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Être plus instruit peut-il prévenir certains troubles de santé?

Top Santé rapporte des statistiques avancées par l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économique) qui tendent à démontrer un lien entre la bonne santé et le niveau d’instruction.

Ces chiffres sont proposés dans le rapport Regards sur l’éducation, le 21e du genre, et font état d’une meilleure qualité de vie et d’une meilleure chance d’accéder à un emploi de qualité durant une crise financière, le rapport faisant bien sûr allusion à celle que le monde a connue depuis 2008.

Plus encore, l’OCDE trace un lien direct entre le niveau d’éducation d’un individu et d’éventuels troubles de santé. Par exemple, on note que plus une personne est instruite, moins elle a de chance d’être fumeuse ou encore d’afficher un surpoids ou d’abuser de l’alcool.

« Aujourd’hui, il est plus important que jamais de quitter l’école avec un bon niveau de qualification. Les pouvoirs publics doivent axer leurs efforts sur les mesures en faveur des jeunes, plus particulièrement des jeunes moins qualifiés, les plus exposés au risque de bas salaire », résume José Angel Gurría, secrétaire général de l’OCDE.

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Les pesticides pourraient expliquer une partie de la hausse des cas de cancer

Top Santé rapporte des conclusions émises par l’INSERM, qui s’inquiète du possible (et probable) lien entre l’utilisation de plus en plus massive des pesticides et les hausses globales de cas de cancer.

Il ne s’agit pas d’un constat lancé en l’air ni d’un rapport précipité, puisqu’on apprend que l’INSERM a analysé pratiquement toutes les études et recherches précédentes sur le sujet afin d’en arriver à une conclusion efficace.

De plus, l’exercice a été commandé par la DGS (Direction générale de la Santé) en France, qui désire mieux comprendre le phénomène et la possible cause à effet.

Les pesticides utilisés en agriculture et qui se retrouvent indirectement dans notre assiette seraient donc bel et bien responsables de la montée de certaines maladies comme le Parkinson et le cancer (de la prostate, notamment), en plus d’être visiblement néfastes pour le développement des enfants et d’augmenter les risques de leucémie.

Les chiffres avancés ici sont trop longs pour tous les partager en entier, mais il suffit d’y jeter un œil pour être assuré qu’il existe bel et bien un malaise profond dans notre façon d’aborder la consommation et en ce qui concerne le respect du consommateur.

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La méditation transcendantale reprend du service dans une étude stupéfiante

Le Daily Mail (UK) rapporte une étude stupéfiante sur les effets de la méditation transcendantale sur un groupe d’étudiants américains appelés à tester la méthode.

Ces sujets, qui pratiquaient la discipline (le fait de prononcer la syllabe « OM » de la gorge, notamment) durant au moins 40 minutes quotidiennement ont vu leurs chances d’obtenir leur diplôme augmenter de 25 %… et leurs notes bondir de 15 %!

La pratique de l’exercice vocal s’effectuait sur deux périodes de 20 minutes, à l’image de ce que les Beatles avaient rendu célèbre en 1967.

Il appert que la répétition du son est toujours aussi efficace en 2013, au point de voir les étudiants qui tentent l’expérience améliorer leurs notes et leurs performances scolaires. Une telle amélioration, en fait, qu’il serait bien difficile de contredire les résultats ou la véracité de ces faits…

On explique le phénomène par une réduction du stress et de l’anxiété, en plus d’une hausse de la mémoire et de la concentration.

Tenterez-vous l’expérience?

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Anxiété et cancer : Comprendre les émotions des proches d’un patient

Les proches d’un patient souffrant d’un cancer peuvent également vivre de grandes émotions et en subir les contrecoups sur leur santé physique. Mais qui a le temps de s’occuper de ça quand un proche reçoit un diagnostic de la maladie la plus terrifiante connue?

Il semble qu’il faudra bien aborder le problème, car Santé Log rapporte des statistiques intéressantes qui confirment l’existence de ce problème collatéral.

L’étude en question vise pour l’instant les conjoints, amoureux et époux de patients atteint d’un cancer, et démontre que l’anxiété frappe beaucoup plus souvent et beaucoup plus violemment la tendre moitié que le patient lui-même.

Plus de 30 % de chances de développer des troubles anxieux, note la recherche, un problème qui peut perdurer sur une période de plus de dix ans! La férocité et la longévité du problème sont de plus encouragées par le fait que personne (ou presque) ne reconnait le phénomène.

Comme on le sait, les troubles anxieux et d’angoisse peuvent mener directement à plusieurs problèmes de santé majeurs.

La publication de cette étude, parue dans le magazine Lancet Oncology, s’avère un excellent point de départ pour les conjoints et les proches d’une personne atteinte d’un cancer, souvent impuissantes et délaissées.

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La longévité des parents pourrait diminuer le risque de cancer des enfants

Si vos parents mènent ou ont mené une vie sous le signe de la longévité, il est possible que cela se traduise par une baisse des risques de cancer dans votre cas.

C’est le Daily Mail (UK) qui rapporte ces conclusions, initialement proposées par des chercheurs de l’Université d’Exeter.

En somme, on note une baisse des risques de cancer substantielle chez les gens dont les parents atteignent au minimum le plateau des 65 ans. Chaque tranche d’âge atteinte par les parents signifierait des chances de moins pour leur progéniture de développer un cancer, et ce, jusqu’à 25 %.

Les taux de mortalité dus au cancer chutent même de 40 % lorsque les parents d’un individu atteignent 85 ans!

Encore une belle preuve de l’impact de la génétique sur la santé d’un individu et les problèmes auxquels il risque de faire face au cours de sa vie.

Ces conclusions ont été proposées à la suite de recherches effectuées sur plus de 10 000 Américains, sur une période de 18 ans. 

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Plus de diagnostics de cancer, mais aussi plus de rémissions au Québec

La hausse des diagnostics de cancer au Québec a de quoi rendre les citoyens nerveux, mais il faut d’abord comprendre que ces chiffres sont notamment explicables par le vieillissement global de la population.

De plus, la statistique va de pair avec celle concernant les taux de rémissions, qui sont aussi en hausse! Plus de diagnostics de cancer, donc, mais aussi plus de guérisons.

Avec une prévision de près de 50 000 nouveaux cas de cancer en 2013 au Québec, dont 20 000 décès, les chances de survie s’élèveraient donc maintenant à plus de 60 %.

Le cancer de la prostate et de la thyroïde sont même passés au-delà de la barre des 90 % de chance de survie, selon ce que rapporte Radio-Canada.

La Société canadienne du cancer demeure donc optimiste face à ces taux de succès, mais rappelle l’importance de ne pas fumer, alors que de plus en plus de jeunes commenceraient à découvrir les joies du tabagisme, comparativement aux dernières années.

« C’est malheureux à dire, mais on est peut-être en train de remplacer une génération de fumeurs par une autre. Donc, les gains qu’on avait peut-être réalisés au cours des dix dernières années, on va peut-être les perdre. Le tabagisme continue d’ailleurs à distinguer le Québec et l’est du pays », lance André Beaulieu, de la Société canadienne du cancer.

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Plus de chance de survivre à son opération lors d’un jour ouvrable?

Santé Log rapporte un phénomène aussi surprenant qu’inquiétant, alors que des chercheurs britanniques affirment avoir décelé des variations de statistiques des chances de survie selon le jour d’une intervention.

Ainsi, les chercheurs de l’Imperial College croient pouvoir affirmer qu’il est plus risqué de se faire opérer durant le week-end. On parle même d’une hausse de 9 % des risques par jour, à mesure que la fin de semaine approche.

Les conclusions des chercheurs en tête de l’étude ont été publiées dans le fameux BMJ Open et risquent de faire jaser la communauté médicale ainsi que les patients.

Les raisons avancées pour expliquer « l’effet week-end » sont la réduction du personnel lors des fins de semaine en centre hospitalier, la baisse d’énergie et de concentration des médecins sur place, qui sont de surcroît souvent des praticiens avec moins d’expérience…

On croit donc que le lundi serait la journée idéale pour se faire opérer, alors que les chances de survie diminueraient à mesure qu’approche le vendredi.

Une équipe de médecins canadiens, basés à Toronto, vient de confirmer l’existence d’un « effet week-end », comme quoi le phénomène ne se limite pas à l’Angleterre.

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37 jours de plus à vivre pour les Québécois

Le Québec vient de faire grimper une statistique qui en réjouira plus d’un, et qui en fera sourire bien d’autres.

C’est que selon des informations rapportées par La Presse, l’année 2012 a vu l’espérance de vie des Québécois bondir de près de 37 jours, un chiffre minime, mais qui démontre à tout le moins une certaine progression.

L’espérance de vie, en moyenne, des femmes québécoises demeure donc à 83,8 ans, alors que celle des hommes approche doucement de la barre des 80 ans, se situant à 79,8.

Ces statistiques confirment que la longévité québécoise n’a rien à envier à celles des autres peuples dans le monde, s’avérant l’une des meilleures.

C’est ce qui ressort du bulletin publié par l’Institut de la statistique du Québec, intitulé Coup d’œil sociodémographique, qui remarque toutefois une hausse des décès. Cette statistique serait normale en vertu de la hausse de la population, et du vieillissement global de celle-ci.

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Être inactif est plus dangereux que de fumer?

Les fumeurs et amateurs des produits du tabac sont séquestrés dans une catégorie peu enviable depuis quelques années, reclus et méprisés par une population de plus en plus anti-tabac.

Voilà un phénomène qui pourrait aussi frapper les plus paresseux et sédentaires d’entre nous, alors qu’une étude rapportée par Santé Log fait état de risques cardiovasculaires plus importants chez ces individus que chez les fumeurs.

Mondialement, on rapporte que c’est facilement le tiers de la population qui ne pratique aucune activité physique, donc qualifié de sédentaire. Du lot, on associe 5,3 millions de décès reliés à cette procrastination physique, contre 5,1 millions liés au tabagisme.

Le fait de ne pas bouger ou de ne pas pratiquer d’activités physiques est donc devenu un facteur de risque de troubles cardiovasculaires mortels plus important que la cigarette, ce qui inquiète plusieurs observateurs.

C’est d’ailleurs pourquoi l’International Chair on Cardiometabolic Risk (ICCR) publie un rapport qui dévoile ces chiffres, afin de sensibiliser la population à cet état de fait et tenter d’en convaincre une partie de retrouver ses chaussures de sport.

De plus, ces personnes associent souvent ce comportement de farniente à un régime alimentaire trop gras, trop salé et pauvre en nutriments et minéraux. Un cocktail visiblement mortel.

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Le Québec franchit le cap : un Québécois sur deux en surpoids

Ça y est! Le Québec vient de franchir une étape peu enviable dans le dossier de l’obésité en Amérique du Nord, alors qu’un récent rapport fait état d’un Québécois sur deux qui serait en situation de surpoids.

Il s’agit d’une progression spectaculaire, alors que la statistique ne parlait que d’un citoyen du Québec sur trois dans cette situation à la fin des années 80.

Selon les chiffres publiés par l’Institut national de santé publique du Québec et rapportés par La Presse, non seulement 50 % des Québécois souffrent d’embonpoint, mais de plus en plus de ceux-là s’approchent carrément de l’obésité.

On parle donc de 2 075 000 Québécois qui ne sont pas du tout près de leur poids santé, dont plus de 1 000 000 sont obèses.

De plus, on rapporte que le fléau touche plus les hommes que les femmes, et que le Québec n’est pas la pire province canadienne en la matière.

On constate également, en conclusion, que le problème de société touche aussi plus largement les gens à faible revenu ainsi que certaines personnes sans études supérieures.