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La chirurgie robotisée provoque le débat

Si vous croyez que les opérations chirurgicales effectuées par des robots sont de l’ordre d’un avenir lointain, détrompez-vous.

En fait, de plus en plus de centres hospitaliers dans le monde utilisent et perfectionnent la robotique médicale, et certaines opérations ont déjà été effectuées par des robots, sous la supervision de personnel médical qualifié.

Or, l’arrivée soudaine des technologies du futur dans le monde médical soulève des interrogations et des peurs, et provoque un débat enflammé.

D’un côté, les pro-technologies affirment que la précision calme et froide d’un robot permettrait de désengorger certaines listes d’attente et d’élever les taux de réussite de certains types de chirurgies plus poussées.

De l’autre, les anti-robots voient en cette ère de la robotique une gigantesque porte s’ouvrir sur les erreurs médicales, les morts prématurées et d’horribles accidents.

Et ce deuxième groupe a de quoi argumenter, alors qu’on recense 70 décès liés à des manœuvres robotisées en centre hospitalier sur le territoire américain depuis 2009, et que certains problèmes de conduction d’électricité ont été observés.

 Cependant, tous ces cas doivent être mis en perspective du nombre total d’opérations médicales en tous genres impliquant une technologie robotique, soit 367 000 en 2012 seulement (États-Unis), selon le Daily Mail (UK).

Quoi qu’il en soit, le débat risque de se poursuivre encore longtemps, et comme l’histoire l’a démontré, rien ne peut vraiment stopper la montée de la technologie. Ce genre d’opérations risque de devenir de plus en plus fréquent dans nos vies et dans le monde médical.

Au Québec, avec les problèmes de budget restreints, la question risque de ne pas se poser vraiment avant longtemps…

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Halloween : Attention aux allergies!

The National Library of Medicine rapporte une hausse des cas d’allergies lors de la fête d’Halloween et publie quelques recommandations pour éviter le pire.

Les conseils, initialement proposés par le Loyola University Health System, vont de la prévention à la proactivité, et on suggère de garder l’œil ouvert sur votre progéniture.

D’abord, on conseille de prévenir l’hôte d’une fête éventuelle des allergies de vos enfants, et d’être vigilant si vous tenez vous-même un événement. Il est prudent de lire les étiquettes et d’éviter les aliments qui provoquent statistiquement le plus d’allergies, comme les noix, le lait et les oeufs, par exemple.

Pour les enfants qui iront de porte en porte, on rappelle l’importance pour les parents qui connaissent les allergies de leurs petits de bien vérifier les sacs à la fin de la ronde, et de toujours apporter le traitement conséquent, lorsque prescrit.

Jetez toujours les produits dont vous êtes incertain de la provenance et des méthodes de production, et relisez les étiquettes en cas de doute.

On estime à 18 % la hausse des cas d’allergies lors de la soirée d’Halloween, une statistique qui va de pair avec la hausse globale fulgurante des allergies chez les jeunes.

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Les hommes cinquantenaires toujours aussi insouciants de leur santé

Les hommes qui atteignent la cinquantaine ou âgés de cinquante ans et plus semblent ne pas se soucier davantage de leur santé qu’auparavant, selon le Daily Mail (UK).

Ce serait à tout le moins vrai chez les Britanniques, alors qu’une nouvelle étude en provenance de l’Angleterre trace un portrait inquiétant de l’attention et de l’importance qu’accordent ces hommes à leur propre santé.

Des 12 000 hommes sondés, près de la moitié ne sauraient même pas reconnaître ou ne connaissent tout simplement pas les signes et symptômes du cancer de la prostate ou de l’intestin, pourtant plus fréquents chez les hommes de cette tranche d’âge.

Une aussi grande proportion, soit près de 50 %, ne consulte toujours pas de médecin lorsqu’ils éprouvent des ennuis de santé ou encore par souci de prévention. L’orgueil masculin semble encore prédominer chez cette génération, alors qu’un suivi et un bilan médical peuvent pourtant sauver des vies.

En comparaison, 82 % des femmes sauraient reconnaître les signes du cancer du sein, comme quoi les campagnes d’information et de prévention ne fonctionneraient pour le moment que du côté de la gent féminine.

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Les hommes cinquantenaires toujours aussi insouciants de leur santé

Les hommes qui atteignent la cinquantaine ou âgés de cinquante ans et plus semblent ne pas se soucier davantage de leur santé qu’auparavant, selon le Daily Mail (UK).

Ce serait à tout le moins vrai chez les Britanniques, alors qu’une nouvelle étude en provenance de l’Angleterre trace un portrait inquiétant de l’attention et de l’importance qu’accordent ces hommes à leur propre santé.

Des 12 000 hommes sondés, près de la moitié ne sauraient même pas reconnaître ou ne connaissent tout simplement pas les signes et symptômes du cancer de la prostate ou de l’intestin, pourtant plus fréquents chez les hommes de cette tranche d’âge.

Une aussi grande proportion, soit près de 50 %, ne consulte toujours pas de médecin lorsqu’ils éprouvent des ennuis de santé ou encore par souci de prévention. L’orgueil masculin semble encore prédominer chez cette génération, alors qu’un suivi et un bilan médical peuvent pourtant sauver des vies.

En comparaison, 82 % des femmes sauraient reconnaître les signes du cancer du sein, comme quoi les campagnes d’information et de prévention ne fonctionneraient pour le moment que du côté de la gent féminine.

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Des Québécois prêts à payer pour améliorer le système de soins à domicile

Signe que les mentalités évoluent ou que la situation a finalement atteint un certain point de non-retour, Radio-Canada rapporte qu’une proportion considérable de Québécois accepterait maintenant de débourser pour améliorer certains services au sein du système de santé.

C’est ce qui ressort d’un sondage Léger effectué en août dernier auprès de 810 répondants, et qui traduit peut-être le début d’une nouvelle mentalité québécoise.

44 % des répondants se disent en effet prêts à débourser davantage afin d’assurer le financement et l’amélioration de services à domicile, contre 33 % qui se positionnent contre l’idée.

22 % n’ont pas jugé bon répondre ou n’avaient tout simplement pas les informations nécessaires pour faire un choix éclairé. Quoi qu’il en soit, qu’une majorité de personnes soient pour une hausse des contributions étonne déjà en soi.

« Nous sommes à l’heure où la société québécoise devra faire le choix de contribuer davantage pour les services de santé et de maintien à domicile des personnes en perte d’autonomie », lance Lise Denis, porte-parole de la Semaine des droits des usagers, pour qui le sondage avait justement été commandé.

Avec près de la moitié du budget provincial englouti en santé et un vieillissement de la population fulgurant à prévoir au cours des prochaines décennies, plusieurs croient maintenant qu’il est temps d’agir.

Le débat ne fait bien entendu que commencer.

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Angelina Jolie fait-elle augmenter les requêtes de mastectomie?

Le Daily Mail (UK) rapporte une hausse des demandes de mastectomie, un phénomène que le journal n’hésite pas à lier à l’histoire d’Angelina Jolie, le baptisant même « l’effet Jolie ».

Les données britanniques rapportées semblent en effet confirmer une hausse spectaculaire des requêtes pour une mastectomie de la part des femmes à risque de développer un cancer du sein.

Un risque que les spécialistes sont maintenant capables de chiffrer, en analysant le bagage génétique d’une patiente. C’est précisément l’histoire d’Angelina Jolie, qui avait décidé d’opter pour une mastectomie complète après avoir reçu confirmation qu’elle portait le gène BRCA1, portant ses chances de développer un cancer du sein à 87 %.

Il semble que le choix de l’actrice ait influencé toute une génération de femmes, qui ont alors pris d’assaut le web afin de s’informer. Le phénomène s’est ensuite traduit par une hausse de telles demandes dans les cliniques et centres en oncologie, confirment plusieurs spécialistes.

Alors que plusieurs observateurs saluent le courage d’Angelina Jolie, d’autres croient plutôt qu’il faut être très prudent avec ce genre d’intervention, extrême s’il en est une, et rappellent qu’il existe d’autres alternatives pour faire baisser les risques de développer un cancer du sein.

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Recul confirmé du SIDA dans le monde, selon l’ONU

On annonçait récemment des statistiques qui tendaient à démontrer un recul du SIDA dans le monde, une affirmation qui se voit confirmée par un rapport présenté par l’ONU, selon Top Santé.

En effet, dans son rapport annuel sur l’état et la progression du virus du SIDA dans le monde, l’ONU reconnait non seulement ce recul par rapport aux années précédentes, mais parle également de « progrès spectaculaires ».

Une excellente nouvelle dans un dossier qui ne permet que rarement des pointes d’optimisme, ce que se permet justement maintenant l’Organisation des Nations Unies.  

« Le monde se rapproche de l’un objectifs du Millénaire pour le développement : l’épidémie de sida a été stoppée, et son cours s’est inversé. La course est engagée en direction de l’accès universel au traitement contre le VIH », a expliqué Michel Sidiblé, de l’ONUSIDA, lors du dépôt et de la présentation de ce rapport.

La meilleure nouvelle consiste en cette baisse observée des cas chez les enfants, soit de 52 % par rapport à 2001. Le combat se poursuit, mais il est maintenant permis de rêver…

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23 septembre : Pic de naissances spectaculaire

Le 23 septembre marque le début d’une période faste en matière de naissances, selon Top Santé, un phénomène qui s’appuie sur une logique simple.

En effet, si on remonte dans le temps en calculant une moyenne de huit mois et trois semaines, on arrive précisément à la période du temps des fêtes et au 31 décembre!

Les fêtes de fin d’année seraient le moment propice à la procréation, comprend-on des statistiques proposées, des chiffres qui se basent sur des observations effectuées en France.

Cependant, il semble que ces naissances, qui bondissent subitement par trois fois, ne sont malheureusement pas toutes désirées…

« Certes, les couples cherchant à concevoir sont probablement plus nombreux à être réunis au moment du 31 décembre. Ils sont donc plus nombreux à avoir des rapports sexuels. Mais les fêtes de fin d’année représentent aussi une période de fragilité pour les femmes qui prennent un contraceptif oral », peut-on lire dans les conclusions de l’étude.

Des décisions et des omissions qui résultent d’une grande consommation d’alcool et d’une désinvolture plus marquée, selon les chercheurs.

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Des carences en vitamine D beaucoup trop communes

La plupart des patients hospitalisés pour des fractures présentent des carences évidentes en vitamine D, selon les spécialistes, ce qui fait dire à ces derniers que ce problème en est un largement généralisé.

Et peu importe l’âge, peut-on déduire des statistiques publiées par l’Université du Missouri et rapportées par The National Library of Medicine, alors que même des patients âgés de 18 à 25 ans présentent cette carence.

« Une découverte intéressante de cette étude est que la déficience en vitamine D est observable chez des patients de tous âges. Plus de recherches sont nécessaires pour démontrer clairement si la vitamine D peut réduire le risque de fracture, mais nous savons qu’elle est nécessaire pour réparer les dommages aux os », résume Brett Crist, un professeur de l’Université du Missouri qui n’hésite pas à suggérer du même souffle la prescription de vitamine D à titre préventif chez la plupart des patients.

Seul bémol : des problèmes de santé sont associés à une trop forte teneur en vitamine D dans l’organisme, par exemple des maladies rénales ou encore le cancer.

On suggère donc fortement d’avoir une discussion ouverte avec son médecin praticien avant de se lancer dans la consommation de suppléments de vitamine D.

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Près de 60% des cas de cancer de l’utérus pourraient être évités

Ce sont des statistiques spectaculaires et étonnantes que dévoile ici MedicalXpress, alors qu’un nouveau rapport prétend que 60 % des cas de cancer de l’utérus seraient en fait évitables grâce à l’adoption de nouvelles habitudes de vie.

On connaît bien les bienfaits et vertus sur la santé de l’exercice physique et d’une saine alimentation, mais la démonstration d’une possible prévention de plus de la moitié des cas de ce type de cancer est étonnante.

59 %, pour être précis, des diagnostics de cancer de l’utérus pourraient être évités chez si les femmes susceptibles de le développer faisaient attention à ce qu’elles mangent et pratiquaient 30 minutes d’activité physique par jour, en moyenne.

C’est le constat que propose un rapport déposé par l’American Institute for Cancer Research (AICR), en collaboration avec le World Cancer Research Fund International, le 10 septembre dernier.

« Le gras corporel peut produire des hormones qui favorisent le développement du cancer. On sait aussi que le taux de gras est relié aux inflammations chroniques, qui produit un environnement qui encourage le développement du cancer », résume Alice Bender de l’AICR.