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La prise d’aspirine pourrait prévenir du cancer de la peau chez la femme

La prise d’aspirine sur une base quotidienne est un comportement populaire, conseillé par certains spécialistes et décrié par d’autres. Si les théories sont mitigées à son propos, l’aspirine reçoit maintenant un autre appui, cette fois en ce qui concerne un certain type de cancer.

En effet, Top Santé rapporte que les femmes pourraient voir les risques de développer un cancer de la peau, ou un mélanome, diminuer grandement grâce à l’aspirine.

Ce sont des chercheurs de la prestigieuse Université Stanford qui avancent ces conclusions, en se basant sur leurs observations.

Ces dernières ont été effectuées sur près de 60 000 patientes, suivies sur une période de 12 ans. Ces femmes, âgées de 50 à 79 ans, ont vu leurs chances de développer un mélanome diminuer de 21 %, toujours selon les chercheurs de Stanford.

« Cette découverte suggère que l’aspirine pourrait avoir un effet préventif contre le développement du mélanome », termine le Dr Jean Tang, directeur de ces nouvelles recherches.

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L’intelligence globale serait en déclin

Un nouvel article rapporté par www.nlm.nih.gov prétend que l’intelligence humaine globale est en déclin, ce qui a de quoi soulever les passions et les débats!

C’est que selon les chercheurs à la tête de ce rapport, le manque de pression face à son évolution le ralentit dans son développement. En clair, nous serions si bien dans notre époque que nous ne sentirions plus le besoin d’évoluer, ce qui viendrait amortir nos capacités intellectuelles globales et atténuer la propension naturelle de l’homme à évoluer.

Il faut avouer qu’en cette ère de technologie et de facilité, les grands défis se font de moins en moins nombreux en matière de qualité de vie quotidienne.

L’article, paru dans le journal Trends in Genetics, est catégorique : la toile de gènes qui compose ces fonctions humaines d’évolution est en train de reculer, et le processus est déjà entamé.

Le Dr Gerald Crabtree, de l’Université Stanford, explique : « Le développement de nos habiletés intellectuelles et l’optimisation des milliers de gènes de l’intelligence ont probablement connu leur paroxysme avant même que nos ancêtres n’émergent de l’Afrique ».

À l’époque, l’humain devait inévitablement évoluer ou créer pour survivre à la prochaine journée, ce qui n’est plus tout à fait le cas, avouons-le.

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Stanford à la rescousse des gens aux prises avec des problèmes de poids

L’Université Stanford annonce qu’elle croit être en mesure de venir en aide aux gens qui désirent conserver leur silhouette après avoir perdu du poids, affirme topsante.com.

Les chercheurs se sont principalement attaqués au problème de « l’effet yo-yo », c’est-à-dire le phénomène remarqué chez certaines personnes qui arrivent à perdre du poids, mais qui le reprennent aussitôt.

Non seulement la perte et la prise de poids rapide ne sont pas bonnes pour la santé, il s’agit d’un comportement qui risque de décourager la personne en surpoids de tenter d’en reperdre.

L’étude publiée par ces chercheurs en décevra sans doute plusieurs, alors que celle-ci ne produit pas de solution miracle. Simplement, on parle d’utiliser son gros bon sens.

Et voilà que repart la même chanson : manger plus de légumes, manger moins, noter ses repas et ses apports caloriques dans un grand livre, faire de l’exercice.

Si l’on constate que les mesures proposées ne changent guère, les chercheurs suggèrent toutefois aux gens en surpoids de prendre de nouvelles habitudes alimentaires et de vie avant de commencer un régime ou un programme d’exercice.

Pour eux, il faut être prêt mentalement avant de l’être physiquement.