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Trop de viande nuit au sperme

Selon le Dr Jaime Mendiola, de l’Institut Bernabeu d’Alicante en Espagne, une alimentation riche en viandes et en produits laitiers diminue la qualité du sperme.

À l’inverse, les fruits, les légumes et le lait écrémé semblent l’améliorer. Le chercheur a travaillé avec 61 patients d’une clinique de fertilité et 31 hommes en bonne santé.

Il croit que ces résultats peuvent s’expliquer par les antioxydants que l’on retrouve dans les fruits et légumes. De plus, certaines substances que l’on retrouve dans les viandes rouges, comme les xénobiotiques, peuvent nuire à la qualité du sperme et diminuer la fertilité.

Tous les détails de cette étude sont publiés dans Fertility and Sterility.

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Le soya, mauvais pour la fertilité?

Des chercheurs de l’Université Harvard croient que l’infertilité masculine pourrait être causée par une alimentation trop riche en soya, qui diminuerait la concentration de spermatozoïdes, particulièrement chez les hommes obèses.

Chez ces derniers, la concentration de spermatozoïdes diminuait à 41 millions par millilitres, comparativement à la moyenne de 80 à 120 millions par millilitres chez les hommes qui ne mangent jamais d’aliments à base de soya.

Pour le Dr Jorge Chavarro, auteur principal de l’étude, le soya pourrait augmenter la production d’oestrogène chez l’homme, ce qui aurait pour conséquence de diminuer la qualité du sperme.

« Il est encore trop tôt pour cesser de consommer des aliments à base de soya », affirme le Dr Chavarro, qui croit que d’autres recherches devront être effectuées pour corroborer la sienne, dont les résultats complets sont dévoilés dans le journal scientifique Human Reproduction.

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L’infertilité héréditaire

Une recherche menée auprès de 311 jeunes hommes du Danemark âgés de 18 à 21 ans nous en apprend davantage sur l’infertilité, qui semble se transmettre de génération en génération.

Selon les spécialistes, si les parents ont eu de la difficulté à concevoir leur future progéniture et que leurs efforts se sont prolongés plus d’un an, leur garçon a alors une quantité moindre de spermatozoïdes dans le sperme.

Pour l’auteure principale de l’étude, la Dre Cecilia H. Ramlau-Hansen, les gènes semblent jouer un rôle dans le développement du sperme. « L’hérédité, qui est responsable de la piètre qualité du sperme, tend à s’atténuer avec le temps, mais on en sait encore bien peu sur les conséquences à long terme de la procréation médicalement assistée », a-t-elle souligné.