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Amélioration notable du taux de survie chez les patients en cardiologie

The National Library of Medicine rapporte des statistiques proposées par la Clinique Mayo, aux États-Unis, et qui dressent un bilan positif des avancées dans le domaine de la cardiologie au cours des dernières années.

Tellement qu’il semble que de moins en moins de patients admis en cardiologie meurent d’une maladie ou d’un trouble cardiovasculaire. Ces patients auraient maintenant plus de chances de mourir d’une autre maladie que de succomber aux traitements d’un trouble cardiovasculaire.

Ces étonnantes révélations se basent sur les observations effectuées par des spécialistes de la Clinique Mayo au cours de trois périodes distinctes, soit de 1991 à 1996, de 1997 à 2002, et de 2003 à 2008.

« Nous avons découvert que les patients aux prises avec une maladie cardiovasculaire établie dans l’ère moderne ont environ une chance sur trois de mourir des suites de ce problème, contre deux chances sur trois de mourir à la suite d’un autre problème, non cardiaque », résume le Dr Rajiv Gulati, de la Clinique Mayo.

Un phénomène étonnant, mais qui confirme bien les superbes avancées et percées observées au cours des dernières décennies dans le monde médical, notamment en cardiologie.

Ces observations ont été publiées dans le journal Circulation en février.

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Hausse des cas d’accidents de la route liés à la marijuana aux États-Unis

The National Library of Medicine rapporte des statistiques alarmantes démontrant une hausse significative des cas d’accidents de la route mortels liés à la consommation de marijuana, au cours des dix dernières années.

Ironiquement, la publication de ces statistiques en provenance des États-Unis survient au même moment où certains États américains viennent de légaliser le cannabis, notamment au Colorado et à Washington.

Selon les informations proposées par des chercheurs de l’Université Columbia, les accidents mortels liés à la consommation de cette drogue douce auraient triplé au cours de la dernière décennie.

« En ce moment, un conducteur sur neuf impliqué dans un accident de la route mortel serait testé positivement à la marijuana. Si la tendance se maintient, dans cinq ou six ans, les drogues auront dépassé l’alcool comme substance la plus impliquée dans les décès à survenir sur les routes », s’inquiète le Dr Guohua Li.

Le cannabis est donc de loin la substance qui affiche la plus grande progression à ce chapitre, un phénomène auquel il faudra s’attaquer vigoureusement, selon les chercheurs de Columbia.

L’un des principaux problèmes des autorités est la difficulté à créer et mettre sur pied des tests de dépistage. On estime cependant que de sérieuses percées pourraient être effectuées en ce sens au cours des cinq prochaines années.

Ces révélations ont été publiées en ligne dans l’American Journal of Epidemiology.

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Glaucome : Maintenant deux fois moins de chances de perdre la vue

Il semble que les risques de cécité dus au glaucome, un problème de santé qui touche les yeux et qui apparait souvent avec l’âge, ont diminué de moitié au cours de la dernière génération, rapporte The National Library of Medicine.

C’est une nouvelle étude en provenance du Minnesota, aux États-Unis, qui dresse ce portrait beaucoup plus optimiste en la matière, et qui fait état de soins de santé qui se seraient globalement et constamment améliorés au cours des dernières années.

Si les statistiques concernant le glaucome et les chances de voir la maladie se développer n’ont pas vraiment bougé, il en va autrement du risque de perdre la vue à la suite de son diagnostic, relèvent les chercheurs en tête de l’étude.

« C’est un testament du talent et des efforts des chercheurs, des physiciens et des autres membres du personnel de santé qui ont travaillé aux soins des yeux au cours de cette période », lance le Dr Arthur Sit, ophtalmologiste à la Clinique Mayo et auteur en chef de l’étude.

Le Dr Sit et son équipe rappellent cependant que la meilleure façon de prévenir des problèmes aux yeux est de consulter le plus régulièrement possible.

Les conclusions de l’étude en question ont été publiées dans le journal Ophtalmology.

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Les nouvelles règles de la LNH n’ont pas changé la donne en matière de santé

The National Library of Medicine rapporte des statistiques qui en disent long sur l’inefficacité des nouvelles règles implantées par la Ligue nationale de hockey en matière de violence, de sécurité et de commotions cérébrales.

Selon les informations rapportées, c’est pas moins des deux tiers des joueurs, soit deux sur trois, qui aura manqué au moins un match en raison d’une blessure au cours d’une période de temps estimée à trois saisons.

Financièrement, cela se traduit aussi par une somme estimée de 653 millions de dollars versés à des joueurs qui ne jouent pas, selon une étude proposée par le Dr Michael Cusimano du St. Michael’s Hospital de Toronto.

Mais le Dr Cusimano se soucie davantage de la santé des sportifs, et croit que ces « employés » méritent les mêmes égards que les autres travailleurs.

« Les employeurs ont la responsabilité morale de protéger leurs employés. Les propriétaires de la LNH doivent faire un meilleur travail à protéger leurs athlètes, sinon pour le bien des joueurs, pour celui de leurs propres portefeuilles », lance le médecin canadien.

Les données de Cusimano sont celles recueillies au cours des saisons 2009 à 2012, et reflètent un problème criant.

Les commotions et les blessures au cou arrivent deuxièmes derrière les blessures aux pieds et aux jambes, mais s’avèrent en somme les plus coûteuses en termes de temps et d’argent. Les blessures à la tête sont aussi celles qui favorisent le plus de séquelles ou de problèmes de santé, à long terme.

La voix du Dr Cusimano se joint donc à celle de plusieurs autres spécialistes, joueurs et fans qui croient qu’il est temps de sévir contre la violence au hockey, et d’imprégner à nouveau notre sport national de fierté et de respect.

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Une majorité de gens surestime leur degré d’activité physique

Une majorité de gens surestimerait leur degré d’activité physique, selon des informations proposées par le Daily Mail (UK), et ne serait pas tout en fait en phase avec la réalité de leurs véritables réalisations personnelles en matière de sport.

Une équipe d’experts publient d’intéressantes statistiques dans le Medicine & Science in Sports & Exercise, qui révèlent que la plupart des gens se croient bien plus actifs qu’ils ne le sont en réalité.

De plus, les hommes seraient plus fautifs que les femmes, paraît-il, et auraient tendance à largement surestimer leurs efforts, toujours selon les informations rapportées.

Les hommes ajouteraient 56 minutes de trop à leur bilan d’activité physique hebdomadaire, contre 52 pour les femmes. Les deux sexes auraient cependant la tendance égale de sous-estimer le temps passé assis, à ne rien faire et à manger.

C’est en évaluant près de 1800 participants volontaires et leurs habitudes de vie que les chercheurs en sont venus à de telles conclusions, et si ces derniers ne proposent pas de solutions tangibles, on peut comprendre qu’il faudra s’assurer d’être un peu plus durs envers nous-mêmes et nos capacités afin de fournir un véritable effort qui aura de l’impact sur notre santé.

Fait intrigant en conclusion, les chercheurs estiment que les personnes possédant un bagage d’études universitaires auraient moins tendance à mentir ou à gonfler les faits que les autres!

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Injecter de l’argent en santé bénéficierait davantage aux hommes qu’aux femmes

Une étude proposée par un candidat au doctorat montréalais dévoile des statistiques intéressantes en matière de développement du système de santé et de ses impacts sur les hommes et les femmes.

Rapportée par The National Library of Medicine, l’étude en question analyse des données en provenance de 27 pays développés concernant leur système de santé, et l’efficacité des sommes injectées.

« Nous avons été surpris de découvrir un large écart entre les sexes en matière d’efficacité des sommes injectées à travers les pays industrialisés dans le monde », lance Douglas Barthold, de l’Université McGill.

Il appert en effet que depuis 1991, les avancées médicales et les investissements en capitaux dans les systèmes de santé ont largement profité aux hommes, qui ont vu leur espérance de vie augmenter plus rapidement que celle des femmes.

Il semble que pour chaque 100 $ investi dans un système de santé de l’un de ces pays, un homme gagnerait 2,56 mois d’espérance de vie, contre 1,26 pour les femmes.

Ces étranges conclusions demeurent à être développées et expliquées plus en détail, mais on peut noter que les femmes bénéficiaient déjà d’une espérance de vie plus grande, ce qui s’avère vrai à ce jour.

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Les conducteurs ne regardent pas la route 10 % du temps

Les National Institutes of Health publient des statistiques éloquentes en matière de sécurité routière, et confirment que les distractions sont si nombreuses au volant que la grande majorité des conducteurs ne regardent plus la route une fois sur dix.

10 % du temps de conduite serait donc accordé à « autre chose » qu’à conduire, selon l’étude proposée, des statistiques démontrées par une équipe de chercheurs des NIH et de Virginia Tech.

Les chercheurs en sont arrivés à cette moyenne après avoir testé des conducteurs au volant sur une période donnée, à l’aide de technologies comme la vidéo et des capteurs sensoriels.

Du nombre des activités préférées des conducteurs, on retrouve le fait de texter, composer un numéro, manipuler divers objets et manger, et cela affecte d’une manière ou d’une autre l’acuité au volant.

On note que les dangers sont plus élevés lorsqu’il s’agit de jeunes conducteurs moins expérimentés, mais les conclusions touchent l’ensemble des automobilistes présents sur les routes, semble-t-il.

Les adolescents ont tout bonnement plus de risques de causer un accident en effectuant les mêmes actions que leurs aînés, en raison d’un manque d’expérience et de routines de conduite moins établies.

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Réduction majeure des risques de décès dus au cancer d’ici 2020

Il est rare de recevoir une bonne nouvelle, ou à tout le moins une encourageante, lorsqu’il est question de la terrible maladie qu’est le cancer, mais en voici une rapportée par le Daily Mail (UK) qui permet d’entrevoir une lueur d’espoir.

C’est que selon des statistiques et analyses proposées le Centre de Recherche en Cancer Macmillan, les risques de décès dus au cancer auront chuté de près de la moitié d’ici l’an 2020, soit une baisse de 44 % depuis 1990, au total.

D’ici la fin de la décennie, croient les chercheurs, 65 % des femmes qui recevront un diagnostic de cancer du sein survivront à la maladie. 65 % des hommes souffrant d’un cancer de la prostate auront droit au même sort, une statistique qui s’arrête à 61 % pour les patients atteints du cancer du côlon.

Malheureusement, ces hausses statistiques ne semblent pas s’appliquer en ce qui concerne le cancer du poumon, qui semble déterminer à demeurer aussi meurtrier.

Bien que la victoire définitive dans la lutte au cancer ne soit pas encore à notre portée, ces baisses statistiques des taux de mortalité dus au cancer semblent en progression constante et s’avèrent une excellente nouvelle.

On explique le phénomène par une meilleure compréhension de la maladie, des méthodes de traitement, des nouvelles technologies, et par un dépistage plus agressif. Les chercheurs rappellent d’ailleurs l’importance de subir des tests de dépistage à différents stades de la vie, afin de continuer à améliorer les chances de survie en matière de cancer.

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De meilleures performances cognitives chez les aînés d’aujourd’hui

Les aînés d’aujourd’hui sont-ils plus « performants » que leurs ancêtres des décennies précédentes?

C’est le constat auquel semble arriver des chercheurs européens, qui publient une étude sur le sujet, rapporte The National Library of Medicine.

Les spécialistes en cause dans cette recherche constatent que les personnes présentement âgées de 80 ans et plus possèdent de plus grandes aptitudes cognitives, en moyenne, qu’il y a dix ans.

Ces mêmes personnes afficheraient par ailleurs le même genre de résultats qu’à l’âge de 70 ans, ce qui semble signifier que d’atteindre ce palier vénérable d’âge pourrait devenir une norme, le tout en bonne santé.

« Les gens sont en fait mieux éduqués qu’ils ne l’étaient, et leur situation économique pourrait aussi être meilleure, comparativement aux groupes précédents. Tous ces facteurs combinés travaillent de concert pour une situation améliorée », analyse Dallas Anderson, qui étudie la démence dans le Maryland, mais qui n’a pas pris part à l’étude.

Plusieurs autres facteurs sont cependant à prendre en considération avant de parler d’une tendance mondiale, croient d’autres observateurs en santé, à commencer par exemple par l’accès aux soins de santé offerts dans certains pays.

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Temps des fêtes : Un gain moyen de quatre livres et trois mois pour le perdre

À l’approche de la fête de Noël, le Daily Mail (UK) rapporte une amusante étude sur l’alimentation lors du temps des fêtes, dressant un portrait des habitudes moyennes en termes de nutrition et de gain de poids lors de cette période festive.

Ainsi, grâce à cette étude-sondage réalisée pour le compte d’une compagnie de suppléments alimentaires, on apprend que 52 % des gens doublent leurs apports caloriques, et que 44 % des répondants « se laissent complètement aller lors du temps des fêtes ». Une hilarante affirmation qui se traduit par un gain de poids moyen de quatre livres.

De plus, ce poids pris en l’espace d’une seule semaine, toujours en moyenne, prendrait ensuite trois ou quatre mois pour disparaître!

On peut donc dire que ce poids ajouté lors du temps des fêtes pourrait vous suivre… jusqu’à Pâques.

Les mets traditionnels, les aliments frits, les grignotines et, bien sûr, l’alcool, sont tous à blâmer, mais avouons qu’il n’est pas mauvais de cesser de se donner mauvaise conscience et de prendre une pause d’obsession de la minceur une fois par année.