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Reese Witherspoon n’aime pas être perçue comme adorable et parfaite

Reese Witherspoon n’aime pas les étiquettes, et encore moins celle de la petite fille adorable que tout le monde aime, selon ce que rapporte BANG Media International.

La star de Sweet Home Alabama croit que cette perception de la jeune femme parfaite nuit à ses possibilités comme actrice.

« Je me suis assise à des millions de réunions dans lesquelles on disait : “On ne veut pas que Reese dise des gros mots. On ne veut pas que Reese ait des relations sexuelles, on ne veut pas qu’elle consomme de la drogue. Je n’ai pas ressenti de contraintes jusqu’à il y a environ trois ans. J’ai réalisé que je n’étais pas cela, que j’étais une personne complexe avec plusieurs aspects à ma personnalité” », explique Reese Witherspoon au New York Times.

Cette prise de conscience et cette « case » de casting imposée auront-elles contribué à ce que la star de Legally Blonde se laisser aller à des comportements limites sous l’emprise de l’alcool, comme ce fut le cas au cours des derniers mois?

Si oui, Witherspoon aura assurément réussi à casser son image de jeune femme parfaite et à créer une nouvelle perception.

Reese Witherspoon est en vedette dans Wild et The Good Lie, des réalisateurs Jean-Marc Vallée et Philippe Falardeau.

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Reese Witherspoon n’aime pas être perçue comme adorable et parfaite

Reese Witherspoon n’aime pas les étiquettes, et encore moins celle de la petite fille adorable que tout le monde aime, selon ce que rapporte BANG Media International.

La star de Sweet Home Alabama croit que cette perception de la jeune femme parfaite nuit à ses possibilités comme actrice.

« Je me suis assise à des millions de réunions dans lesquelles on disait : “On ne veut pas que Reese dise des gros mots. On ne veut pas que Reese ait des relations sexuelles, on ne veut pas qu’elle consomme de la drogue. Je n’ai pas ressenti de contraintes jusqu’à il y a environ trois ans. J’ai réalisé que je n’étais pas cela, que j’étais une personne complexe avec plusieurs aspects à ma personnalité” », explique Reese Witherspoon au New York Times.

Cette prise de conscience et cette « case » de casting imposée auront-elles contribué à ce que la star de Legally Blonde se laisser aller à des comportements limites sous l’emprise de l’alcool, comme ce fut le cas au cours des derniers mois?

Si oui, Witherspoon aura assurément réussi à casser son image de jeune femme parfaite et à créer une nouvelle perception.

Reese Witherspoon est en vedette dans Wild et The Good Lie, des réalisateurs Jean-Marc Vallée et Philippe Falardeau.

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Julia Louis-Dreyfus croit que les rôles féminins ont évolué

Alors que plusieurs actrices soutiennent encore qu’Hollywood est sexiste, Julia Louis-Dreyfus (Veep et Enough Said) perçoit plutôt une grande amélioration dans le milieu.

« Je pense que pour les femmes à la télévision il y a plus de possibilités aujourd’hui qu’il y en avait il y a dix ans », dit-elle au journal britannique Metro avant de spécifier sa pensée : « On retrouve désormais des personnages féminins très forts, non stéréotypés et qui sortent des sentiers battus. »

Dans son dernier film Enough Said sorti en 2013, la brunette jouait aux côtés de James Gandolfini, décédé l’an dernier à 51 ans d’une crise cardiaque. Julia, 53 ans, porte encore le deuil de la mort de son collègue, rapporte Film News.

« Il me manque désespérément. », confie-t-elle. « Il y a une partie de moi qui ne croit pas encore qu’il est parti ».

Louis-Dreyfus se souvient du talent de l’acteur et pourtant, il ne se sentait pas à la hauteur pour Enough Said. « C’était ridicule. Il disait à Nicole Holofcener la réalisatrice : “N’hésitez pas à appeler Clooney, au besoin” ».

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De plus en plus de pères s’impliquent dans leur rôle de parent

ParentingSquad rapporte les effets bénéfiques de cette présence accrue des pères de famille, que le ministère de la Santé et des Services sociaux des États-Unis a commentés.

« Les enfants qui sont dans un foyer où le père est attentionné ont de meilleurs résultats d’apprentissage. Bon nombre d’études suggèrent que les pères qui sont impliqués, aimants et qui jouent avec leurs jeunes ont des enfants au QI plus élevé, de même qu’avec de meilleures habiletés linguistiques et cognitives. »

Que ce soit à l’école ou à la maison, les enfants qui bénéficient de l’attention et la présence de leur père en retirent une panoplie d’avantages :

– En entrant à la maternelle, ils sont mieux préparés. Ils sont plus patients et tolèrent mieux le stress et les frustrations associées à l’école.

– Dès la naissance, un père présent et affectueux développera un fort sentiment de sécurité et de confiance chez l’enfant.

– Les jeunes développent aussi de meilleures aptitudes sociales.

– Ils sont moins sujets à se mettre dans le pétrin, tant à l’école qu’à la maison.

– Ils ont moins de risques de développer des comportements dépressifs ou instables.

La preuve que briser les stéréotypes fait toute la différence.

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Une étude brise le mythe de la grippe d’homme

Une nouvelle étude réalisée sous la forme d’un sondage invalide le mythe de la grippe d’homme, et renvoie le tout aux femmes.

Selon les statistiques proposées dans cette étude, et rapportées par le Daily Mail (UK), les femmes seraient en effet beaucoup plus vulnérables à l’influenza, que ce soit en termes d’intensité ou de durée.

Attention, on avance également que les membres de la gent féminine seraient plus enclines à se plaindre, alors que le quart des femmes sondées affirment rechercher de l’attention et de la sympathie en le faisant.

Toujours selon le sondage, une grippe durerait jusqu’à 20 % plus longtemps pour une femme que pour un homme, et celle-ci se dirigerait vers son lit plus rapidement que son homologue grippé masculin.

Grâce à ce sondage, les hommes voient finalement le mythe de la fameuse grippe d’homme être attaqué pour la première fois.

Voilà de quoi alimenter les discussions dans les chaumières à l’approche de la saison de la grippe…

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Les hommes et les femmes se ressemblent plus qu’on pourrait le croire

Les hommes et les femmes se ressemblent plus qu’on pourrait le croire, rapporte Santé Log. Voilà une affirmation qui va en faire sourciller plus d’un.

Quiconque se trouve ou s’est déjà trouvé impliqué dans une relation amoureuse ou d’amitié avec une personne du sexe opposé vous dira probablement que l’adage qui prétend que les hommes et les femmes proviennent de deux planètes différentes est probablement vrai.

Pour les chercheurs de l’Université de Rochester, la plupart de ces « différences » relèveraient souvent plus du mythe que de la réalité.

Ce serait particulièrement vrai en ce qui concerne la sexualité, ce qui a de quoi étonner. Il semble que les deux sexes recherchent souvent les mêmes choses en matière de vie sexuelle, et que beaucoup de stéréotypes et de tabous donnent une impression d’opposition.

Même chose concernant l’empathie et les émotions, que l’on attribue souvent plus à la femme qu’à son partenaire masculin. Or, pour Harry Reis, coauteur de l’étude, les hommes sont capables d’autant d’empathie que les femmes.

On croit que la communication peut s’avérer un élément clé pour mieux comprendre l’autre sexe et découvrir des faits étonnants. Il faudrait parler des différences entre hommes et femmes en tant que moyennes, et non en tant que certitudes.

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Les stéréotypes sont appris en garderie

Une étude parue dans Child Development nous apprend que de simples consignes données par l’éducatrice pousseraient les enfants à respecter les stéréotypes établis.

En effet, une équipe de chercheurs de l’Université de Pennsylvanie a démontré que certains gestes communs en garderie encourageraient les enfants à choisir des jeux et des jouets attribués socialement à leur sexe. Les enfants seraient même moins portés à jouer avec ceux de l’autre sexe.

Il s’agit là de consignes qui semblent sans intention, telles « Bonjour, les garçons et les filles! » ou « Les filles, placez-vous ici en rang, les garçons, assoyez-vous. »

Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs ont suivi, pendant 2 semaines, 57 enfants âgés de 3 à 5 ans dans deux milieux préscolaires semblables.

Dans l’une des classes, l’éducatrice parlait en incluant les garçons et les filles. Dans la deuxième classe, l’éducatrice devait dire ses consignes en posant des différences de genre, mais sans faire de comparaison entre les deux groupes.