Catégories
Uncategorized

15 mois dans la vie d’une femme… à se maquiller!

Une nouvelle étude aussi légère qu’intéressante révèle que les femmes passeraient, en moyenne, 15 mois de leur vie à se maquiller! C’est du moins ce qui ressort des habitudes de vie des femmes britanniques qui font l’objet de l’étude, explique Top Santé.

747 jours donc, ou un an et trois mois, voilà le constat qui ressort de cette étude toute féminine.

Si on fractionne cette durée encore un peu plus, on parle alors de trois heures et dix-neuf minutes par semaine, ou encore de plus de 15 minutes par jour.

Il semble que le weekend permet aux dames d’accorder encore plus de temps par jour à leur beauté, puisque celles-ci passeraient alors 24 minutes (en moyenne) par jour à se faire belles.

Les yeux semblent être le principal point d’intérêt des femmes, eux qui sollicitent plus de temps que les autres parties du visage.

Il semble par ailleurs que ce comportement ne soit pas un fardeau pour la majorité des répondantes, qui affirment éprouver du plaisir à se maquiller.

« Les femmes mènent une vie si remplie de nos jours que la moindre astuce qui peut permettre d’économiser du temps est bonne à prendre », révèle la directrice du Harley Street Beauty Clinic – Specialist Make-up Services, qui menait cette enquête afin de mieux cibler les besoins de la femme moderne.

Catégories
Uncategorized

Un meilleur contrôle du diabète

Une nouvelle étude, publiée et rapportée par les National Institutes of Health et The National Library of Medicine, dévoile des chiffres encourageants en matière de diabète.

Selon l’étude, des progrès notables ont été faits dans le contrôle de la maladie, de plus en plus gens qui en souffrent décidant de suivre les recommandations de leur médecin.

Le nombre de patients qui suivent les recommandations après avoir reçu un diagnostic de diabète depuis le début des années 90 serait passé de 2 à 19 %, ce dont se réjouissent les chercheurs en tête de l’étude.

Et pour cause, car si le diabète peut être contrôlé sous diverses conditions, il peut aussi s’avérer fatal pour certaines personnes.

Les gens qui ne suivent pas les recommandations offertes par leur médecin s’exposent à des risques d’attaque, de maladies cardiaques, de maladies du rein, à l’amputation et même à la perte de la vision.

Étonnant alors de voir qu’encore beaucoup de patients n’en font qu’à leur tête, ce qui inquiètent les praticiens qui observent les ravages du diabète sur une base quotidienne.

Une bonne note donc, mais il reste manifestement encore beaucoup de travail de sensibilisation à faire.

Catégories
Uncategorized

Les Québécois déjeunent plus que la moyenne, mais…

On fait beaucoup état de l’importance de prendre un bon petit déjeuner pour bien commencer la journée. On a pourtant l’impression, avec toutes les campagnes sur le sujet, que les Québécois trichent souvent et ne se préoccupent guère du premier repas de la journée.

Rien n’est moins vrai si l’on se compare, selon ce que l’on comprend d’un sondage qui avait pour mission de vérifier les habitudes matinales des Québécois.

Il appert que ceux-ci déjeunent plus que la moyenne, avec 30 % des Québécois qui prennent le temps de bien déjeuner, pour 20 % dans le reste du Canada.

En contrepartie, 30 %, ça signifie qu’une seule famille sur trois déjeune, ce qui est trop peu aux yeux des spécialistes.

« Le matin, c’est souvent la course folle entre le lever des enfants, l’habillage, le petit déjeuner et le départ pour l’école et le travail. Durant la semaine, c’est difficile de faire du déjeuner un moment familial. Pour certains parents, offrir un déjeuner nutritif à leurs enfants est si important qu’ils en oublient eux-mêmes de prendre un bon déjeuner », résume Julie DesGroseilliers, nutritionniste.

On conseille aux familles aux prises avec ce genre de problème d’adapter le petit déjeuner à leur réalité, en optant pour des solutions plus rapides comme les barres de grain ou le gruau préfabriqué.

Bref, le matin, pas d’excuses, il faut manger!

Catégories
Uncategorized

L’alcool serait aussi un facteur de développement du cancer du sein

La consommation d’alcool n’est pas assez reconnue pour ses propriétés cancérigènes, notamment en ce qui concerne le cancer du sein, croient des chercheurs américains.

Ces derniers, issus de l’École de médecine de Boston, viennent de publier une étude sur le sujet, qui parle du danger lié à la consommation d’alcool chez la femme, un danger qui serait vérifiable à partir de deux consommations par jour, rapporte Top Santé.

Si cela peut sembler peu, il appert que cela est suffisant pour placer les femmes à risque, croit l’équipe de spécialistes.

« Boire deux verres d’alcool par jour est suffisant pour augmenter le risque de développer un cancer. Même s’il s’agit d’une consommation qui peut sembler modérée, voire raisonnable, cela suffit à multiplier le risque de souffrir d’un cancer, et notamment de développer un cancer du sein », résume l’équipe de chercheurs bostonnais.

Classé comme substance cancérigène depuis 1988 par l’OMS, l’alcool doit donc être pris au sérieux en tant que facteur de risque du cancer du sein, selon l’étude en question.

Cette dernière avance également que plusieurs décès liés au cancer du sein et potentiellement développés par l’alcool sont « cachés » dans les statistiques de cancer, alors qu’ils découlent d’un problème d’alcool.

Catégories
Uncategorized

Prendre son coeur en main

La Presse publie des statistiques inquiétantes en matière de santé cardiaque au Canada, mais ajoute qu’il est possible de renverser la situation.

Selon les chiffres proposés par Statistique Canada, les maladies cardiovasculaires talonnent de près le cancer, qui demeure en première place dans le classement des causes de mortalité au pays.

Les Canadiens sont eux-mêmes responsables, selon ce que l’on comprend des données avancées, puisque ces statistiques sont directement liées au style de vie de citoyens canadiens.

Ces derniers ont donc l’occasion de corriger le tir et de faire baisser significativement les risques de développer une maladie cardiovasculaire ou de faire une crise cardiaque, en devenant plus responsables envers leurs corps et leur santé.

Malgré toutes les campagnes et les informations sur le sujet, les spécialistes se désolent que les Canadiens ne prennent pas au sérieux les recommandations. Ceux-ci rappellent du même coup que les femmes sont aussi à risque que les hommes.

Au Canada, neuf personnes sur dix présenteraient des comportements qualifiés de facteurs de risque en ce qui concerne les troubles cardiovasculaires. Une situation qu’il faudra rapidement corriger.

Catégories
Uncategorized

Les multivitamines toujours aussi populaires malgré les recommandations

The National Library of Medicine pose une question importante aujourd’hui, via son site web, à savoir pourquoi la population semble toujours faire confiance aux multivitamines alors que celles-ci ne reçoivent pas l’appui des médecins à travers l’Amérique du Nord.

Pire encore, aucune étude viable ou probante n’a réussi à déterminer avec précision les effets bénéfiques de ces suppléments alimentaires sur la santé. Plusieurs recommandations ont même été publiées concernant les multivitamines et autres suppléments, avertissant les consommateurs des opinions mitigées des spécialistes en la matière.

Malgré tout, les Nord-Américains demeurent friands de ces produits, convaincus qu’ils font un bon geste pour leur santé.

Pour Regan Bailey, ce n’est pas le cas. Elle explique : « La plupart des gens qui utilisent ces suppléments le font parce qu’ils croient que cela va améliorer leur santé, mais nous ne savons vraiment pas si cela est vrai. Plus encore, la majorité des suppléments vendus ne sont pas le résultat d’une prescription. C’est un choix personnel ».

On suggère de consulter son médecin avant de commencer la prise de compléments alimentaires comme les multivitamines.

On évalue les profits de l’industrie des compléments alimentaires à environ 30 milliards par année…

Catégories
Uncategorized

La chirurgie esthétique toujours aussi populaire

Des statistiques publiées par l’International Master Course on Aging Skin confirment que la chirurgie esthétique est toujours aussi populaire qu’avant, alors que l’industrie du remodelage humain connait même une progression.

Le Botox a toujours la cote, et plusieurs autres types d’interventions commencent aussi à gagner en popularité, rapporte La Presse.

Du lot, les injections diverses (lèvres, visage, etc.) sont en tête de liste des interventions les plus pratiquées et les plus lucratives. Le nombre de chirurgies au laser et aux ultrasons grimpe aussi en flèche, alors que celui des implantations mammaires demeure un peu plus stable.

On attribuerait cette dernière statistique au scandale des fameuses prothèses PIP, qui ont fait l’objet de controverses et de plusieurs rappels.

L’industrie de la chirurgie esthétique engrange des profits faramineux depuis maintenant plusieurs années, et sa progression semble exponentielle. On estime les profits de celle-ci à environ 6,5 milliards de dollars pour l’année 2012 uniquement.

L’Europe, l’Amérique du Nord et l’Asie contribuent grandement à faire grimper les chiffres et la moyenne d’interventions effectuées annuellement, alors que la mode du remodelage humain est à son plus fort. La pression est forte dans ces sociétés axées sur la beauté, la jeunesse et la performance, et les gens semblent de plus en plus enclins à prendre les grands moyens pour demeurer dans la course.

Catégories
Uncategorized

Plus de fruits et légumes abaisseraient les risques de cancer du sein

La réputation des fruits et légumes en matière de santé et nutrition n’est plus à faire, mais voilà que The National Library of Medicine propose une nouvelle étude qui parle d’une vertu bien précise de ces aliments.

Il s’agit du cancer du sein, plus particulièrement dans certaines de ses formes les plus agressives, qui pourraient voir ses chances de se développer baisser dramatiquement chez les femmes qui consomment régulièrement des fruits et des légumes.

Bien que les chercheurs précisent qu’ils ne sont pas parvenus à prouver directement une cause à effet, et que ce comportement ne ferait pas baisser les chances de développer un cancer du sein en général, ils sont convaincus qu’il est tout de même efficace contre les formes les plus difficiles à traiter de la maladie.

Ces formes, notamment, sont définies comme des « cancers du sein de type récepteur œstrogène négatif ». Ces tumeurs ne réagissent donc pas au flux d’œstrogène chez la femme et compteraient pour 15 à 20 % de tous les cancers du sein.

Les chercheurs du département de nutrition de Harvard avancent que les femmes qui mangent quotidiennement des fruits et légumes présentent des statistiques inférieures en ce qui a trait à ce type de cancer que leurs consœurs qui n’en consomment pas ou peu.

Catégories
Uncategorized

Une décennie de perdue pour les fumeurs chroniques

Les gens qui auront fumé tout au long de leur vie de façon chronique perdront l’équivalent d’une décennie en durée de vie, rapporte The National Library of Medicine.

Ces statistiques proviennent d’une profonde étude américaine qui se penchait sur le sujet. On avance donc que les fumeurs peuvent perdre jusqu’à dix ans de leur vie, à moins qu’ils ne cessent au bon moment…

Ce bon moment serait évalué à environ 35 ans. Donc, il serait possible de « récupérer » ces dix ans de vie si une personne décide d’arrêter de fumer avant d’atteindre la mi-trentaine.

Il y a donc de l’espoir pour plusieurs personnes, et on souligne aussi qu’il n’y a pas d’âge pour profiter des bienfaits de l’arrêt du tabagisme.

L’étude massive analysait les données de plus de 200 000 personnes et conclut que les taux de mortalité chez les fumeurs sont trois fois plus élevés que chez les non-fumeurs.

« Il s’agit d’une bonne nouvelle pour les non-fumeurs, et d’une moins bonne pour les fumeurs. Même chose pour les femmes, qui affichent des statistiques comparables. Les femmes fument comme les hommes… et meurent comme les hommes », termine le Dr Jha, de l’hôpital St Michaels de Toronto.

Catégories
Uncategorized

Le mariage est-il gage d’un gain de poids?

Une nouvelle recherche établit un lien entre le mariage et le gain de poids, rapporte The National Library of Medicine.

S’il s’agissait jusqu’à présent d’un simple cliché, des chercheurs américains croient maintenant pouvoir en faire la preuve. Pour y parvenir, ils ont étudié les cas de plusieurs nouveaux mariés, sur une période de quatre ans.

Les conclusions sont claires : le mariage est un véritable ennemi de la taille fine. Ce qui s’avère d’autant plus étonnant, c’est qu’il semble que la notion de bonheur au sein du mariage joue également un rôle prédominant dans la prise éventuelle de poids. Ainsi, plus on est heureux dans son mariage, plus on prendrait du poids!

« Il est accepté depuis longtemps qu’une prise de poids est associée avec l’union du mariage, et qu’une perte de poids est quant à elle associée au divorce ou à la séparation. Ce qui était moins clair, c’est le rôle joué par le fait d’être heureux dans ce mariage sur la variation de la masse corporelle », explique Andrea Meltzer, psychologue et auteure de l’étude.

Le phénomène s’expliquerait en partie par le fait que les gens malheureux pensent plus au divorce et s’assurent de conserver une belle silhouette… au cas où.