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Les fumeurs de cannabis produiraient plus de spermatozoïdes

Une étude réalisée à l’Université de Sheffield en Angleterre suggère que les hommes consommant du cannabis produiraient 38 % plus de spermatozoïdes que ceux qui ne fument pas.

La recherche publiée dans le journal Human Reproduction a été réalisée auprès de 1 143 échantillons récoltés auprès de 662 hommes. 

Les résultats démontrent que les fumeurs de cannabis ont en moyenne 62,7 millions de spermatozoïdes par millilitre, contre 45,4 pour ceux qui ne fument pas.

Cette donnée est intéressante considérant le fait que le nombre de spermatozoïdes est un facteur important dans la fertilité d’un homme, avec la forme des spermatozoïdes et leur endurance.

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Seul un consommateur de cannabis sur 20 de cette étude avait un taux de spermatozoïdes plus bas que la moyenne comparativement à un sur huit pour les non-fumeurs.

Photo : Cover Images 

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La stérilité masculine

Un fait malheureux observé depuis un bon moment est l’augmentation globale de l’infertilité masculine. Le Monell Chemical Senses Center de Philadelphie s’est penché sur le phénomène et a fait une découverte fort intéressante.

Un document de l’Académie des sciences américaines explique les résultats de la recherche en indiquant qu’un lien a été fait entre deux protéines essentielles à la signalisation du goût et leur incidence sur la production de spermatozoïdes.

Des tests ont été conduits sur des souris concernant le composant TAS1R3 et la molécule GNAT3. Quand ils étaient fonctionnels, les souris étaient fertiles.

Cependant, une fois les protéines bloquées, les souris ont développé une malformation et une forte baisse de production de spermatozoïdes, ce qui a entraîné leur stérilité. Une fois les protéines réhabilitées, tout est revenu à la normale. Le problème pourrait donc aussi être réversible chez l’homme.

Afin de procéder au blocage de TAS1R3 et GNAT3, les chercheurs ont utilisé du Clofibrate, un composé utilisé comme traitement contre certains troubles lipidiques.

Il se trouve que ce type de composé est aussi largement utilisé dans l’agriculture en tant qu’herbicide. Il est donc tout à fait concevable que ceci puisse aider à expliquer le phénomène global de stérilité chez l’homme.

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Les oméga-3 favorisent la qualité des spermatozoïdes

Les hommes qui consomment régulièrement du poisson ont plus de chances d’avoir des spermatozoïdes de meilleure qualité.
C’est après avoir constaté que les souris qui manquaient de DHA (oméga-3) étaient stériles que les chercheurs de l’Université de l’Illinois se sont penchés sur ce sujet.
 
En leur donnant des oméga-3, on a observé que les souris retrouvaient leur fécondité.
 
Les spermatozoïdes ont, à leur tête, une membrane appelée acrosome qui est riche en enzymes et qui joue un rôle important dans la fécondité. Pour bien se former, les spermatozoïdes ont en effet besoin de DHA.
 
« Sans DHA, la structure vitale ne se crée pas et les cellules du spermatozoïde ne fonctionnent pas », explique un des auteurs de l’étude, Timothy Abbott.
 
Les poissons comme le saumon et le thon sont riches en oméga-3.
 
En 2011, une étude affirmait également qu’une mauvaise alimentation affectait la qualité du sperme chez l’homme.

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Création de spermatozoïdes viables en laboratoire

Des chercheurs israéliens et allemands sont parvenus à créer des spermatozoïdes de souris en laboratoire, qui ont pu féconder un ovule pour finalement donner des petits souriceaux en pleine santé.
 
Selon la revue Nature, on espère pouvoir obtenir les mêmes résultats chez l’homme, bien que les premiers résultats se soient soldés par des échecs.
 
Si le tout est possible avec d’autres mammifères, les scientifiques ont bon espoir de parvenir à créer des spermatozoïdes d’humains en laboratoire, ce qui aiderait ainsi les couples voulant fonder une famille.
 
Les chercheurs n’auraient qu’à prélever des tissus des cellules germinales dans les testicules et stimuler la production de spermatozoïdes.
 
Les hommes ayant une infertilité devront toutefois patienter encore des années avant de pouvoir avoir recours à cette technique.
 
Rappelons que l’année dernière, un gène à l’origine de l’infertilité masculine avait été identifié.
 
Les hommes doivent aussi considérer que mis à part la génétique, le tabac, l’alcool, l’obésité et l’alimentation peuvent influencer leur fertilité.
 
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Le Wi-Fi est nocif pour le sperme

Le Fertility and Sterility rapporte que le Wi-Fi est nocif pour le sperme. Une étude japonaise démontre que cela réduit la mobilité des spermatozoïdes, en plus de dégrader l’ADN après quatre heures d’exposition aux réseaux sans fil.
 
Les chercheurs américains et argentins ont recueilli des échantillons de sperme de 29 volontaires répartis dans un groupe témoin et un groupe où le sperme a été exposé à 4 heures de Wi-Fi.
 
On a observé dans ce deuxième groupe que 25 % des spermatozoïdes ne bougeaient plus après cette exposition, soit 80 % de plus que dans le groupe témoin.
 
De plus, il y avait trois fois plus de cellules d’ADN dégradées que dans le groupe non exposé au réseau sans fil.
 
« Nos données laissent penser que l’utilisation d’un ordinateur connecté sans fil à internet et placé près des organes reproducteurs masculins pourrait affecter la qualité du sperme. Nous ne savons pas si cet effet s’observe avec tous les types de portables connectés ni quelles conditions d’utilisation peuvent l’accentuer » , explique le Dr Conrado Avendano.
 
Des études plus approfondies sont nécessaires pour confirmer ou infirmer les résultats.