Catégories
Uncategorized

Des baisses statistiques des cas de démence

Bien que les cas de démence, par exemple en ce qui concerne la maladie d’Alzheimer, sont pris au sérieux et confrontés plus que jamais par les spécialistes, il semble que ceux-ci soient généralement en baisse et moins hâtifs, selon des chiffres étonnants rapportés par Santé Log.

En fait, il semble qu’au cours des dernières années, les maladies dégénératives cérébrales liées au vieillissement, comme l’Alzheimer, ont ralenti en termes de progression moyenne, et frapperaient même plus tard dans la vie de plusieurs patients qu’auparavant.

Plusieurs facteurs peuvent expliquer le phénomène, à commencer par l’amélioration de la technologie et des soins de santé dans de tels cas, ainsi qu’une meilleure sensibilisation aux facteurs qui peuvent encourager le développement, à court ou très long terme, de maladies comme l’Alzheimer.

Du nombre, bien sûr, l’alimentation, le tabagisme, les habitudes en termes d’activité physique, le taux de sucre et le poids moyen.

Même si le combat contre la démence due au vieillissement n’en est pas à ses dernières batailles, les spécialistes américains (Californie, Michigan, Washington) qui publient leurs observations croient qu’il est important d’être optimiste et de continuer à miser sur la prévention pour les années à venir, le temps que l’on développe de nouveaux traitements.

Catégories
Uncategorized

Les femmes qui feignent l’orgasme sont plus enclines à l’adultère

Les femmes qui simulent l’orgasme lors des relations sexuelles avec leurs partenaires sont plus enclines à tromper ces derniers, voilà la conclusion proposée dans cette nouvelle étude psychosexuelle rapportée par le Daily Mail (UK).

On apprend d’abord que 68 % des femmes feignent l’orgasme au moins une fois sur cinq, en moyenne, et que la plupart d’entre elles le font pour protéger leurs amoureux d’une éventuelle perte de confiance ou pour ne pas leur faire de peine.

Du lot, une femme sur six affirme tromper ou avoir trompé son partenaire, une statistique que les chercheurs ont pu comparer à celle de l’orgasme simulé, avant d’en conclure que la simulation mène dans une grande proportion à l’adultère, et que les femmes simulent en grand nombre!

Mais avant de tomber à bras raccourci sur la gent féminine, et en conclusion, il est important de mentionner qu’une plus grande proportion d’hommes admettent avoir trompé leur compagne actuelle, soit un sur quatre… Tout cela en ne simulant qu’une fois sur vingt, toujours selon la divertissante étude américaine.

Catégories
Uncategorized

Plusieurs crises cardiaques chez les hommes pourraient être évitées

Ce sont des statistiques à la fois alarmantes et constructives que dévoile le Daily Mail (UK), alors qu’une étude avance qu’une bonne proportion des hommes d’âge moyen victimes d’AVC aurait pu éviter le pire grâce à une meilleure lecture des symptômes.

Selon les analyses effectuées sur les dossiers de 567 hommes victimes d’ACV,  plus de la moitié d’entre eux a ressenti des symptômes évocateurs quelques jours, voire quelques semaines, avant le drame.

Des indices comme des palpitations cardiaques, un souffle court, des étourdissements, des évanouissements ou encore des douleurs à la poitrine, voilà autant de signaux qui devraient pourtant mener ces hommes directement à l’hôpital. 

Malheureusement, trop peu prennent ces signes au sérieux, et l’orgueil ou un sentiment d’invulnérabilité prennent le dessus.

Or, toujours selon les chiffres proposés par l’étude, moins de 10 % des hommes victimes d’un AVC hors des murs d’un hôpital survivront…

Les spécialistes pressent donc les hommes de quarante ans et plus à ne jamais prendre ces symptômes à la légère, et d’envisager des examens de prévention.

Catégories
Uncategorized

4 % de la population du Québec seraient considérés comme dépendants

Radio-Canada rapporte une nouvelle étude québécoise qui affirme que 4 % de la population de la province seraient dépendants à quelque chose, que ce soit à une substance ou à un comportement.

350 000 personnes donc, si on fait le calcul, qui seraient aux prises avec une forme ou une autre de dépendance sur le territoire québécois, notamment aux drogues ou au jeu.

Si le nombre ne semble pas si alarmant, il n’en demeure pas moins que sur ces 350 000 personnes, seulement 55 000 auraient cherché de l’aide au cours de la dernière année, des statistiques qui semblent se répéter depuis un certain moment.

L’Association des centres de réadaptation en dépendance du Québec (ACRDQ), qui publie l’étude, croit que les deux tiers de la population du Québec ignorent carrément qu’il existe des organismes et un réseau de soutien qui vient en aide aux personnes dépendantes, ce qui ajoute au problème.

D’autres auront du mal à accepter qu’il existe un problème dans leur comportement, alors que plusieurs seront envahis d’un sentiment de honte et seront gênés de demander de l’aide.

Les trois phénomènes peuvent être contrés par des efforts de sensibilisation, croit l’ACRDQ, comme l’instauration de la Semaine de prévention de la toxicomanie, qui s’entame ce lundi (18 novembre).

Catégories
Uncategorized

4 % de la population du Québec seraient considérés comme dépendants

Radio-Canada rapporte une nouvelle étude québécoise qui affirme que 4 % de la population de la province seraient dépendants à quelque chose, que ce soit à une substance ou à un comportement.

350 000 personnes donc, si on fait le calcul, qui seraient aux prises avec une forme ou une autre de dépendance sur le territoire québécois, notamment aux drogues ou au jeu.

Si le nombre ne semble pas si alarmant, il n’en demeure pas moins que sur ces 350 000 personnes, seulement 55 000 auraient cherché de l’aide au cours de la dernière année, des statistiques qui semblent se répéter depuis un certain moment.

L’Association des centres de réadaptation en dépendance du Québec (ACRDQ), qui publie l’étude, croit que les deux tiers de la population du Québec ignorent carrément qu’il existe des organismes et un réseau de soutien qui vient en aide aux personnes dépendantes, ce qui ajoute au problème.

D’autres auront du mal à accepter qu’il existe un problème dans leur comportement, alors que plusieurs seront envahis d’un sentiment de honte et seront gênés de demander de l’aide.

Les trois phénomènes peuvent être contrés par des efforts de sensibilisation, croit l’ACRDQ, comme l’instauration de la Semaine de prévention de la toxicomanie, qui s’entame ce lundi (18 novembre).

Catégories
Uncategorized

Un nouveau site dévoilera les performances des centres hospitaliers du Québec

On blâme souvent le système public de santé du Québec, parfois avec raison, alors qu’il ne traverse pas ses meilleurs moments et semble continuellement engorgé et en manque de ressources.

Or, la situation n’est pas la même partout et peut varier en fonction de la période de l’année, mais aussi de l’établissement de santé visité. Pour s’y retrouver, l’Institut canadien d’information sur la santé (ICIS) propose maintenant l’idée d’un site web qui compilerait des statistiques liées aux performances des centres hospitaliers du Québec, rapporte Radio-Canada.

Le site se diviserait principalement en cinq catégories, soit l’accès aux soins, les dépenses, la qualité du service, les résultats observés et la qualité des outils de prévention déployés. Chacun pourra donc en savoir davantage sur le centre de santé de sa région, et ajuster le tir au besoin.

Il s’agit d’un outil qui pourrait s’avérer très utile, et bien qu’il ajoute de la pression au personnel des hôpitaux du Québec, il pourrait obliger certains établissements à rehausser la qualité des soins offerts et améliorer leurs performances générales. 

Bien qu’au moment d’écrire ces lignes, le site était inaccessible pour maintenance, les citoyens devraient pouvoir quérir ces informations via le www.notresystemedesante.ca sous peu.

Catégories
Uncategorized

L’acétaminophène et l’alcool ne font vraiment pas bon ménage

On sait depuis longtemps qu’il ne faut pas mélanger médicaments et alcool, la plupart du temps, mais cette règle s’applique également aux médicaments retrouvés en vente libre et qui semblent de prime abord inoffensifs.

Du coup, rapporte The National Library of Medicine, plusieurs personnes consomment régulièrement ou quotidiennement du Tylenol pour de multiples raisons, et boivent tout de même quelques verres d’alcool à l’occasion.

Or, selon une étude récemment publiée, la quantité d’acétaminophène ou d’alcool ingurgitée ne serait pas gage de sécurité. Selon des chercheurs américains, qui présentaient leurs conclusions lors de la rencontre annuelle de l’American Public Health Association à Boston, une posologie normale de Tylenol et une faible quantité d’alcool sont suffisantes pour causer de sérieux problèmes de santé.

Notamment aux reins, rapportent les chercheurs impliqués dans l’étude en question, alors que les risques de déficience ou d’insuffisance rénale augmenteraient de 123 % dans ces circonstances données.

Les chercheurs s’inquiètent d’autant plus que les statistiques de consommation d’acétaminophène et d’antidouleurs sont en hausse depuis quelques années. 

Catégories
Uncategorized

Le pain hausserait les risques de cancer du sein chez les femmes en ménopause

Une alimentation comprenant beaucoup de pain serait nuisible à la santé des femmes qui sont en ménopause ou qui s’en approchent, selon une étude rapportée par le Daily Mail (UK).

Des chercheurs de l’Université de Toronto et de Milan qui travaillent conjointement à cette recherche affirment que la consommation de pain lors de cette période peut augmenter les risques de cancer du sein de 60 %, une statistique qui ne peut être négligée.

Ainsi, on suggère plutôt à ces femmes de troquer le pain pour les pâtes, afin d’éviter cette hausse de risque, qui s’avère tout aussi exacte pour d’autres types de cancer et d’autres maladies.

Comme l’expliquent les chercheurs impliqués, les pâtes sont à l’opposé du pain en matière d’effets sur la glycémie, un facteur reconnu du développement du cancer du sein.

À noter, l’effet du pain serait également vérifiable chez les hommes en ce qui concerne le cancer colorectal, avec une hausse moyenne des risques de 22 %.

D’autres études sur le sujet sont à prévoir, conclut l’équipe de spécialistes. 

Catégories
Uncategorized

Les femmes peuvent encore espérer vivre quatre ans de plus que les hommes

Le Telegraph (UK) rapporte une étude statistique qui donne encore une fois l’avantage de l’espérance de vie aux femmes, alors que ces dernières peuvent espérer vivre quatre ans de plus que les hommes.

Ces chiffres, basés sur des données britanniques, mais qui se transposent facilement à la population mondiale, font également état d’une hausse de longévité potentielle de quelques points pour les enfants nés entre 2010 et 2012.

On parle donc d’une espérance de vie de 79 ans pour les hommes et de près de 83 % pour les femmes, et d’une moyenne globale totale de près de quatre années de différence.

Encore une fois, ces chiffres peuvent varier grandement en fonction de la classe sociale, du style de vie et du lieu de résidence d’un individu, mais on constate néanmoins des hausses générales de longévité, même chez les hommes, chez qui celle-ci semble même plus rapide dans son évolution.

Pour l’instant, les femmes conservent la palme et peuvent aspirer à quatre années de plus que leurs congénères, quatre années de paix et de tranquillité, diront certaines. 

Catégories
Uncategorized

L’Australie sonne la charge contre les lits solaires bronzants

C’est donc finalement l’Australie qui mène et sonne la charge contre les lits de bronzage et les salons qui les opèrent, rapporte le Daily Mail (UK), alors que les cas de cancer de la peau sont en voie de devenir un véritable fléau dans ce pays.

On rapporte notamment que le cancer de la peau serait responsable de 2000 morts sur le territoire australien, et qu’il compterait pour 80 % de tous les cancers diagnostiqués en Australie!

Des statistiques effarantes, mais qui traduisent bien le phénomène mondial, alors que les lits et salons de bronzage sont de plus en plus populaires un peu partout, avec les conséquences que l’on voit maintenant.

Les autorités australiennes en ont maintenant assez et annoncent que tous les États ont finalement décidé de bannir les lits de bronzage en Australie, une décision qui prendra effet le 31 décembre prochain.

Chaque propriétaire de salon recevra l’équivalent d’environ 860 $ par lit de bronzage, à titre de compensation.

Alors que les études sur les dangers du bronzage artificiels s’empilent, on estime qu’il existe 87 % plus de risques de développer un mélanome chez les personnes ayant utilisé des lits de bronzage avant l’âge de 35 ans que celles qui n’en ont jamais fait l’usage.