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Les problèmes mentaux et la drogue plus meurtriers que le sida

S’il est plus facile d’apposer des étiquettes et des statistiques sur des maladies précises comme le sida, par exemple, les troubles mentaux et de consommation de drogues demeurent, eux aussi, un grand fléau en cette ère moderne.

C’est exactement le constat que rapporte Santé Log, à la suite d’une étude publiée sur le sujet, qui classe maintenant les problèmes psychologiques et de drogues comme plus meurtriers que le sida et la tuberculose.

Selon les chercheurs américains et australiens qui se sont penchés sur des statistiques mondiales pour en arriver à ces conclusions, les décès liés à la consommation d’alcool et de drogues sont dramatiquement élevés.

Même chose pour les troubles et désordres psychologiques comme la dépression, les troubles bipolaires et du développement, la schizophrénie et l’anxiété chronique.

Les deux types de problèmes sont parfois intrinsèquement liés et mènent trop souvent à des suicides, des surdoses ou encore à d’autres problèmes de santé graves.

L’étude presse donc les organisations et spécialistes de la santé de partout dans le monde à placer ces troubles comme une priorité absolue des campagnes de sensibilisation et de prévention, dans le futur.

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La dépression frappe autant les hommes que les femmes

Plusieurs études et recherches tendent à vouloir démontrer que la dépression est un trouble qui frappe davantage les femmes que les hommes, ou à tout le moins que ces dernières présentent plus souvent des symptômes liés à la dépression que leurs congénères masculins.

Or, selon une étude rapportée par The National Library of Medicine, rien ne serait plus faux. Les conclusions de l’étude tracent plutôt un portrait équitable chez les deux sexes en matière de dépression, avec un pourcentage similaire d’environ 16 % de la population.

On suggère que l’impression générale actuelle, à savoir que les femmes sont plus sujettes aux symptômes de la dépression, pourrait bien être explicable par le fait que les hommes sont plus enclins à garder leurs émotions pour eux et à ne pas demander d’aide.

« Cela ne nous aide pas beaucoup de savoir que plus d’hommes souffrent de dépression que nous le pensions, si nous ne pouvons les amener à franchir la porte pour obtenir de l’aide », tranche Lisa Martin, auteure principale de l’étude en provenance du Michigan, aux États-Unis.

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La danse et la lecture pourraient bien mener au bonheur

Top Santé rapporte une étude qui révèle les impacts de certaines activités sur le bonheur, un palmarès qui place la danse en tête de liste.

En effet, selon l’étude-sondage écossaise, les répondants les plus heureux ont admis aimer danser, et démontrent un taux de bonheur jusqu’à 60 % plus élevé que ceux qui ne dansent pas!

La lecture aurait également un impact majeur sur la santé psychologique, puisque les répondants qui avouent lire souvent ou encore fréquenter des bibliothèques et des librairies seraient 30 % plus heureux que ceux qui ne lisent pas.

De plus, il semble que ces activités permettent non seulement un taux de bonheur plus élevé, mais aussi une meilleure santé en général.

L’enquête, menée dans le cadre du Scottish Household Survey en 2011, semble légère, mais se base en fait sur les réponses de près de 15 000 répondants. Plusieurs facteurs ont également été pris en compte, dont l’âge, la santé, l’emploi et l’éducation.

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La consommation de fruits liée à la baisse de risque d’anévrisme aortique

L’anévrisme abdominal de l’aorte est une condition qui s’avère somme toute assez rare, selon les spécialistes, mais malheureusement souvent mortelle.

Le problème se caractérise par un ballonnement de la partie inférieure de l’aorte, explique l’American Heart Association, qui rapporte également la nouvelle suivante.

Des chercheurs ont publié leurs conclusions dans le magazine Circulation, selon lesquelles une consommation quotidienne de fruits (au moins deux portions par jour) aurait un impact direct sur la réduction des risques d’anévrisme vasculaire de ce genre.

On parle même de 25 % moins de chances de subir ce terrible accident, selon l’étude publiée par des chercheurs suédois.

« Une forte consommation de fruits peu aider à prévenir plusieurs maladies vasculaires, et notre étude suggère qu’un risque réduit d’anévrisme abdominal de l’aorte serait parmi ces bénéfices », résume le Dr Otto Stackelberg, auteur en chef de l’étude.

Les légumes, tout aussi importants pour la bonne santé, ne semblent cependant pas avoir ce même genre d’impact sur la santé cardio-vasculaire.

quo;anévrisme abdominal de l’aorte est une condition qui s’avère somme toute assez rare, selon les spécialistes, mais malheureusement souvent mortelle.

Le problème se caractérise par un ballonnement de la partie inférieure de l’aorte, explique l’American Heart Association, qui rapporte également la nouvelle suivante.

Des chercheurs ont publié leurs conclusions dans le magazine Circulation, selon lesquelles une consommation quotidienne de fruits (au moins deux portions par jour) aurait un impact direct sur la réduction des risques d’anévrisme vasculaire de ce genre.

On parle même de 25 % moins de chances de subir ce terrible accident, selon l’étude publiée par des chercheurs suédois.

« Une forte consommation de fruits peu aider à prévenir plusieurs maladies vasculaires, et notre étude suggère qu’un risque réduit d’anévrisme abdominal de l’aorte serait parmi ces bénéfices », résume le Dr Otto Stackelberg, auteur en chef de l’étude.

Les légumes, tout aussi importants pour la bonne santé, ne semblent cependant pas avoir ce même genre d’impact sur la santé cardio-vasculaire.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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L’alimentation au service de la procréation chez l’homme

Voici une étude qui s’adresse aux hommes, et plus particulièrement à ceux qui sont concernés par la question de la paternité.

Selon le Daily Mail (UK), bien manger n’aurait pas qu’une incidence sur la bonne santé, mais aussi sur la capacité à procréer chez l’homme.

En effet, selon cette plus récente étude californienne sur le sujet, les hommes qui mangent mieux que la moyenne ou qui décident de changer leur alimentation en prenant de l’âge ont plus de chances de conserver leur capacité à se reproduire.

On vante particulièrement les noix, les fruits et légumes, et les poissons, notamment, qui procurent de forts apports en vitamines C et E, ainsi qu’en zinc.

Les spécialistes, dirigés par le professeur Simon Fishel, croient que les hommes qui ont du mal à réaliser leur rêve de faire un enfant devraient d’abord se tourner vers leur alimentation.

« Ce que l’on mange peut avoir une incidence positive ou dommageable. Les composantes associées à l’œstrogène qui passent dans la chaîne alimentaire, par exemple par la viande, peuvent avoir un effet dommageable sur le développement du sperme », résume le professeur Fishel.

i une étude qui s’adresse aux hommes, et plus particulièrement à ceux qui sont concernés par la question de la paternité.

Selon le Daily Mail (UK), bien manger n’aurait pas qu’une incidence sur la bonne santé, mais aussi sur la capacité à procréer chez l’homme.

En effet, selon cette plus récente étude californienne sur le sujet, les hommes qui mangent mieux que la moyenne ou qui décident de changer leur alimentation en prenant de l’âge ont plus de chances de conserver leur capacité à se reproduire.

On vante particulièrement les noix, les fruits et légumes, et les poissons, notamment, qui procurent de forts apports en vitamines C et E, ainsi qu’en zinc.

Les spécialistes, dirigés par le professeur Simon Fishel, croient que les hommes qui ont du mal à réaliser leur rêve de faire un enfant devraient d’abord se tourner vers leur alimentation.

« Ce que l’on mange peut avoir une incidence positive ou dommageable. Les composantes associées à l’œstrogène qui passent dans la chaîne alimentaire, par exemple par la viande, peuvent avoir un effet dommageable sur le développement du sperme », résume le professeur Fishel.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Espérance de vie : Découvrez le phénomène de l’ampoule

Le Daily Mail (UK) rapporte de nouvelles statistiques concernant la longévité, la santé, le vieillissement et la mort.

D’abord, les chercheurs de l’Université Harvard constatent bel et bien une longévité accrue, ce qui signifie que l’on vit plus longtemps, tout simplement. De plus, autre bonne nouvelle, non seulement nous vivons plus longtemps, mais il semble que la maladie soit de moins en moins fréquente.

Il n’y a pas si longtemps, on s’attendait à voir les six ou sept dernières années d’une vie se terminer dans la maladie et la souffrance. Ce ne serait plus nécessairement le cas, selon le professeur David Cutler.

« Avec l’exception de la dernière ou des deux dernières années, les gens sont plus en santé qu’ils ne l’étaient auparavant. Par conséquent, la période de temps associée à la maladie ou à une santé pauvre se retrouve compressée juste à la fin de la vie. Nous nous étions habitués à voir des gens très, très malades pour les six ou sept dernières années de leur vie, ce qui s’avère beaucoup moins commun », explique Cutler, enthousiaste.

Cependant et en conclusion, ce que ces données signifient est que les humains vont avoir tendance à « s’éteindre » plus abruptement, spontanément, sans souffrir sur de longues périodes. On baptise pour l’instant ce phénomène celui de « l’ampoule ».

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Insécurité alimentaire : Bilan canadien catastrophique et inquiétant

Medical News Today trace un sombre bilan en ce qui concerne l’insécurité alimentaire au Canada, des chiffres qui auront de quoi surprendre plusieurs lecteurs, sans aucun doute.

Selon un rapport déposé par des chercheurs de l’Université de Toronto, les Canadiens qui ignorent s’ils pourront manger à leur faim dans un avenir rapproché se comptent… en millions.

Les chercheurs estiment à 3,9 millions le nombre de Canadiens qui affirment avoir eu du mal à se nourrir adéquatement en 2011, une hausse d’un demi-million si l’on compare aux statistiques de 2008.

Pire, un Canadien sur quatre exposés dans cette recherche serait en fait un enfant.

« L’impact de cette situation sur nos enfants, nos familles et nos communautés, ainsi que sur le système de santé et notre économie, ne peut être surévalué. Le problème n’est pas sous contrôle, et des réponses plus effectives sont requises d’urgence », lance avec inquiétude la Dre Valerie Tarasuk, de l’Université de Toronto.

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Des casques moins chers et tout aussi efficaces

La santé et la sécurité dans le sport constituent une donnée fort importante, et elle prend de plus en plus de place dans notre conscience collective et dans les médias.

Les commotions cérébrales, notamment, constituent le sujet le plus chaud depuis plusieurs mois, après qu’un nombre considérable de sportifs soient tombés au combat à la suite de cette blessure, que ce soit des joueurs professionnels ou des athlètes amateurs.

C’est vrai au hockey, mais aussi au football, un sport de plus en plus populaire au Québec. Il est donc tentant de se procurer des articles de sport plus chers afin d’assurer sa sécurité. Toutefois, ce n’est pas ce que suggère nécessairement une équipe de chercheurs du Wisconsin qui s’est penchée sur la question.

The National Library of Medicine rapporte en effet les conclusions de l’étude en question, selon lesquelles plusieurs casques moins chers et moins récents sont tous aussi efficaces et sécuritaires.

« La technologie des casques est aussi avancée qu’elle peut l’être. Ils ont fait un travail formidable. Nous n’avons plus de fracture du crâne au football », explique notamment l’auteur en chef de l’étude, Timothy McGuine.

On suggère donc de bien s’informer avant l’achat, mais de ne pas se ruiner sans raison.

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Les commotions cérébrales, notamment, constituent le sujet le plus chaud depuis plusieurs mois, après qu’un nombre considérable de sportifs soient tombés au combat à la suite de cette blessure, que ce soit des joueurs professionnels ou des athlètes amateurs.

C’est vrai au hockey, mais aussi au football, un sport de plus en plus populaire au Québec. Il est donc tentant de se procurer des articles de sport plus chers afin d’assurer sa sécurité. Toutefois, ce n’est pas ce que suggère nécessairement une équipe de chercheurs du Wisconsin qui s’est penchée sur la question.

The National Library of Medicine rapporte en effet les conclusions de l’étude en question, selon lesquelles plusieurs casques moins chers et moins récents sont tous aussi efficaces et sécuritaires.

« La technologie des casques est aussi avancée qu’elle peut l’être. Ils ont fait un travail formidable. Nous n’avons plus de fracture du crâne au football », explique notamment l’auteur en chef de l’étude, Timothy McGuine.

On suggère donc de bien s’informer avant l’achat, mais de ne pas se ruiner sans raison.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Les hommes et le sexe : plus de mythes que de réalité

Une stupéfiante nouvelle recherche sur les hommes et leur relation avec la sexualité lève le voile sur plusieurs faits qui s’avèreraient en fait des mythes plutôt tenaces…

C’est ce qui ressort des conclusions proposées par des chercheurs de l’Université Duke et rapportées par le Daily Mail (UK), alors que l’on constate que les hommes ne sont pas toujours aussi obsédés par la sexualité qu’ils le prétendent.

En fait, selon l’étude, plusieurs mythes qui circulent autour des hommes seraient véhiculés par ces derniers eux-mêmes, notamment afin d’être à la hauteur du stéréotype.

Dans la même veine, les réponses obtenues sur l’échantillon de 101 hommes et de 101 femmes du groupe test révèlent que ce sont en fait les femmes qui seraient davantage attirées par la question sexuelle, et davantage que leurs confrères masculins!

Un point que les deux genres ont en commun, cependant, c’est qu’ils tendent à évaluer à la hausse le nombre de leurs rapports sexuels sur une base mensuelle. C’est donc à dire que tout le monde ment, consciemment ou pas, sur sa relation avec sa sexualité ainsi que sur la fréquence.

Les chercheurs terminent en rappelant que le désir et les performances sexuelles varient aussi beaucoup en fonction des humeurs, chez l’homme comme chez la femme.

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Obsession de la minceur : de précieuses minutes gaspillées chez les deux sexes

À moins que vous n’appréciiez vraiment vous en faire pour votre poids et culpabiliser dès que vous envoyez un aliment dans votre estomac, vous conviendrez que l’obsession de la minceur n’est pas le meilleur des passe-temps.

Pourtant, selon le Daily Mail (UK), cette obsession pour notre poids prendrait de plus en plus de temps dans une journée. Chez la femme, bien entendu, mais également chez l’homme, le phénomène n’étant plus du tout exclusif ou réservé à un genre.

Selon les statistiques rapportées par une équipe de chercheurs britanniques, une femme passerait jusqu’à 21 minutes par jour à penser à son poids, ce qui représente un nombre considérable. En fait, sur toute une vie d’une durée, disons, de 67 ans, cela signifie qu’une année entière aura été consacrée à l’obsession de la minceur.

Mais attention, les hommes ne sont pas loin derrière, avec une moyenne de 18 minutes par jour!

La pression devient de plus en plus forte, et même s’il s’agit d’une bonne chose de surveiller ce qu’on ingère, il faut aussi profiter de la vie et éviter de sombrer dans les troubles obsessifs.