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Gagnez 10 ans d’espérance de vie en arrêtant de fumer avant 35 ans

Si votre espérance de vie vous importe et que vous aimez les statistiques, cette nouvelle étude rapportée par topsante.com est pour vous.

Ciblant d’abord et principalement les femmes, sachez qu’elle s’applique également aux messieurs.

Donc, cette étude britannique dévoilait récemment des chiffres démontrant que l’arrêt du tabagisme avant la quarantaine pouvait entrainer un gain de neuf années supplémentaires chez les femmes, et même dix pour une personne qui arrête avant 35 ans.

Pour parvenir à ces conclusions, les chercheurs ont étudié les cas de 1,2 million de femmes recrutées entre 1996 et 2001, puis suivies jusqu’en 2011.

Le constat est évident pour le coauteur de l’étude, Richard Peto, de l’Université d’Oxford, qui déclare : « Qu’ils soient hommes ou femmes, les fumeurs qui arrêtent de fumer à un âge moyen vont gagner en moyenne 10 ans de vie ».

Le nombre de cigarettes par jour est également un facteur, selon le chercheur, une statistique que l’on entend de moins en moins récemment.

La courbe graphique de cette étude massive est on ne peut plus claire : plus on arrête le tabagisme tôt dans sa vie, plus le gain sur l’espérance de vie est élevé.

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Statistiques alarmantes de consommation chez les adolescents

La plus récente étude de l’Institut de la statistique du Québec concernant les habitudes de consommation diverses de nos adolescents renferme certaines statistiques alarmantes, rapporte radio-canada.ca.

D’abord, les chiffres sont toujours élevés en matière de surplus de poids, quoi que la courbe de progression, elle, ait ralenti.

La drogue, l’alcool et les produits du tabac sont toujours aussi prisés par la jeunesse québécoise, bien que l’on n’enregistre pas de hausse massive récente.

Il faut aussi noter qu’il s’agit de la première étude d’importance du genre dans le domaine, et qu’il est difficile de comparer avec des données précédentes, recueillies par d’autres méthodes. Ainsi, même si l’on semble constater que les courbes de progression sont stables, les chiffres n’en demeurent pas moins très élevés, surtout pour de jeunes humains encore en croissance.

En voici quelques-uns : 1 adolescent sur 5 présenterait des problèmes de poids (surplus), alors que la moitié (49 %) affirme ne pas être à l’aise avec son apparence corporelle.

En matière de consommation, l’alcool semble être le choix de prédilection du groupe visé, avec un taux de 60 % des répondants qui affirment avoir consommé de l’alcool au cours des 12 derniers mois.

La drogue fait partie de la vie du quart des répondants, qui avouent en avoir consommé dans l’année en cours. La marijuana est encore le choix numéro un des amateurs de stupéfiants dans nos écoles.

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Visiter des proches à l’étranger comporte des dangers

On le sait, chaque visite en sol étranger comporte son lot de risques. Cependant, saviez-vous que les gens qui voyagent pour visiter des parents ou des amis dans un autre pays courent plus de dangers que les autres?

Les CDC américains tiennent à faire cette précision, car les statistiques concernant les problèmes et maladies liés aux voyages outre-mer sont plus inquiétantes pour ceux qui visitent des proches que pour ceux qui s’offrent un simple voyage touristique.

Si ce raisonnement semble surprenant, il est cependant très logique. En effet, les gens en visite chez des connaissances ont tendance à demeurer plus longtemps en terre étrangère, ce qui augmente le risque de contracter des maladies locales.

De plus, ils sont plus à même de consommer nourriture et eau locales, aussi un facteur de risque.

Plusieurs précautions d’usage prises par les touristes « traditionnels » seraient aussi laissées de côté lorsqu’on est hébergé chez des gens que l’on connait, vu l’impression de « sécurité ». Or, les moustiques et autres insectes, par exemple, n’en sont pas moins dangereux dans certains pays.

On recommande donc aux voyageurs en visite de prendre les mêmes précautions que s’ils étaient en mode touristes, c’est-à-dire vaccins, crèmes, lotion contre les insectes, etc.

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La médication pour le cholestérol fonctionne

Il appert que les nouveaux médicaments qui contrôlent le taux de cholestérol dans le sang fonctionnent bien, selon les statistiques récentes.

Les chercheurs ont analysé les dossiers médicaux de plusieurs patients (près de 38 000) et, en faisant une moyenne, ont calculé les variations enregistrées entre 1988 et 2010.

Les résultats sont clairs et encourageants : les niveaux de mauvais cholestérol sont en baisse, du moins aux États-Unis. On peut déduire qu’il s’agit de statistiques similaires au Canada, puisque les traitements sont sensiblement les mêmes.

Ainsi, la moyenne des taux de cholestérol a chuté de dix points, passant de 206 à 196. Plus précisément, la moyenne du taux LDL (mauvais cholestérol) est passée de 129 à 116.

Ces chiffres permettent aux chercheurs d’affirmer, selon les conclusions rapportées par www.nlm.nih.gov, que la médication moderne prescrite aux gens qui ont des problèmes de ce type fonctionne, et bien.

Étonnamment, on suggère aussi que de diminuer sa consommation de cigarettes par jour peut contribuer à améliorer son taux de cholestérol dans le sang. Éliminer les gras trans et autres aliments nocifs peut également jouer un rôle déterminant.

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Plus de familles monoparentales

En fait, une famille sur cinq ne compte qu’un seul parent, et 85 % de ces parents sont des mères.

Cette situation est difficile pour plusieurs, puisque le tiers des familles monoparentales vit sous le seuil de la pauvreté. Le revenu de parents monoparentaux est souvent inférieur à 60 % du revenu moyen des familles avec deux parents.

Bien que les parents monoparentaux bénéficient d’aide financière gouvernementale, plusieurs d’entre eux restent pauvres.

Aussi, il est difficile de trouver un emploi pour ces parents s’occupant seuls de leurs enfants puisque très peu de solutions de garde leur sont accessibles.

En France, la Fédération nationale des familles monoparentales souhaite que « les plus démunis bénéficient d’un minimum garanti pour survivre », soit 75 % du salaire minimum.

La monoparentalité comporte aussi d’autres désavantages, notamment pour la santé du bébé.

Rappelons que les femmes monoparentales ou démunies financièrement ont tendance à suralimenter leur bébé. Par exemple, certaines ajoutent des céréales dans le biberon de leur enfant. Toutefois, cette méthode peut conduire à l’obésité infantile.

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Les mères adolescentes sont de moins en moins nombreuses

Selon un rapport de l’Institut de la statistique du Québec (ISQ) dévoilé le 10 avril dernier, le taux de fécondité des femmes de plus de 40 ans (10 sur mille) a dépassé celui des 15 à 19 ans (9 sur mille) en 2011. Cette donnée démontre que le taux de grossesses à l’adolescence n’a jamais été aussi bas au Québec.

La province se démarque d’ailleurs favorablement des autres provinces canadiennes, car ailleurs au pays, il y aurait 14 grossesses sur 1000 associées aux jeunes filles.

Aux États-Unis, le nombre de mères adolescentes est au plus bas depuis 70 ans, avec 34,3 naissances pour 1000 jeunes filles âgées de 15 à 19 ans. Il s’agit d’une baisse de 44 % par rapport à 1991.

Une étude du ministère américain de la Santé, avec les chiffres des Nations Unies en 2009, affirme que ces statistiques demeurent encore élevées comparativement aux autres pays industrialisés comme l’Australie (16,5 %) ou la France (10,2 %).

Fait plus troublant chez nos voisins, 4500 bébés nés de mères américaines âgées de 10 à 14 ans auraient été enregistrés en 2010.

Malgré une diminution significative de 9 % du taux de natalité chez les jeunes filles entre 2009 et 2010 aux États-Unis, notamment en raison d’une baisse de fécondité pour toutes les tranches d’âge (sauf les 40-45 ans) et des « nombreux programmes de santé publique » destinés aux adolescents, la grossesse précoce des 15-19 ans reste « un sujet d’inquiétude en raison du taux élevé des risques pour la santé des jeunes mères et de leurs enfants », indique le ministère de la Santé.

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Bébés en Alaska : le taux de mortalité ne diminue pas

Pour les nourrissons de l’Alaska, le taux de mortalité postnéonatale a chuté de 4,9 pour 1000 naissances en 1989 à 3,9 pour mille en 2009.

En 2007, le taux de mortalité postnéonatale chez les autochtones de l’Alaska et d’autres Amérindiens était de 4,67 pour 1000, contre 2,33 chez le reste des enfants américains.

Cette étude a révélé que le taux de mortalité reste élevé en Alaska, même si bien des décès pourraient être évités.

Les facteurs de risque de décès chez les nourrissons autochtones de l’Alaska les plus fréquents sont la naissance avant 34 semaines, la naissance entre 34 et 36 semaines, le faible poids à la naissance, le tabagisme prénatal maternel, la consommation d’alcool pendant la grossesse et le fait que la mère est célibataire et/ou le père ne figure pas sur le certificat de naissance.

Le rapport souligne également le manque de ressources dans le domaine de la santé pour cet État américain.

Cependant, depuis 1996, l’instauration du programme d’éducation publique Back to Sleep en Alaska aurait permis de faire diminuer la mortalité associée au syndrome de mort subite.

Le rapport affirme que les infections et les anomalies congénitales n’ont pas diminué au cours des dernières années.

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De nouvelles statistiques alarmantes pour les futures mamans fumeuses

Le Daily Mail rapporte les récents résultats d’une étude menée à partir de 172 documents de recherche publiés dans les 50 dernières années.
 
Une fois de plus, les scientifiques se sont penchés sur les effets néfastes du tabac sur les nouveau-nés. Les documents analysés comprenaient un total de 174 000 cas de malformations de toutes sortes, qui ont été comparés, puis compilés selon différents facteurs.

Le rapport suggère que la femme enceinte qui fume augmente significativement les risques (26 %) de malformations congénitales graves, comprenant la déformation ou l’atrophie des membres. Notamment, la publication soulève que l’utilisation du tabac pendant la grossesse augmente de 28 % le risque d’une naissance avec un pied bot ou une fente labiale.

D’autre part, l’étude affirme que les nouveau-nés sont plus vulnérables de 50 % à l’affection de la laparoschisis, aussi appelée gastroschisis, consistant en une malformation de la paroi abdominale. La fente ainsi créée laisse saillir les intestins sans aucune protection.

Les chercheurs déplorent que malgré la quantité d’avertissements, appuyés par les résultats d’une multitude de recherches, de nombreuses femmes continuent à fumer pendant leur grossesse. Au Royaume-Uni, c’est 17 % des femmes enceintes qui fument et aux États-Unis, 45 % des jeunes en bas de 20 ans consomment des produits du tabac.

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Les fumeuses qui faussent la donne

Selon une étude de l’Institut national de santé publique (INSPQ), le taux de cancer serait en diminution au sein de la population si les Québécoises n’avaient pas autant fumé dans les années 1970.

En effet, entre 1981 et 2002, le taux de décès liés au cancer du poumon a enregistré une constante progression au Québec.

« C’est le résultat du taux de tabagisme chez la femme qui a atteint les plus hauts sommets dans les années 1970, alors qu’il y avait déjà à ce moment-là une baisse de la prévalence du tabagisme chez les hommes », indique le rapport de l’INSPQ.

Le taux de mortalité de ce type de cancer est toutefois stable, voire en baisse, chez l’homme

L’INSPQ avance que 40 500 nouveaux cas de cancer seront déclarés cette année et que 19 400 personnes succomberont à la maladie.

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Plus de malades chroniques au Québec

Une étude réalisée par l’Institut de la statistique du Québec démontre que le nombre de Québécois aux prises avec une maladie chronique est à la hausse, rapporte La Presse.

De 2000 à 2005, le pourcentage de la population atteint d’une maladie chronique a monté de 26,5 % à 29,3 %. Cette progression serait normale étant donné le vieillissement de la population.

Toutefois, le fait d’améliorer ses habitudes de vie contribuerait à prévenir la maladie chronique. Le tabagisme, le manque d’exercice, l’obésité, la consommation abusive d’alcool augmentent le risque de développer un tel dysfonctionnement.

Les cas d’arthrite et d’hypertension sont davantage à la hausse que les cas de cancer, de diabète, d’hypertension, de maladies cardiaques ou pulmonaires et de troubles de l’humeur. Notons que l’obésité augmente le risque de souffrir d’arthrite.

Ce phénomène existe partout au Canada. La hausse du nombre de malades chroniques est toutefois plus grande au Québec.