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Le travail et l’argent auraient une incidence directe sur l’amour et la procréation

L’argent ne fait pas le bonheur, dit-on, mais il permet assurément d’offrir de meilleures conditions à l’épanouissement d’une relation amoureuse et à la création d’une petite famille, selon une nouvelle étude sur le sujet.

Les conclusions tirées de cette recherche en provenance de l’Université de Virginie, et rapportées par Santé Log, ne pourraient être plus claires : un meilleur travail et de meilleures conditions sociales sont les premières bases d’un épanouissement amoureux.

Présentées devant l’American Sociological Association, les conclusions de l’étude dressent un portrait bien sombre du marché du travail et des conséquences qui y sont liées.

Depuis la crise économique de 2008, les situations précaires et les pertes d’emplois sont beaucoup plus fréquentes, et cette nouvelle ère serait difficile pour plusieurs ménages jugés sur ou sous le seuil de la pauvreté.

Stress, anxiété, incapacité à prévoir un avenir financier stable, troubles de l’humeur, problèmes de confiance, voilà tout autant de symptômes qui se traduisent par des relations moins stables, des mariages explosifs et une baisse de natalité.

« Les Américains de la classe ouvrière ont souvent un emploi précaire, et donc peu de capacités à planifier un avenir familial », résume Sarah Corse, leader des recherches.

Un portrait sombre, mais théoriquement réversible.

quo;argent ne fait pas le bonheur, dit-on, mais il permet assurément d’offrir de meilleures conditions à l’épanouissement d’une relation amoureuse et à la création d’une petite famille, selon une nouvelle étude sur le sujet.

Les conclusions tirées de cette recherche en provenance de l’Université de Virginie, et rapportées par Santé Log, ne pourraient être plus claires : un meilleur travail et de meilleures conditions sociales sont les premières bases d’un épanouissement amoureux.

Présentées devant l’American Sociological Association, les conclusions de l’étude dressent un portrait bien sombre du marché du travail et des conséquences qui y sont liées.

Depuis la crise économique de 2008, les situations précaires et les pertes d’emplois sont beaucoup plus fréquentes, et cette nouvelle ère serait difficile pour plusieurs ménages jugés sur ou sous le seuil de la pauvreté.

Stress, anxiété, incapacité à prévoir un avenir financier stable, troubles de l’humeur, problèmes de confiance, voilà tout autant de symptômes qui se traduisent par des relations moins stables, des mariages explosifs et une baisse de natalité.

« Les Américains de la classe ouvrière ont souvent un emploi précaire, et donc peu de capacités à planifier un avenir familial », résume Sarah Corse, leader des recherches.

Un portrait sombre, mais théoriquement réversible.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Un lien est démontré entre la santé psychologique et la sexualité

Quelques études sur la sexualité paraissent aujourd’hui, dont une sur les effets d’une sexualité abondante, mais celle qui retient le plus l’attention est probablement cette autre qui trace un lien entre la santé psychologique et certains comportements sexuels.

C’est Santé Log qui rapporte cette étude, par ailleurs effectuée par des chercheurs de l’Université California State, voulant que les gens plus enclins aux aventures d’un soir ou uniques puissent présenter des signes d’instabilité psychologique ou d’anxiété.

Publiées dans le Journal of Sexual Research, les théories et conclusions avancées font état d’autres études précédentes sur le sujet, pas toutes concluantes, mais dont certaines avaient reconnu le lien entre le « vagabondage sexuel » et une faible estime de soi.

La présente tend plus à conclure que les gens plus stables sur les plans psychologique et émotif chercheraient moins les rapports sexuels constants avec plusieurs partenaires différents pour des histoires d’un soir.

Les chercheurs impliqués dans l’étude tiennent cependant à préciser qu’on parle bien d’un lien tracé, et non d’une cause à effet.

L’étude a été effectuée auprès de près de 4000 sujets.

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Une bonne relation avec le père favorise la stabilité émotionnelle

Habituellement, ce genre d’étude se penche plutôt sur la relation mère-enfant, mais cette fois après avoir interrogé 900 hommes et femmes maintenant âgées de 25 à 74 ans, les chercheurs constatent que la relation avec le père affecte la santé mentale, une fois adulte.

Pour l’étude, on a demandé aux personnes pendant huit jours de décrire leur détresse psychologique, voir si elles étaient déprimées, nerveuses ou tristes. On leur a demandé de rapporter les événements stressants de leur journée, également. Tout en les questionnant sur leur relation avec leurs parents durant leur enfance, explique le Telegraph.

La majorité a décrit leur relation avec leur mère comme étant meilleure que celle avec leur père; étonnamment, plus d’hommes ont fait cette affirmation. Parmi ces personnes, on a noté 3 % moins de détresse que ceux ayant une mauvaise relation avec leur mère.

Toutefois, pour la relation avec le père, on observe que l’impact se fait plus tard, une fois adulte. Ceux ayant conservé des souvenirs d’enfance agréables avec leur père étaient moins émotifs face aux événements stressants de leur quotidien.

Cela démontre combien la relation avec le père est aussi importante. Dans les dernières années, le rôle du père a beaucoup changé, et nous savons qu’ils ont une façon unique d’interagir avec leurs enfants.