Voici une étude qui s’adresse aux hommes, et plus particulièrement à ceux qui sont concernés par la question de la paternité.
Selon le Daily Mail (UK), bien manger n’aurait pas qu’une incidence sur la bonne santé, mais aussi sur la capacité à procréer chez l’homme.
En effet, selon cette plus récente étude californienne sur le sujet, les hommes qui mangent mieux que la moyenne ou qui décident de changer leur alimentation en prenant de l’âge ont plus de chances de conserver leur capacité à se reproduire.
On vante particulièrement les noix, les fruits et légumes, et les poissons, notamment, qui procurent de forts apports en vitamines C et E, ainsi qu’en zinc.
Les spécialistes, dirigés par le professeur Simon Fishel, croient que les hommes qui ont du mal à réaliser leur rêve de faire un enfant devraient d’abord se tourner vers leur alimentation.
« Ce que l’on mange peut avoir une incidence positive ou dommageable. Les composantes associées à l’œstrogène qui passent dans la chaîne alimentaire, par exemple par la viande, peuvent avoir un effet dommageable sur le développement du sperme », résume le professeur Fishel.
i une étude qui s’adresse aux hommes, et plus particulièrement à ceux qui sont concernés par la question de la paternité.
Selon le Daily Mail (UK), bien manger n’aurait pas qu’une incidence sur la bonne santé, mais aussi sur la capacité à procréer chez l’homme.
En effet, selon cette plus récente étude californienne sur le sujet, les hommes qui mangent mieux que la moyenne ou qui décident de changer leur alimentation en prenant de l’âge ont plus de chances de conserver leur capacité à se reproduire.
On vante particulièrement les noix, les fruits et légumes, et les poissons, notamment, qui procurent de forts apports en vitamines C et E, ainsi qu’en zinc.
Les spécialistes, dirigés par le professeur Simon Fishel, croient que les hommes qui ont du mal à réaliser leur rêve de faire un enfant devraient d’abord se tourner vers leur alimentation.
« Ce que l’on mange peut avoir une incidence positive ou dommageable. Les composantes associées à l’œstrogène qui passent dans la chaîne alimentaire, par exemple par la viande, peuvent avoir un effet dommageable sur le développement du sperme », résume le professeur Fishel.
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