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Infertilité : 10 % des couples sont touchés

L’âge, le surpoids et le tabagisme chez les femmes seraient des facteurs suspectés d’affecter la fertilité, révèle une étude de l’Inserm parue dans le Bulletin épidémiologique du 21 février consacré à l’environnement et l’infertilité. Les métaux lourds comme le plomb et les polluants organiques pourraient grandement jouer un rôle également.

Pour arriver à cette conclusion, plus de 15 000 Françaises âgées de 18 à 44 ans ayant déjà accouché ou ayant des rapports sexuels dans le but de tomber enceintes ont été suivies et interrogées au sujet du délai écoulé sans qu’il y ait grossesse, après l’arrêt de contraceptifs.
 
Ainsi, il apparaît que 26 % des femmes ayant accouché sont tombées enceintes dès le premier mois, soit environ un quart, mais 32 % des grossesses sont survenues plus de 6 mois après. Parmi elles, 18 % ont attendu un an, et 8 % ont patienté deux ans.
 
En d’autres termes, 46 % des couples n’ont pas obtenu de grossesse 6 mois après l’arrêt de la contraception, 24 % après un an, et 11 % après deux ans, rapporte Le Figaro.
 
Rappelons qu’en 2010, l’Organisation mondiale de la santé a également modifié ses normes concernant la fertilité des hommes. Aujourd’hui, un spermogramme présentant 15 % de spermatozoïdes typiques est normal, alors qu’il y a quelques années, il en fallait 60 %, affirment les spécialistes.
 
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L’âge des parents influence le développement de l’autisme

Selon des chercheurs danois de Cambridge et leur étude publiée dans la revue Annals of Epidemiology, le risque d’autisme est jusqu’à 27 % plus élevé chez ces derniers que pour ceux qui ont des parents plus jeunes.

Les parents plus âgés sont maintenant considérés comme à « risque accru » de développement de l’autisme chez les enfants.

Initialement, l’âge de la mère semblait importer davantage, mais les chercheurs ont constaté que le risque posé par l’âge de la mère et celui du père sont maintenant pratiquement les mêmes.

Cependant, si les deux parents sont plus vieux que 35 ans au moment de la conception, le risque de donner naissance à un enfant autiste n’est pas plus élevé que si un seul d’entre eux est avancé dans la trentaine.

Toutefois, il y a un autre constat. Si l’un des parents a moins de 35 ans et l’autre en a plus de 40, le risque d’autisme chez l’enfant à naître est plus grand quand c’est la mère qui est plus âgée (65 %) plutôt que le père (44 %).

Rappelons que l’autisme, selon des spécialistes, pourrait être lié à des changements naturels qui se produisent à la fois dans les ovules et le sperme lorsque les gens vieillissent.

Caroline Hattersley, de la National Autistic Society, a déclaré : « Bien que cette recherche suggère qu’il existe un lien entre l’âge des parents et l’autisme, d’autres études sont nécessaires. Nous savons peu de choses sur la chaîne biologique des événements qui donnent lieu à l’autisme ».

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La contraception masculine par ultrasons?

Cela peut paraître extrême, mais les expériences ont montré que les ondes sonores à haute fréquence ont pour effet de couper la numération des spermatozoïdes chez les rats.

Cela appauvrit le développement de cellules germinales dans le testicule et fait diminuer la taille des réserves de sperme.

Cette façon de faire non invasive pourrait entraîner la stérilité de façon temporaire chez l’homme.

Plusieurs études doivent cependant être faites pour voir si l’échographie peut être utilisée plusieurs fois sur une longue période et être sans danger et fiable pour cette cause, affirme le responsable de l’étude, le Dr James Tsuruta de l’Université de la Caroline du Nord.

Si c’est le cas, le sperm zapping, ultrasons envoyés en fortes doses (deux séances de 15 minutes sur les testicules chauffées à 37 °C) serait un moyen de contraception peu dispendieux, pratique et avec peu d’effets secondaires pour les hommes.

Une première tentative d’utiliser l’échographie comme contraceptif masculin a été signalée il y a 40 ans, alors que plusieurs patients atteints du cancer de la prostate devaient recevoir un traitement-choc aux testicules qui engendrait une perte radicale des cellules germinales. Ces hommes ont d’ailleurs déclaré que la procédure était sans douleur, alors qu’ils ressentaient plutôt une douce chaleur.

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Plusieurs années avant la grossesse, mangez bien!

En octobre dernier, des spécialistes ont conclu qu’une saine alimentation avant, pendant et après la grossesse assurait le bon développement et les effets positifs à plus long terme chez l’enfant.

Cette constatation a été rendue publique lors du Colloque du Fonds français pour l’alimentation et la santé, ayant pour thème Les déterminants précoces de la santé future de l’enfant.

Du type de nutriments consommé par le père, qui pourrait avoir une influence sur la qualité du sperme, à la perte ou prise de poids importante avant la grossesse par la mère, en passant par le stress, l’alimentation excessive ou insuffisante au mode de vie et l’environnement, tous sont des facteurs déterminants sur la santé et le futur des enfants.

Plusieurs séries d’études le démontrent, une mauvaise alimentation peut avoir un impact tant sur la fertilité que sur le développement du fœtus, ou encore lorsque l’enfant deviendra adulte.

Selon la Dre Marie-Aline Charles, « le potentiel de croissance fœtale s’adapte à l’état nutritionnel maternel avant la grossesse ».

Il est donc important de prendre soin de soi et de bien se nourrir, même plusieurs années avant de tomber enceinte, car cela aura une grande influence. Le dicton « Il vaut mieux prévenir que guérir » s’applique plus que jamais dans ce cas-ci…

 
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Le Wi-Fi est nocif pour le sperme

Le Fertility and Sterility rapporte que le Wi-Fi est nocif pour le sperme. Une étude japonaise démontre que cela réduit la mobilité des spermatozoïdes, en plus de dégrader l’ADN après quatre heures d’exposition aux réseaux sans fil.
 
Les chercheurs américains et argentins ont recueilli des échantillons de sperme de 29 volontaires répartis dans un groupe témoin et un groupe où le sperme a été exposé à 4 heures de Wi-Fi.
 
On a observé dans ce deuxième groupe que 25 % des spermatozoïdes ne bougeaient plus après cette exposition, soit 80 % de plus que dans le groupe témoin.
 
De plus, il y avait trois fois plus de cellules d’ADN dégradées que dans le groupe non exposé au réseau sans fil.
 
« Nos données laissent penser que l’utilisation d’un ordinateur connecté sans fil à internet et placé près des organes reproducteurs masculins pourrait affecter la qualité du sperme. Nous ne savons pas si cet effet s’observe avec tous les types de portables connectés ni quelles conditions d’utilisation peuvent l’accentuer » , explique le Dr Conrado Avendano.
 
Des études plus approfondies sont nécessaires pour confirmer ou infirmer les résultats.
 
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La malbouffe pourrait rendre infertile

Les jeunes hommes devraient consommer moins de malbouffe s’ils souhaitent un jour devenir pères. En effet, le Daily Mail affirme que les pizzas, frites, croustilles et autres aliments du genre peuvent entraîner l’infertilité.
 
Après avoir analysé le sperme de 188 jeunes hommes âgés de 18 à 22 ans, les chercheurs ont constaté que ceux ayant une alimentation riche en gras trans avaient des spermatozoïdes moins susceptibles de survivre au voyage les menant à la fécondation de l’ovule. De plus, leur concentration de spermatozoïdes était également moins élevée.
 
Les jeunes hommes qui avaient une alimentation saine ne connaissaient pas ce genre de problème.
 
Des études supplémentaires, à plus grande échelle, doivent être effectuées afin de confirmer ces résultats obtenus sur un petit nombre de garçons.
 
Ces premières conclusions démontrent toutefois que l’alimentation aurait effectivement un impact direct sur le système reproducteur.
 
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Attention au sperme vendu dans Internet

Santé Canada mentionne aux personnes qui veulent avoir recours à la procréation assistée pour avoir un enfant de se méfier grandement du sperme acheté en ligne.
 
Cela peut causer des risques importants pour la santé. Ce sperme, de provenance douteuse, peut ne pas avoir été soumis aux contrôles très stricts, ce qui pourrait s’avérer grave pour la mère et l’enfant.
 
Il pourrait y avoir transmission de maladies comme le VIH/Sida, les hépatites B et C, la syphilis, la chlamydia et la gonorrhée.
 
Il faut surtout se méfier également des ventes de sperme que l’on décrit comme « frais ».
 
L’importation, le traitement et la destitution du sperme exigent des contrôles extrêmement stricts et une mise en quarantaine pendant six mois, en plus de soumettre les donneurs à des tests avant et après leur don.
 
Il est donc impératif de connaître la provenance du sperme et de s’assurer qu’il a été soumis aux règles de surveillance.
 
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Espoir pour les couples infertiles

On apprend dans Cell que des chercheurs de l’Université de Tokyo ont réussi un exploit scientifique relativement à l’infertilité. Ils ont réussi à transformer des cellules souches de souris en sperme.

Précisément, des cellules souches embryonnaires, ou cellules germinales primordiales, sont devenues des précurseurs de spermatozoïdes.
 
Bien que l’on ne puisse pas le faire chez l’homme avant une autre décennie, on voit dans cette découverte une future éradication de l’infertilité.
 
C’est que les cellules germinales primordiales (ou PGC) sont à l’origine des spermatozoïdes et des ovules. Mentionnons au passage qu’il s’agit d’une origine commune pour l’homme et la femme.
 
Les chercheurs ont donc pu créer de ces nouvelles cellules et les ont transplantées chez les sujets (souris) qui étaient infertiles. Ces mêmes souris ont pu fabriquer du sperme fertile à la suite de cette transplantation. Des bébés en pleine santé sont même nés après fécondation.
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Des mangues et des abricots pour des spermatozoïdes en santé

Des chercheurs des universités Western Australia et Monash mentionnent que les hommes qui mangent des mangues et des abricots auront des spermatozoïdes forts et un taux de fécondité plus élevé.
 
Ces deux fruits contiennent de nombreux antioxydants et le sperme contenant des antioxydants a plus de chances de féconder les ovules.
 
De plus, cela garantit l’existence de substances nécessaires au nourrisson.
 
Pour des spermatozoïdes forts, il ne suffit pas de manger des mangues ou des abricots. Les hommes peuvent boire une tasse de thé quotidiennement et manger des fruits ou autres aliments contenants de la vitamine E et des bêta-carotènes. Parmi ces aliments, on retrouve la citrouille, les carottes, les épinards, le persil, les huiles végétales, les avocats et les noix, rappelle l’Ecology Letters.
 
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Les hommes obèses sont moins fertiles

On savait déjà que les femmes en surpoids ou trop minces pouvaient avoir des troubles d’ovulation, diminuant ainsi leurs chances d’être mères. Cependant, des chercheurs européens ont découvert qu’il en était de même pour les hommes.
 
Après avoir fait une étude dans des laboratoires de douze pays, regroupant ainsi un total de 1 940 hommes, on constate que plus un homme est gros et moins son sperme sera de qualité.
 
Le surpoids entraînerait un changement des paramètres du sperme, ce qui se traduit en des spermatozoïdes moins nombreux, moins mobiles et moins vigoureux, diminuant donc les chances de concevoir un enfant.
 
Les résultats de ces travaux ont été présentés lors du congrès de l’European Society of Human Reproduction (ESHRE).
 
Durant l’étude, on a examiné le volume du sperme des participants, le pH, la concentration de spermatozoïdes ainsi que la mobilité, la quantité et la vitalité de ces derniers. Puis, on a regardé les formes atypiques des spermatozoïdes.

On a établi un lien avec l’indice de masse corporelle et conclu que la qualité du sperme diminue avec une augmentation du poids. Toutefois, cela est réversible et si un homme perd du poids, son sperme en sera amélioré.