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Les relations sexuelles ne déclenchent pas l’accouchement

Il est fréquent de voir les femmes rechercher des méthodes non médicales pour déclencher les contractions ou perdre leurs eaux en fin de grossesse, surtout lorsqu’elles ont dépassé leur terme de 40 semaines.

En ligne, il y a de nombreuses alternatives proposées, comme l’indique MedicalXpress. Notamment, on retrouve les relations sexuelles comme déclencheur efficace.

En fait, théoriquement sur le plan physique, il est prouvé que le sperme contient des prostaglandines, composant créé synthétiquement en médecine pour élargir le col de l’utérus en vue de l’accouchement.

D’autre part, orgasme ou non, les contractions utérines devraient solliciter un peu les contractions, et la stimulation des mamelons également.

Mais en réalité, lorsque les chercheurs ont effectué l’étude, ils ont réalisé que les femmes qui s’abstenaient de sexe avaient leur bébé plus rapidement que celles qui avaient une vie sexuelle active.

Les spécialistes maintiennent que les cas où des relations sexuelles auraient déclenché l’accouchement seraient dus à trop de facteurs différents pour que celles-ci soient considérées comme efficaces.

Cependant, une affirmation ne change pas : il n’y a aucun danger à avoir des relations sexuelles au terme de la grossesse. Donc, comme il arrive que cela fonctionne parfois, rien ne vous empêche de tenter le coup.

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Des chercheurs tracent un lien entre le gras saturé et le sperme faible

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui trace un lien entre des cas de sperme déficient et les gras saturés.

Ce sont des chercheurs danois qui sont en tête de ces recherches. Selon eux, le lien est clairement vérifiable. Pour prouver leur théorie, ils ont analysé les dossiers de plusieurs hommes, dont certains recevaient des aliments forts en gras saturés.

Résultat : les sujets ayant reçu plus de gras saturés que les autres dans leur alimentation ont vu leur nombre de spermatozoïdes descendre en flèche. Étonnant? Pas tant que ça, si l’on considère que plusieurs autres études du genre sur le sujet ont déjà été publiées, mais que la population semble tarder à les prendre au sérieux.

Par exemple, à l’inverse, des chercheurs brésiliens avaient déterminé que le fait de manger des grains entiers, de l’avoine et du blé pouvait contribuer grandement à une fertilité plus abondante.

Les chercheurs danois expliquent qu’ils ne peuvent encore parler de cause à effet directe, car le phénomène de la baisse des spermatozoïdes est aussi influencé par d’autres facteurs. Ces facteurs seraient par contre pour la plupart tous liés au style de vie.

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Trop de produits laitiers pourrait endommager le sperme

Le régime alimentaire d’un homme peut sensiblement faire varier ses capacités reproductives, selon plusieurs études et experts.
 
Mais de façon plus précise, une nouvelle étude annoncée par le site nlm.nih.gov déclare que les produits laitiers et les glucides seraient spécialement mauvais pour le sperme, et donc pour la reproduction en général.
 
Donc, plus un homme absorbe de lait et ses dérivés, plus ses chances de procréer diminuent, conclut l’étude effectuée à San Diego, Californie.
 
Du côté des femmes, on note des phénomènes similaires, alors que deux études sur la fertilité (in vitro) ont démontré que de hausser sa consommation de protéines tout en baissant celle de glucides leur permettrait d’augmenter leurs chances mathématiques de féconder.
 
Même si les liens sont plus qu’évidents aux yeux des chercheurs, l’effet de causalité n’a pas encore été prouvé hors de tout doute.
 
Ces plus récentes recherches ont été présentées à la réunion annuelle de l’American Society for Reproductive Medicine, par J.B. Russell.
 
Les chercheurs affirment par ailleurs que le taux de spermatozoïdes global est en déclin partout sur la planète, un phénomène appelé à grandir au courant du prochain siècle.
 
Il s’agit là d’une déclaration controversée et inquiétante.
 
Crédit photo : www.FreeDigitalPhotos.net
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L’alimentation peut prévenir les effets du vieillissement sur le sperme

Un régime riche en vitamine C et E, en zinc et en acide folique peut protéger le sperme des dommages liés au vieillissement chez les hommes de plus de 44 ans.
 
Ces nutriments améliorent l’ADN du sperme, d’après l’étude parue dans le Fertility and Sterility.
 
80 hommes en bonne santé âgés de 22 à 80 ans ont participé à cette recherche. On a constaté que chez les hommes de plus de 44 ans qui consommaient le plus des nutriments mentionnés, il y avait moins de dommages à l’ADN de leur sperme.
 
« Il semble que la consommation de micronutriments comme la vitamine C, E, l’acide folique et le zinc aide l’ADN du sperme à revenir en arrière pour les hommes plus âgés. Nous constatons que les hommes âgés de 44 et plus qui ont consommé au moins l’apport nutritionnel recommandé ont un sperme avec un ADN de qualité similaire à celui d’hommes plus jeunes », mentionne le chercheur Andy Wyrobek du Berkeley Lab.
 
Ces nutriments n’ont toutefois pas l’effet protecteur pour le sperme des jeunes hommes.
 
Il est donc aussi possible de lutter contre les effets du vieillissement sur le sperme.

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L’obésité affecte le sperme

On savait que mal s’alimenter était nocif pour la santé. On apprend maintenant que cela peut aussi avoir une influence sur notre progéniture.

Une étude menée par des chercheurs de l’Université de Melbourne, en Australie, encourage les futurs papas à prendre soin de leur alimentation avant de songer à la paternité.

Des recherches réalisées sur des souris montrent que le sperme de mâles obèses pourrait entraîner un retardement du développement du foetus et réduire les chances de l’embryon de bien s’implanter dans le corps de la mère.

En plus de limiter les chances de grossesse, l’obésité paternelle réduit aussi le développement du placenta chez la femme, pouvant entraîner des conséquences négatives sur le développement de l’enfant à long terme.

Par chance, certains aliments améliorent la qualité du sperme de l’homme. C’est le cas des noix et autres aliments riches en oméga-3, comme le saumon, les oeufs, les graines, le yogourt, les baies ou les patates douces.

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Le sperme aurait des propriétés antidépressives

Une étude effectuée il y a dix ans sur 293 étudiants et parue dans les Archives of Sexual Behaviour refait surface aujourd’hui, avec les réserves de certains experts.
 
On mentionnait que le sperme possédait un composé antidépressif, et donc que les femmes qui n’utilisaient pas de préservatif durant leurs rapports sexuels étaient moins dépressives que les autres.
 
Questionnées sur leurs habitudes sexuelles et leurs symptômes de dépression, 87 % des femmes se disaient actives sexuellement, mais leur taux de dépression variait selon l’usage des préservatifs.
 
Ainsi, on notait que chez les femmes qui n’utilisaient pas les condoms, 4,5 % avaient tenté de se suicider, contre 7,4 % chez celles qui en utilisaient parfois, et 13,2 % chez les femmes qui utilisaient toujours ce moyen de contraception.
 
Toutefois, cette étude ne parlait pas de la nature de la relation amoureuse ou du fait qu’il y avait ou non une véritable relation amoureuse, de la durée de celle-ci et de la fréquence des rapports sexuels, des facteurs qui pourraient aussi influencer l’humeur des femmes.
 
Le sujet doit donc être plus approfondi.
 
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Les noix amélioreraient la qualité du sperme des jeunes hommes en santé

L’étude publiée dans le Biology of Reproduction mentionne que la consommation de 75 grammes de noix par jour améliorerait la vitalité, la morphologie et la motilité des spermatozoïdes chez les hommes âgés de 21 à 35 ans.

De plus, durant l’étude, après avoir mangé des noix tous les jours, les hommes avaient moins d’anormalités chromosomiques.

Les chercheurs croient que ce sont les acides gras polyinsaturés contenus dans les noix qui amélioreraient la qualité du sperme chez les hommes qui suivent un régime de style occidental.

La meilleure source de cet acide se retrouve dans le poisson et dans les suppléments d’huiles de poisson, dans les graines de lin ainsi que dans les noix.

Dans 30 à 50 % des couples qui expérimentent des troubles de la fertilité, c’est de l’homme dont vient le problème.

Rappelons également que les hommes peuvent aussi prendre soin d’eux afin d’éviter les problèmes de fertilité. S’ils portent des sous-vêtements trop serrés, ils peuvent réduire leurs chances de concevoir un enfant.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Les sushis améliorent la qualité du sperme

Pour maximiser vos chances de concevoir un enfant, il vaut mieux opter pour le yogourt et les sushis.
 
Récemment, on mentionnait que le yogourt améliorait la fertilité. D’après les observations faites sur des souris, les mâles ayant pris du yogourt parvenaient plus facilement à inséminer les femelles, et ces dernières avaient aussi plus de bébés.
 
Maintenant, TopSanté dévoile que les sushis auraient le même effet. Selon une étude de l’Université de l’Illinois, une assiette de sushis améliore la qualité du sperme, notamment grâce aux acides gras contenus dans les poissons gras.
 
Cela est essentiel pour la membrane qui recouvre la tête des spermatozoïdes et joue un rôle important dans la fécondation.
 
Donc, pour augmenter vos chances de devenir parent, le mieux est de consommer du yogourt et des sushis.
 
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Un lien entre les défauts génétiques et l’autisme chez l’enfant?

Trois nouvelles études à grande échelle, avec des chercheurs provenant des universités Yale et Harvard, ont mis en évidence l’importance des erreurs dans l’ADN des ovules et des spermatozoïdes comme l’une des causes de l’apparition de l’autisme.

Les résultats des études, publiés dans la revue Nature, démontrent qu’un cas d’autisme sur sept serait dû à ces erreurs.

La croyance générale veut que certaines maladies viennent d’erreurs génétiques présentes dans l’ADN des parents et transmises aux enfants. Toutefois, on parle ici de mutations de novo. Celles-ci apparaissent en premier dans l’ADN de l’enfant et sont causées par des problèmes de spermatozoïdes et d’ovules.

Les chercheurs ont constaté que ces mutations de novo proviennent majoritairement du sperme. Pour quatre mutations provenant du sperme du père, une seule était attribuable à l’ovule de la mère.

Ainsi, plus l’homme est âgé, plus son sperme risque de présenter des anomalies, et plus il a de chances d’engendrer un enfant autiste.

Pour en arriver à ces conclusions, l’ADN de centaines de parents, d’enfants autistes et de leurs frères et sœurs a été analysé.

 « Ces résultats démontrent clairement le potentiel de la technologie de séquençage de l’ADN pour définir les facteurs de risque spécifiques de l’autisme. Nous avons seulement gratté la surface, mais avec la poursuite des efforts de collaboration, ces découvertes génétiques nous montreront les racines biologiques sous-jacentes de l’autisme », a déclaré Mark Daly du Massachusetts General Hospital, un des auteurs.

Rappelons que l’autisme est une réalité 10 fois plus présente qu’il y a 30 ans.

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Une mauvaise alimentation affecte la qualité du sperme

Une étude parue dans le Human Reproduction affirme qu’une alimentation riche en graisses peut affecter la qualité du sperme.
 
99 hommes ont participé à cette étude. Les chercheurs ont découvert que le lien entre une alimentation riche en graisses et la qualité du sperme était surtout dû aux graisses saturées provenant des charcuteries, des croustilles, du beurre et d’autres aliments du genre. Ceux-ci contribuent également à augmenter le risque de maladie cardiovasculaire.
 
Les hommes qui avaient une alimentation riche en graisses avaient 35 % moins de spermatozoïdes que les autres, et une concentration spermatique plus basse de 38 %.
 
De plus, on remarque que les hommes qui consomment le plus d’oméga-3 ont aussi plus de spermatozoïdes de forme normale.
 
De plus amples recherches sont nécessaires pour confirmer les résultats. Néanmoins, on insiste sur le fait qu’avec quelques modifications de leur régime alimentaire, les hommes verraient non seulement leur santé générale s’améliorer, mais aussi leur santé spermatique.