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Anne Hathaway voit son mariage comme une aventure spirituelle

Alors que plusieurs s’amusent à dépendre négativement les joies du mariage, et que de plus en plus de gens ne voient plus l’essentiel de se marier, Anne Hathaway semble apprécier l’aventure.

Une aventure qu’elle qualifie de « spirituelle », rapporte BANG Media International. L’actrice admet ne pas avoir prévu les changements qui allaient suivre son mariage avec le designer Adam Shulman.

Âgée de 31 ans, Hathaway croit que l’institution du mariage n’est pas pour tout le monde, mais elle apprécie grandement ces deux dernières années, elle qui s’est mariée en 2012.

« Le mariage n’est pas pour tout le monde, mais pour moi, ça a été la plus grande aventure spirituelle de ma vie. Quand on s’est marié, on s’est dit que ce serait un superbe party et, honnêtement, je pensais qu’on le faisait par tradition. Je n’étais pas prête pour le changement radical que mon coeur allait ressentir », lance une Anne Hathaway plus mature.

La star de Devil Wears Prada n’en a pas fini avec la philosophie, puisqu’elle se retrouve en vedette dans le très attendu Interstellar de Christopher Nolan, qui pose de sérieuses questions sur l’humanité.

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La spiritualité de l’enfant se développe lorsqu’il joue à l’extérieur

Une récente recherche de la Michigan State University a mis en lumière un lien entre la nature et la spiritualité de l’enfant. Ainsi, les enfants qui passent de 5 à 10 heures dehors par semaine ont admis qu’ils ressentaient une connexion spirituelle avec la terre et le besoin de la protéger.

« Ces valeurs sont incroyablement importantes pour le bien-être et le développement de l’humain », affirme Gretel Van Wieren, professeure adjointe en études religieuses. « Nous avons été surpris des résultats. Avant même d’effectuer cette étude, nous nous sommes demandé si le lien développé entre l’enfant et la nature n’était qu’un mythe. »

Les résultats ont cependant été très convaincants, mais seulement 10 enfants de 7 et 8 ans ont été évalués. Néanmoins, les chercheurs ont utilisé diverses méthodes d’analyse, telles que le dessin, le journal intime, les questionnaires avec les parents et des entrevues poussées.

L’étude a également mesuré les valeurs esthétiques des enfants, estimant que ceux qui s’engagent dans le jeu libre à l’extérieur sur une base régulière ont une profonde appréciation de la beauté (équilibre, symétrie, couleur), l’ordre et l’émerveillement (curiosité, imagination et créativité).

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La spiritualité réduirait l’anxiété et serait bénéfique pour la santé

Les gens spirituels semblent moins nombreux de nos jours, ou peut-être sont-ils moins bruyants quant à leurs croyances qu’à une certaine époque, le sujet étant devenu pratiquement un tabou dans notre société.

Cependant, il semble que la spiritualité soit un excellent allié de la bonne santé mentale et physique, selon ce que rapporte le Daily Mail (UK), si l’on se fie à une nouvelle étude sur le sujet.

Selon des chercheurs britanniques menés par la psychologue Roxane Gervais, les personnes qui se disent croyantes ou spirituelles seraient moins malades que les autres, et s’absenteraient du travail pour cette même raison moins souvent que les personnes qui se disent sans foi.

Aussi, il appert que ces mêmes personnes subissent moins les affres du stress et de l’anxiété, le tout largement aidé par le sentiment que la vie a un réel sens, et qu’elles ne sont pas seules.

« La spiritualité offre une protection contre les aléas de la vie moderne. Alors que le rythme du travail et de la vie s’accélère, les gens ont besoin de trouver un sens… et la jeune génération est spécialement en quête de plus qu’un simple gros chèque de paie… », lance la Dre Gervais, qui croit que de faciliter l’accès à des ressources spirituelles sur les lieux de travail pourrait améliorer les performances et la santé mentale des employés et employeurs.

Un discours qui tranche avec le débat actuel qui sévit au Québec, n’est-ce pas?

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Le temps des fêtes et le deuil

Le temps des fêtes ne revêt pas la même signification pour tous, et les niveaux de joie et de célébrations sont souvent variables en fonction de certains facteurs.

Les personnes aux prises avec des difficultés financières, notamment, peuvent ressentir une pression ou une certaine tristesse. The National Library of Medicine s’intéresse également au cas des personnes qui vivent un deuil à l’approche du temps des fêtes, ou qui doivent le revivre chaque année à Noël.

« Les problèmes personnels ne disparaissent pas par magie juste parce que le calendrier passe de novembre à décembre. Les problèmes relationnels, d’emploi, financiers ou de santé peuvent prendre de l’importance durant la période des fêtes supposément “heureuse” », résume Josh Klapow, de l’Université de l’Alabama.

Quelques suggestions sont apportées pour pallier cette situation extrêmement difficile. En voici quelques-unes.

D’abord, on conseille vivement de ne pas se mettre de pression inutile, que ce soit pour recevoir ses proches ou encore pour assister à des soirées auxquelles on n’a pas vraiment envie d’aller. On suggère ensuite d’être en phase avec ses émotions, et de ne pas se « forcer » à être de bonne humeur contre son gré. Il faut également baisser son niveau d’attentes envers le temps des fêtes, ou l’émotion pourrait prendre le dessus.

En terminant, si une personne en deuil ou triste est spirituelle ou trouve sa force dans la foi, on suggère de favoriser les échanges et les contacts avec les personnes qui partagent ce genre de philosophie, au détriment de gens plus sombres et sans croyance qui pourraient contribuer aux idées noires et à la déprime.

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Une étude trace un lien entre la foi et la dépression

Une nouvelle étude sur les impacts de la spiritualité et la religion dans la vie des croyants trace un parallèle entre la foi et un risque accru de dépression, révèle Top Santé.

Cette étude britannique vient pourtant contredire presque toutes les recherches et études similaires effectuées sur le sujet, qui concluaient massivement plutôt l’inverse.

Or, selon le professeur Michael King, qui signe cette nouvelle étude et la publie dans le magazine Psychological Medicine, les sujets qui se disent croyants et spirituels ont jusqu’à trois fois plus de chances de développer un trouble de l’humeur comme la dépression.

« … la religion, et davantage encore la spiritualité sans lien avec une religion formelle, se révèle impuissante à aider qui que ce soit à se sortir d’un moment de déprime. Pire, elles pourraient même constituer des facteurs aggravants », conclut l’équipe de King.

Il admet cependant que nombre d’études précédentes sur le sujet ont démontré le contraire, et croit que d’autres analyses restent à faire.

Le professeur King a-t-il raison ou ferait-il plutôt preuve… de mauvaise foi?

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La spiritualité oubliée lors des soins palliatifs

Une étude américaine parle d’un problème étonnant en matière de soins palliatifs, celui du manque flagrant de spiritualité dans les soins accordés aux patients en fin de vie.

C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, alors que des chercheurs bostonnais pensent que la situation pourrait être corrigée et améliorée.

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, l’aspect spirituel ne serait pas une priorité dans les centres de soins palliatifs.

« J’ai été très surpris de constater que ce n’était qu’un problème de formation des employés qui explique ce phénomène », explique Dre Tracy Balboni, une radio-oncologiste de l’institut Dana-Farber de Boston.

Malgré des directives précises qui encouragent pourtant une attention particulière à l’aspect spirituel des gens en fin de vie, l’étude constate que seulement le quart des patients reçoivent ce genre d’attention.

Dre Balboni ajoute : « Il fut un temps où les praticiens et infirmiers (ères) auraient dit que ce n’était pas leur travail, mais les esprits sont maintenant beaucoup plus ouverts, et nous sommes prêts pour ce genre de travail auprès des patients ».

Il faut souligner qu’en cette ère moderne où les tabous ne semblent plus vraiment exister, la foi semble en être devenu un.