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LOTERIE: Une statistique qui consolera les partisans du Canadien

On le sait déjà, le Canadien ne terminera pas la saison dans les bas fonds du classement général de la LNH malgré l’avalanche de blessures qui a frappé l’équipe cette saison.

Ce sera plutôt au 27e ou au 28e rang que l’équipe terminera, dépendamment des résultats des matchs ce soir.

Même si les partisans de l’équipe auraient assurément préféré avoir les meilleures chances mathématiques de remporter la loterie du repêchage et ainsi mettre la main sur le phénomène Connor Bedard, voici une statistique pour le moins intéressante qui pourra venir les réconforter.

Depuis la mise en place de la loterie du repêchage en 1995, l’équipe qui a terminé au dernier rang total du classement général et qui avait les meilleures chances de remporter le tirage, n’a obtenu le premier choix total que 11 fois sur 28, soit un maigre 39%.

Que le Canadien ait 7.5% ou 8.5% de remporter le grand tirage dans quelques semaines, il y a donc lieu d’espérer que Bedard puisse tout de même atterir à Montréal.

On se croise les doigts!

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De sévères lacunes dans la détection de la malnutrition au Canada

Les centres hospitaliers et les médecins canadiens auraient du mal à détecter ou à prendre le temps de détecter les problèmes de malnutrition chez les patients qui se présentent aux urgences et en consultation, révèle une nouvelle étude.

La recherche, sous forme de sondage et rapportée par MedicalNewsToday, estime qu’il existe un écart significatif entre les pratiques jugées optimales et nécessaires dans la détection de la malnutrition, et celles observables sur le terrain au quotidien.

Menée par la Canadian Malnutrition Task Force, l’étude-sondage révèle que la plupart des médecins (87 %) estiment que les questions de nutrition sont vitales dans le maintien de la bonne santé et afin de tracer un bon diagnostic, lors de l’admission d’un patient et lors de son départ de l’hôpital.

« La malnutrition et les problèmes alimentaires des patients hospitalisés est une question qui peut affecter les soins de service au final, incluant la durée des soins nécessaires », mentionne la Dre Peggi Hunter de l’American Society for Parenteral and Enteral Nutrition (A.S.P.E.N.)

Cependant, seulement 33 % s’attarderaient à cette question lors de l’admission d’un patient, et 29 % lors du départ de celui-ci.

Les résultats de la recherche et du sondage ont été publiés dans le journal de l’A.S.P.E.N.

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De plus en plus de demandes de cultures de marijuana médicinale au Canada

Santé Canada serait assiégée de demandes pour des permis de culture de marijuana thérapeutique, selon les informations rapportées par Le Devoir.

Ces chiffres risquent d’être à la hausse pour encore un bon moment. Santé Canada observe une montée en flèche de ces demandes, qui oscillent maintenant à près de 25 nouvelles requêtes par semaine.

On recense plus de 850 demandes en date de la fin du mois d’avril, contrairement à 156 demandes en septembre 2013. Dès février 2014, les demandes se sont mises à tripler, et la hausse n’a jamais donné de signes de ralentissement.

Parmi les demandeurs, on retrouve des entrepreneurs possédant une expérience ou une expertise dans le domaine médical, ainsi que des sociétés minières. On peut aussi déduire que certaines demandes sont effectuées par des particuliers.

Plusieurs observateurs s’interrogent sur le phénomène. « Il s’agit d’une bureaucratie assiégée. Ils sont aux prises avec une situation à laquelle ils n’étaient pas préparés… il y a quelque chose qui ne fonctionne vraiment pas », s’exclame le président d’une entreprise demanderesse d’un permis, Umar Syed.

Plusieurs autres demandeurs abondent dans le même sens que M. Syed.

Santé Canada évalue à 1,3 milliard de dollars par année le marché du cannabis médicinal d’ici 2024, et une moyenne de consommateurs se situant autour de 450 000.

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Le marathon gagne en popularité

Radio-Canada rappelle l’arrivée de la saison des marathons avec la venue de l’été et rapporte une hausse statistique des sportifs s’adonnant à cette épreuve des plus exigeantes sur le plan physique, mais aussi sur le plan psychologique.

Ainsi, on rapporte que les marathons attirent maintenant environ 500 000 personnes annuellement, comparativement à 150 000 il y a trente ans. Une hausse qui continue d’être observable depuis les années 80, en somme, et qui traduit bien le choix de plusieurs personnes de transformer leurs vies ou de se fixer un objectif intense d’entraînement.

Paradoxalement, si on retrouve toujours plus d’athlètes de ce niveau, on continue également d’observer une hausse des personnes sédentaires ou qui ne pratiquent pas d’activité physique, rapporte cette même source.

« On parle de 150 000 participants dans les années 80 et, aujourd’hui, on compte un demi-million de marathoniens. On constate qu’il y a plus de gens qui y participent, c’est devenu un sport plus démocratique », estime le spécialiste Marc Gosselin.

Il existe également maintenant des compétitions appelées « ultra-marathon », qui proposent des parcours de 160 kilomètres, de quoi rassasier les plus extrêmes.

Les spécialistes s’accordent toutefois pour dire qu’il est important de consulter un médecin pour un bilan de santé avant de se lancer dans un entraînement de marathonien, et de demander conseil auprès de différentes sources ou professionnels de la santé.

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Des doubles mastectomies souvent inutiles

Il y a déjà un an, l’actrice Angelina Jolie annonçait sa décision de subir une double mastectomie pour contrer de sombres statistiques en matière de cancer du sein. Voilà qu’une nouvelle étude vient jeter une douche froide aux partisans de la manœuvre.

Angelina Jolie avait non seulement stupéfait l’industrie et ses fans avec une telle annonce (ses médecins estimaient ses chances de développer un cancer du sein à près de 90 %), mais avait aussi par le fait même lancé un profond débat sur le sujet.

Beaucoup de femmes ont suivi son exemple, et l’opération a gagné en visibilité.

Or, selon une étude de l’Université du Michigan, plusieurs doubles mastectomies seraient pratiquées inutilement. Le problème, c’est que 70 % des femmes qui prennent cette décision n’auraient pas besoin de le faire, même après un diagnostic de cancer du sein qui n’en touche qu’un seul, rapporte Radio-Canada.

« Chez les femmes, c’est apparemment la crainte d’une résurgence de leur cancer qui les conduites à décider d’une mastectomie prophylactique, ce qui est absurde, car le fait d’enlever le sein non malade ne réduit en rien le risque de réapparition de la tumeur dans le sein touché », explique la Dre Sarah Hawley, qui dirige l’étude.

Cette dernière a analysé les dossiers de près de 1500 femmes.

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Encore une victoire pour la cigarette électronique

Le dossier des cigarettes électronique prend de plus en plus des allures de guerre théorique sans pitié, alors que les études contradictoires sur le sujet se multiplient au fil des semaines, depuis l’arrivée de ces produits sur le marché.

Il semble que la cigarette remporte une autre bataille cependant, alors qu’une nouvelle étude vantant ses mérites en ce qui concerne l’arrêt du tabagisme vient d’être publiée et rapportée par le New York Times.

L’étude britannique en question s’est intéressée aux méthodes utilisées par les fumeurs pour cesser de fumer, et aux taux de réussite de celles-ci.

Après avoir sondé près de 6000 répondants, qui ont tous tenté de cesser de fumer sans aide professionnelle, il appert que la cigarette électronique se classe dans une position avantageuse dans certaines catégories.

Un fumeur sur cinq avait cessé de fumer grâce à la cigarette électronique lors du sondage, alors que seulement un sur dix y était parvenu en utilisant les timbres et les gommes de nicotine.

« Ceci ne va pas régler le problème de la cigarette électronique d’aucune façon, mais c’est une nouvelle preuve de son efficacité dans le contexte du monde réel », déclare notamment le chercheur Thomas J. Glynn, de l’American Cancer Society.

Les résultats de cette étude-sondage effectuée par l’University College London seront publiés cette semaine dans le journal Addiction.

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La dépression frappe chez les personnes âgées

Depuis quelques années, les statistiques de cas de dépression chez les personnes âgées surprennent. Le Devoir rapporte une fois de plus quelques chiffres qui démontrent que le phénomène n’a probablement pas ralenti depuis l’an dernier.

Selon le quotidien, qui prend ses chiffres de l’Enquête québécoise sur les limitations, les maladies chroniques et le vieillissement (EQLAV) et des analyses de l’Institut de la statistique du Québec, une personne âgée sur cinq souffrirait de troubles de l’humeur et/ou de dépression. 20 %, en somme, de nos aînés perdent le goût de vivre, alors qu’ils ont traversé tant d’épreuves.

La statistique grimpe à 60 % chez les personnes âgées déclarées invalides ou en incapacité grave. Passé l’âge de 85 ans, une personne âgée sur quatre serait touchée par la dépression.

Les femmes seraient davantage touchées, ainsi que les personnes seules ou sous le seuil de pauvreté.

« En identifiant ces personnes vulnérables, cela permet de faire de la prévention et d’éviter d’éventuels recours aux services de santé. Ces indicateurs peuvent aussi permettre de suivre l’évolution de la clientèle des personnes âgées, de voir comment le système de santé doit s’adapter à cette réalité et appliquer les interventions les plus utiles », explique Maxime Murphy, qui dirige l’étude.

Des conclusions bien tristes, surtout à une époque où le système de santé québécois démontre tant de signes de fatigue qu’il est devenu de plus en plus difficile d’aider les plus démunis et les personnes aux prises avec des troubles mentaux ou dépressifs.

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Combien de vies pourraient être sauvées avec un mode de vie plus sain?

37 millions. Voilà le nombre de vies qui pourraient être sauvées ou rallongées avec de simples changements de vie au quotidien, selon une nouvelle étude britannique rapportée par Top Santé.

37 millions de personnes dans le monde pourraient donc être sauvées si elles arrêtaient de fumer, mangeaient moins de sel, mangeaient plus de fruits et de légumes ou faisaient de l’exercice physique sur une base régulière.

De petits changements relativement simples, mais qui semblent souvent représenter un défi insurmontable pour un grand nombre de gens. Ceux-ci pourraient cependant se soustraire à une mort prématurée, selon les chercheurs de l’Imperial College de Londres qui publient l’étude.

Après avoir analysé plusieurs facteurs observables dans différents pays, les chercheurs britanniques concluent qu’une réduction de la consommation d’alcool de 10 % ainsi qu’une diminution de sel dans l’alimentation de 25 % pourraient représenter des baisses de 20 % des risques de mortalité chez les 30 à 70 ans.

« Atteindre ces objectifs de vie plus saine permettrait d’accentuer la baisse de la mortalité par maladies cardiovasculaires et par maladies respiratoires chroniques, de réduire le nombre de morts causé par les cancers du poumon et de l’estomac, et d’inverser la tendance en matière de mortalité liée au diabète », explique un des auteurs de l’étude.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le magazine The Lancet.

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L’obésité au Canada est un phénomène surévalué, selon Fraser

Le Devoir et La Presse rapportent des déclarations et observations étonnantes de la part de l’Institut Fraser, qui publie un rapport concernant l’obésité au Canada.

On mentionne d’abord que le fléau ne serait pas aussi alarmant que ce que l’on veut nous faire croire, à tout le moins depuis 2003. Fraser estime que la situation de l’obésité se serait stabilisée depuis quelques années, et que la promotion de ce que l’on appelle « l’épidémie d’obésité » serait grandement biaisée.

L’Institut Fraser va encore plus loin dans son raisonnement, ajoute La Presse, et accuse maintenant le gouvernement d’avoir des intentions cachées et d’utiliser la peur de l’obésité comme une arme personnelle.

Le rapport estime que le gouvernement « diabolise » et « freine la croissance » de certaines entreprises. « Les interventions des gouvernements imposent des coûts sans discernement et diabolisent à tort certains aliments, fabricants et distributeurs de produits alimentaires », mentionne Fraser dans son rapport.

Bien entendu, ces propos ont fait bondir plusieurs regroupements, à commencer par la Coalition québécoise sur la problématique du poids, qui croit que Fraser fait erreur en responsabilisant seulement l’individu.

Un débat qui s’annonce intéressant, en somme, et qui démontre un revers à une médaille qui frôle l’hystérie un peu partout dans le monde, et spécialement chez nous.

À noter : Statistique Canada remarque en effet une stabilisation du taux d’obésité, mais depuis 2011.

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De plus en plus de médecins choisissent le privé

Ce n’est pas qu’une impression, semble-t-il, et il ne s’agit pas d’un phénomène réservé aux patients et aux usagers du système de santé québécois : les médecins aussi choisissent de plus en plus le privé au Québec.

Voilà le constat rapporté par Radio-Canada, qui propose des statistiques en la matière. Le spécialiste Louis Demers et le nouveau président de la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec, le Dr Louis Godin, étaient d’ailleurs de passage à la première chaîne pour discuter du dossier.

On apprend que la tendance des médecins vers le privé est en constante progression depuis quelques années, soit depuis 2007, et que rien ne semble indiquer une baisse à venir.

Alors qu’en 2007, le nombre de médecins qui effectuaient leur pratique au privé était de 65, ils sont maintenant 201 en 2014.

L’environnement de travail des médecins et les conditions parallèles, ainsi que la lourdeur du système, seraient au nombre des raisons qui expliquent le phénomène, selon les invités de Bruno Savard.

Un constat qui peut en alarmer certains, mais qui démontre une véritable tendance que l’on ne pourra plus continuer d’ignorer longtemps au Québec.