic formel. Ce fut un long processus», poursuit la vedette.

L’acteur qui fut de Prison Break de 2005 à 2017 poursuit.

«Le diagnostic fut un choc, mais pas une surprise. J’essaie d’en apprendre. Je réexamine les cinq dernières décennies par cette nouvelle lentille.»

Il est plutôt rare que l’on découvre souffrir du spectre de l’autisme à cet âge. Normalement, les premiers signes sont détectés à 2 ou 3 ans. Il se caractérise par des altérations significatives dans la communication et interaction sociale et les comportements, activités et intérêts spécifiques. On estime que le taux de prévalence touche 1 % de la population

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Détection de l’autisme par l’analyse du placenta

Imaginez que vous évitiez ces années d’incertitude avec votre enfant, puisque selon la gravité de la maladie, il peut être long de poser le diagnostic du spectre de l’autisme.

En fait, la recherche a été menée auprès de femmes dont l’historique familial suggérait une prédisposition à l’autisme ou qui avaient déjà eu un enfant atteint de la maladie. Le fait de choisir un échantillonnage plus ciblé et de le comparer au placenta de femmes sans historique du genre a permis de découvrir un marqueur génétique important.

Le placenta des femmes prédisposées présentait une surface rugueuse, en plus de cavités éparses, parfois jusqu’à une quinzaine. La formation de ces petits trous était caractéristique d’inclusions du trophoblaste (SIT), lesquelles étaient absentes des autres placentas.

Cette trouvaille est très encourageante, tel que le mentionne la revue Biological Psychiatry de laquelle sont tirés ces résultats. Du moins, ils sont suffisamment concluants, même si d’autres travaux s’avèrent nécessaires, pour considérer la possibilité de traitements préventifs. Ceux-ci pourraient notamment améliorer les symptômes comportementaux, puis optimiser le développement de l’enfant.