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Les tomates au service de la fertilité masculine

Les hommes qui aimeraient voir leur capacité de reproduction augmenter en puissance pourraient n’avoir qu’à se tourner vers… les tomates.

C’est ce qui ressort d’une nouvelle étude américaine, rapporte Top Santé, alors que des chercheurs auraient découvert un lien entre la consommation de tomates et la création de nouveaux spermatozoïdes.

Les chercheurs basés à Cleveland estiment même à 70 % l’augmentation de spermatozoïdes chez les hommes qui consomment des tomates, un nombre plutôt impressionnant.

L’étude abonde dans le même sens que certaines précédemment publiées, qui vantaient elles aussi les mérites du lycopène et des antioxydants, retrouvés dans les tomates, sur la fertilité. Une recherche de Harvard ajoutait également le bêta-carotène à la liste des aliments qui permettent une plus grande fertilité chez les hommes.

« Si ces résultats sont encourageants, nous devons réaliser d’autres études de plus grande ampleur pour analyser les effets du lycopène sur l’infertilité masculine. Nous devons établir quels groupes de patients tireraient le plus grand bénéfice de ce régime », résume Ashok Agarwal, qui dirige l’étude.

On rappelle en terminant que les hommes qui aimeraient tenter l’expérience et bénéficier des atouts de la tomate devraient se tourner vers celles biologiques, qui contiendraient jusqu’à 40 % plus de vitamines et plus de deux fois plus de phénols.

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Les spermatozoïdes démystifiés

Une vieille théorie confirmée, de nouveaux faits dévoilés et une meilleure compréhension du processus de reproduction chez l’homme, voilà autant de choses qui ressortent d’une nouvelle étude sur le sujet.

C’est Top Santé qui rapporte les conclusions de cette étude, publiée initialement par des chercheurs de Harvard et du Boston Children’s Hospital.

On y apprend notamment que les spermatozoïdes aiment bien « nager » à contre-courant, comme l’indiquait une théorie ancienne datant de 1876. Le déplacement de ces cellules reproductrices serait influencé par la chaleur, ou la température si vous préférez.

D’autre part, on confirme que sur la production de 200 à 300 millions de spermatozoïdes, seuls 20 à 30 se rendront à destination, avant qu’un seul vainqueur soit déclaré au fil d’arrivée.

Les chercheurs, Kiyoshi Miki et David Clapham, ont ensuite tenté des expériences sur des rongeurs, pour découvrir que la femelle joue également un rôle dans l’arrivée des spermatozoïdes jusqu’à l’ovule, en créant un « courant » qui permet à ceux-ci de remonter jusqu’à destination.

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Des chercheurs tracent un lien entre le gras saturé et le sperme faible

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui trace un lien entre des cas de sperme déficient et les gras saturés.

Ce sont des chercheurs danois qui sont en tête de ces recherches. Selon eux, le lien est clairement vérifiable. Pour prouver leur théorie, ils ont analysé les dossiers de plusieurs hommes, dont certains recevaient des aliments forts en gras saturés.

Résultat : les sujets ayant reçu plus de gras saturés que les autres dans leur alimentation ont vu leur nombre de spermatozoïdes descendre en flèche. Étonnant? Pas tant que ça, si l’on considère que plusieurs autres études du genre sur le sujet ont déjà été publiées, mais que la population semble tarder à les prendre au sérieux.

Par exemple, à l’inverse, des chercheurs brésiliens avaient déterminé que le fait de manger des grains entiers, de l’avoine et du blé pouvait contribuer grandement à une fertilité plus abondante.

Les chercheurs danois expliquent qu’ils ne peuvent encore parler de cause à effet directe, car le phénomène de la baisse des spermatozoïdes est aussi influencé par d’autres facteurs. Ces facteurs seraient par contre pour la plupart tous liés au style de vie.

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Trop de produits laitiers pourrait endommager le sperme

Le régime alimentaire d’un homme peut sensiblement faire varier ses capacités reproductives, selon plusieurs études et experts.
 
Mais de façon plus précise, une nouvelle étude annoncée par le site nlm.nih.gov déclare que les produits laitiers et les glucides seraient spécialement mauvais pour le sperme, et donc pour la reproduction en général.
 
Donc, plus un homme absorbe de lait et ses dérivés, plus ses chances de procréer diminuent, conclut l’étude effectuée à San Diego, Californie.
 
Du côté des femmes, on note des phénomènes similaires, alors que deux études sur la fertilité (in vitro) ont démontré que de hausser sa consommation de protéines tout en baissant celle de glucides leur permettrait d’augmenter leurs chances mathématiques de féconder.
 
Même si les liens sont plus qu’évidents aux yeux des chercheurs, l’effet de causalité n’a pas encore été prouvé hors de tout doute.
 
Ces plus récentes recherches ont été présentées à la réunion annuelle de l’American Society for Reproductive Medicine, par J.B. Russell.
 
Les chercheurs affirment par ailleurs que le taux de spermatozoïdes global est en déclin partout sur la planète, un phénomène appelé à grandir au courant du prochain siècle.
 
Il s’agit là d’une déclaration controversée et inquiétante.
 
Crédit photo : www.FreeDigitalPhotos.net
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Bientôt une pilule contraceptive pour hommes?

Bien que leurs études soient encore préliminaires et encore effectuées auprès de souris, les chercheurs de l’Université d’Édimbourg spécialisés en fécondité ont découvert un gène qui est la clé de la production de sperme.

Appelé Katnal1, ce gène ne réussit pas à produire à maturité les spermatozoïdes s’il ne fonctionne pas correctement, révèle l’étude parue dans PLoS Medicine.

Ainsi, le Dr Lee Smith explique : « Si nous pouvons trouver un moyen de cibler ce gène dans les testicules, nous pourrions potentiellement développer un contraceptif non hormonal masculin », rassurant les hommes que.

Il ajoute que cette pilule ne pourrait pas provoquer une baisse de libido ou des effets secondaires désagréables et que la qualité et la force des spermatozoïdes ne seraient pas affectées.

« La chose importante est que les effets d’un tel médicament seraient réversibles, car Katnal1 affecte uniquement les spermatozoïdes dans les stades ultérieurs du développement, de sorte que les premiers stades de développement des spermatozoïdes et la capacité globale à produire des spermatozoïdes ne seraient pas entravés. »

La « vasectomie génétique » pourrait être également une option. Dans les hôpitaux, le gène Katnal1 serait retiré du corps de l’homme pour éviter toute future procréation.

Finalement, il y aurait même de l’espoir pour les hommes infertiles, en utilisant d’autres gènes pour corriger Katnal1.

Les chercheurs espèrent que d’ici 10 ans, ces trois options seront possibles chez l’humain.

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Fertilité : des rapports sexuels le matin ou le soir?

Il semblerait qu’après une bonne nuit de sommeil, le nombre de spermatozoïdes chez l’homme soit effectivement légèrement plus élevé qu’au coucher.

Toutefois, selon Serena Chen, une spécialiste en fertilité au Centre médical Saint Barnabas, la différence de cellules mâles n’est pas assez flagrante pour prouver que le matin est une meilleure période pour procréer.

« Bien sûr que la quantité de sperme, tant qu’il est en santé et se rend à l’utérus pendant la période d’ovulation, n’est pas à négliger quand on veut calculer les chances de succès pour qu’une femme tombe enceinte. Cependant, la différence entre le nombre de spermatozoïdes libérés le matin ou à une autre période de la journée est si minime que cela ne peut pas augmenter les chances de fertilité », explique l’experte.

Chen conseille donc plutôt aux femmes de calculer leur période d’ovulation, selon la durée de leur cycle menstruel, pour maximiser leurs chances de succès.

Elle ajoute que les couples doivent avoir avant tout du plaisir et être détendus lors des rapports sexuels. Selon elle, ces conditions combinées risquent d’être encore plus concluantes que la période de la journée.

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Pourquoi un seul spermatozoïde se rend-il à l’utérus?

« Il s’agit d’une course périlleuse où les corridors sont étroits et où les risques de collision sont nombreux », expliquent des spécialistes en fertilité qui ont tenté de démystifier la raison pour laquelle seul 1 % des 300 millions de spermatozoïdes évacués par l’homme lors d’un rapport sexuel réussissent à atteindre l’utérus, et uniquement quelques dizaines arrivent à l’ovule.

En analysant la trajectoire des divers spermatozoïdes « gagnants », des chercheurs des universités de Warwick et de Birmingham pensent avoir trouvé un moyen d’améliorer les chances de succès lors de traitements de procréation médicale assistée.

Les spermatozoïdes nagent à travers le col, dans l’utérus et le long des trompes de Fallope. L’étude a démontré qu’ils évitent la « voie du milieu » de l’appareil reproducteur féminin et ont plutôt tendance à ramper dans les parois du canal.

Les spermatozoïdes ont de la difficulté à tourner les coins pointus et foncent souvent les uns dans les autres ou s’écrasent dans une paroi.

De plus, il semblerait que la forme du spermatozoïde peut jouer en faveur ou en défaveur d’une course réussie.

En résumé, le spermatozoïde qui survivra dans le petit labyrinthe féminin et arrivera à temps à l’ovule est celui qui est le plus en mesure de négocier avec les voies visqueuses étroites et complexes, selon les résultats parus dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences.

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Qualité du sperme et longévité vont de pair

Une recherche effectuée de 1963 à 2001 par une équipe de scientifiques de l’Université du Danemark Sud auprès de 43 277 hommes a permis de prouver le lien entre l’espérance de vie et la qualité du sperme.

Selon le Dr Rune Jacobsen, une concentration de plus de 40 millions de spermatozoïdes par millilitre équivaut à 40 % moins de risques de mortalité, comparativement aux hommes dont le sperme contient 10 millions de spermatozoïdes par millilitre.

« Les hommes ayant un sperme de meilleure qualité ont de plus grandes chances de survie que les autres. La diminution de la mortalité chez les hommes au sperme de meilleure qualité se constate autant chez les hommes seuls que chez ceux qui ont des enfants. Ces résultats ne sont donc pas la conséquence d’une vie en solitaire ou d’un quelconque autre facteur social. Nous penchons plutôt vers des facteurs biologiques. Si un homme se reproduit plus facilement, il aura donc également plus de chances de vivre plus longtemps », a souligné M. Jacobsen.

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Une recherche à partir de cellules souches

L’équipe du Dr Karim Nayernia a mis au point une technique à base de cellules souches embryonnaires qui permet de créer en laboratoire des spermatozoïdes.

Il suffit que les cellules souches porteuses des chromosomes XY aient terminé leur division cellulaire pour que les scientifiques soient capables de créer une cellule sexuelle fonctionnelle.

Malgré cette découverte, bien des membres de la communauté scientifique remettent en question les travaux du Dr Nayernia. « En tant que spécialiste du sperme avec 20 ans d’expérience, je ne suis pas convaincu, d’après les données présentées, que les cellules produites par le groupe du Dr Nayernia à partir de cellules souches embryonnaires peuvent être appelées précisément spermatozoïdes », a mentionné le Dr Allen Pacey de l’Université de Sheffield en Angleterre.

Tous les détails se retrouvent dans la revue médicale Stem Cells and Development.

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Comment améliorer la qualité du sperme

Selon une recherche menée par le Dr David Greening du Sydney IVF, un centre australien de traitements in vitro, des relations sexuelles fréquentes, soit une fois par jour, augmenteraient la qualité du sperme et ainsi la fertilité masculine.

Le chercheur a travaillé avec 118 hommes, dont la qualité du sperme était jugée inférieure à la moyenne, et a remarqué qu’après sept jours d’éjaculation quotidienne, la qualité du sperme augmentait.

Grâce à l’indice de fragmentation de l’ADN (indice DFI), qui mesure la dégradation de l’ADN des spermatozoïdes, le scientifique a découvert que la qualité du sperme était jugée mauvaise après trois jours d’abstinence et qu’elle passait à moyenne lorsque les patients avaient eu des rapports sexuels quotidiens.

Ce phénomène pourrait être attribué à une exposition moins longue des spermatozoïdes aux molécules oxydantes dans les canaux des testicules.