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Il faut empêcher les commanditaires sportifs de promouvoir l’alcool

Une équipe de chercheurs des universités Monash et Manchester en Angleterre a analysé le lien entre les habitudes de consommation des sportifs et les commanditaires promouvant l’alcool.

Les données ont été récoltées à travers l’Australie, la Nouvelle-Zélande, le Royaume-Uni, l’Irlande et l’Afrique du Sud. En tout, plus de 2000 personnes de niveau universitaire ont été interrogées.

Le tiers de ces athlètes ont admis être commandités par des industries reliées à l’alcool comme un bar ou une brasserie. Ceux qui étaient commandités par ces compagnies consommaient plus d’alcool, jusqu’à surconsommer et atteindre des niveaux considérés comme dangereux.

Si de façon générale les sportifs consommaient tous de l’alcool, la cote attribuée par le World Health Organization’s Alcohol Use Disorders Identification Test était plus élevée chez la moitié des athlètes commandités par l’industrie de l’alcool, en comparaison avec 39 % chez les autres.

Une cote élevée signifiait un besoin de suivi ou d’une brève thérapie. « Les commanditaires relatifs à l’alcool (et la culture de surconsommation que cela perpétue) apparaissent comme une raison évidente », indique le professeur Kerry O’Brien.

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Les athlètes qui endossent la malbouffe n’aident pas les jeunes

Une récente étude démontre que trop souvent, lorsque les sportifs professionnels représentent des aliments, ceux-ci sont peu ou pas nutritifs.

Les résultats se retrouvent dans le journal Pediatrics. Il semble que la pierre angulaire soit encore au niveau des parents, puisque ceux-ci sont portés à acheter la nourriture publicisée par les athlètes, qui semble plus « santé ».

Ce sont les 100 athlètes les plus populaires et les plus publicisés qui ont été inclus dans la recherche. Les commanditaires les plus populaires étant les articles de sport (28,3 %), il n’en demeure pas moins que les aliments et boissons arrivent en second avec 23,8 % des commandites.

La plupart des commandites alimentaires représentent des boissons pour les sportifs, des liqueurs et de la malbouffe.

Les chercheurs demandent aux athlètes de se sensibiliser en fonction des messages contradictoires qu’ils envoient aux jeunes. En effet, les 12 à 17 ans sont ceux qui voient le plus grand nombre de publicités envoyées par ces sportifs. On pense entre autres à LeBron James, Peyton Manning et Serena Williams, selon Medical News Today.

En tout, 93 % des produits alimentaires commandités par les athlètes prennent 100 % de leurs calories en sucres ajoutés.

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La vérité sur les boissons énergétiques

Un article publié sur le site LaNutrition explique qu’il existe deux sortes de ce type de boisson pour sportifs d’endurance; les boissons dites « de l’effort » et celles de recharge glycogénique.

Les premières sont généralement utilisées pour apporter l’énergie nécessaire au sportif durant l’effort.

Les deuxièmes sont des boissons dites « maltos » et doivent être consommées au court des quelques jours avant une épreuve sportive de longue durée, car elles offriraient une libération progressive de l’énergie.

Cependant, les valeurs nutritionnelles annoncées sont souvent erronées. Contrairement à ce que l’on peut lire sur la majorité des sites commerciaux, les maltodextrines ont des index de glycémie (IG) très élevés. Ces sucres vont donc fortement perturber l’organisme, en particulier quant à la sécrétion d’insuline. Cela pourrait bien évidemment nuire à la performance.

De nombreuses études ont déjà démontré qu’avant la compétition, la consommation d’un repas à IG bas favorise l’oxydation des lipides durant l’effort.

Ceci étant dit, les conseils fournis par Fabrice Kuhn, médecin et triathlonien, est d’éviter les maltos avant la compétition et de les remplacer par des aliments à index glycémique bas et dense.

Kuhn, qui est aussi coauteur du livre Nutrition de l’endurance, donne un grand nombre de solutions alimentaires aux maltos qui sont tout aussi, sinon plus, efficaces.

Vous pouvez les consulter en cliquant sur le lien suivant :

http://www.lanutrition.fr/bien-dans-sa-sante/sport/l-alimentation-du-sportif/les-pieges-des-boissons-energetiques-pour-les-sports-dendurance.html

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Prévenir les blessures chez les petits sportifs

 

Bien que la majorité des blessures chez les enfants consiste en des égratignures et des ecchymoses, le Children’s Hospital of Philadelphia rapporte que sur dix ans, une hausse de 400% des blessures aux jambes a été observée chez les enfants.

Plus précisément, ces blessures sont localisées au niveau du ligament croisé antérieur — qui aide à tenir les parties du genou ensemble — ou du ménisque — un cartilage du genou.

De plus, le nombre de tendinites et de fractures a aussi augmenté.

Afin de prévenir ces accidents, le site suggère de jouer à plusieurs sports, puisque de répéter le même exercice durant des mois peut être nocif pour le corps d’un enfant.

Également, il est important que l’enfant apprenne les bons mouvements et fasse des étirements avant de pratiquer un sport.

Rappelons qu’il est important pour les enfants de faire du sport. L’exercice peut aider à la pensée des enfants en augmentant la circulation du sang et de l’oxygène au cerveau. Il peut aussi aider à augmenter les niveaux de noradrénaline et les endorphines pour diminuer le stress et ainsi améliorer l’humeur.

D’autre part, l’activité physique permet d’augmenter les facteurs de croissance qui aident à créer de nouvelles cellules nerveuses et soutenir la plasticité synaptique.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

 

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La ligne est mince entre l’encouragement et la pression parentale

« Je crois que ça dépend entièrement de l’enfant. Si c’est sa passion, qu’il aime faire un sport et qu’il vise la compétition de haut niveau, alors les parents devraient le supporter de toutes les façons possibles », selon la championne de balle molle, Jennie Finch, interrogée sur le sujet.

Dans le livre qu’elle a publié en 2009, intitulé Throw Like A Girl : How To Dream Big and Believe In Yourself, Finch raconte comment son père l’a aidée à atteindre son objectif en la poussant à aller toujours plus loin.

Toutefois, il faut savoir quand cesser de pousser. Jennie Finch a d’ailleurs souligné que si le parent pousse son enfant sans que celui-ci semble si passionné, ce sera plus éprouvant pour tout le monde.

« Je crois en l’encouragement des enfants à donner leurs meilleurs efforts lorsqu’ils jouent, à prendre un engagement et à l’honorer, mais à la fin de la saison, c’est le temps de demander “As-tu aimé ça?” ou “Aimerais-tu mieux ce sport si tu jouais avec une autre équipe?” ou “Voudrais-tu jouer à autre chose?” », explique-t-elle.

Rappelons qu’en ce début des Jeux olympiques, il est bien d’encourager vos enfants à s’inspirer des meilleurs athlètes du monde. Ils ont le pouvoir de les faire rêver par leur performance. Il n’est pas rare qu’après une médaille ou un nouveau record, certains jeunes se lancent dans tel ou tel sport.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Difficile de bien nourrir les petits sportifs

La nourriture présentée aux enfants membres d’équipes sportives est souvent mauvaise pour la santé, selon une étude publiée dans le Journal of Nutrition Education and Behavior.

Les chercheurs ont interrogé des parents de jeunes joueurs de basketball, qui ont affirmé que l’on proposait à leurs enfants des repas constitués de malbouffe, souvent accompagnés de boissons gazeuses ou de sodas.
 
De plus, les déplacements vers les pratiques ou les matchs laissent aux parents peu de temps pour prendre un repas. Il est donc plus pratique de se tourner vers les comptoirs d’alimentation rapide.
 
«L’environnement alimentaire dans le sport juvénile expose les enfants et leurs familles à plusieurs breuvages et repas mauvais pour la santé et à peu d’options santé. Les jeunes qui font du sport passent un temps considérable à pratiquer ces activités hors de l’école, et ces environnements sportifs peuvent influencer leurs habitudes alimentaires», explique le principal auteur de la recherche, Toben F.Nelson, ScD.
 
Les experts suggèrent donc l’intégration des messages nutritionnels dans leurs programmes, la création de messages positifs concernant la saine alimentation et le développement d’un guide pour aider les entraîneurs à élaborer des collations appropriées dans les ligues sportives, entre autres.
 
Rappelons que le sport est bénéfique pour tous les enfants. Lorsque l’exercice est accompagné d’un régime alimentaire sain, le traitement de l’obésité est plus efficace et les nouvelles habitudes alimentaires sont plus respectées à long terme. 
 
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Le lait au chocolat bénéfique pour les sportifs

Depuis des années, Gatorade gouverne le marché des boissons sportives, mais dernièrement, on assiste à une commercialisation plus féroce du lait au chocolat, simplement parce que les nutritionnistes ont louangé ses bienfaits pour les sportifs.
 
Selon The Montreal Gazette, le lait au chocolat est parfait après une activité physique, car il fournit des glucides, qui permettent aux muscles de refaire le plein d’énergie, et des protéines, qui aident à réparer les muscles endommagés. Les deux fournissent de l’énergie en vue de l’exercice suivant.
 
Selon les tests en laboratoire, les bienfaits ont surtout été remarqués chez les hommes, qui retiraient plus de bénéfices du lait au chocolat qu’avec le Gatorade. Chez les femmes, on ne remarque pas de différence entre les deux boissons.
 
Toutefois, les athlètes doivent faire attention avec le lait au chocolat, qui est plus calorique que le Gatorade.
 
Pour une boisson contenant moins de calories, le Gatorade demeure encore un bon choix.
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Troubles neurologiques chez les sportifs

Les sportifs qui subissent des chocs répétés à la tête présentent plus de troubles neurologiques moteurs, rapporte le Journal of Neuropathology and Experimental Neurology.
 
Des chercheurs ont étudié le cerveau et la moelle épinière de 12 sportifs décédés ayant donné leur corps à la science.
 
Les 12 souffraient d’encéphalite traumatique lorsqu’ils sont morts. Cela entraîne une détérioration des fonctions cognitives et motrices.
 
Chez certains, on a même noté la présence de la maladie de Charcot (sclérose amyotrophique), une dégénérescence des neurones et des cellules nerveuses.
 
Tous ces athlètes avaient eu des traumatismes répétés à la tête au cours de leur vie.
 
Les chercheurs veulent maintenant approfondir leurs recherches afin de confirmer les résultats, mais c’est la première fois qu’un lien clinique est démontré entre les traumatismes crâniens et les troubles neurologiques chez les sportifs.
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Notre mois de naissance influencerait notre forme physique

Apparemment, notre mois de naissance aurait une influence sur notre forme physique.
 
Le Dr Adrian Bernett, de l’Institut australien de la santé et de l’innovation biomédicale de l’Université de technologie du Queensland, mentionne que notre naissance peut influencer nos capacités sportives.
 
Le scientifique s’est penché sur le mois de naissance des joueurs de football australiens et a découvert que la grande majorité d’entre eux étaient nés en début d’année. Le docteur a toutefois une explication bien simple à ce sujet.
 
En Australie, l’année scolaire débute en janvier. Les enfants qui sont nés au début de l’année ont donc déjà une avance au niveau de leur croissance sur leurs confrères nés vers la fin de l’année. Ainsi, plus tard, ils seront plus grands et s’imposeront plus facilement dans les sports, profitant des avantages obtenus pour être nés avant les autres.
 
Une étude britannique a également démontré ce phénomène, disant que les jeunes étant nés en début d’année feront de meilleurs joueurs de hockey, de football, de volleyball et de basketball, car ils seront plus grands. On signale également que ces jeunes auraient de meilleurs résultats scolaires et plus de confiance en eux.
 
On affirme que si la rentrée scolaire se faisait en juin, les résultats ne seraient sans doute plus les mêmes et avantageraient plus les enfants nés au milieu de l’année.