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Devrait-on offrir gratuitement la contraception aux adolescentes?

En moyenne, rapporte livescience.com, 16 % des adolescentes sexuellement actives tomberont enceintes dans l’année courante. Mais chez celles qui ont reçu de la contraception gratuitement, ce taux chute à 4 %.

L’étude a été menée au Royaume-Uni et publiée dans la revue scientifique The New England Journal of Medicine.

À travers cette recherche, on a également découvert que lorsque les adolescentes ont le choix de la méthode de contraception, elles sont près des trois quarts à sélectionner le dispositif intra-utérin (stérilet) ou l’implant hormonal.

D’ailleurs, l’American Academy of Pediatrics a récemment révélé qu’il s’agissait des deux meilleures méthodes pour les adolescentes, puisqu’il n’y a pas « d’oublis » comme pour la prise de la pilule anticonceptionnelle.

Malheureusement, ce sont les coûts qui empêchent les adolescentes de réellement utiliser le stérilet et les implants hormonaux. « Le dispositif à lui seul peut valoir jusqu’à 700 $ et ensuite, les implants hormonaux peuvent facilement atteindre 1000 $ ».

On espère donc que le système de santé considèrera le coût d’une grossesse et des mères adolescentes versus un coût moins élevé et donc plus accessible pour la contraception.

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La meilleure protection pour les adolescentes : le stérilet et les implants

Il ne s’agit pas d’une nouvelle recommandation, puisque SheKnows rapporte qu’en 2012, le Collège américain des obstétriciens et gynécologues était du même avis.

Les faits actuels mentionnent que 42 % des adolescents de 15 à 19 ans sont actifs sexuellement, sans compter que 8 grossesses sur 10 survenant dans cet intervalle sont accidentelles.

Le stérilet et les implants hormonaux représentent donc la meilleure façon d’éviter les grossesses non désirées. La pilule anticonceptionnelle demande un rappel quotidien, alors que ce n’est pas le cas pour ces deux méthodes.

Or, qu’en est-il de la protection contre les infections transmises sexuellement? Les parents s’inquiètent, surtout avec cette nouvelle tendance chez les garçons. Ceux-ci se plaignent que les relations sexuelles ne sont pas aussi « agréables » avec un préservatif. Ils oublient cependant que ce ne l’est pas plus pour la partenaire, mais que c’est essentiel.

Ainsi, malgré les recommandations médicales, il reste un travail important de communication entre les parents et leurs adolescents. Les relations sexuelles doivent être protégées.

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Les condoms contre les infections vaginales

C’est une étude chinoise, dont les résultats sont publiés dans la revue médicale PLoS ONE, qui fait le lien entre l’utilisation du condom et un taux supérieur de bactéries lactobacilles, protectrices contre l’infection.

Cependant, il est spécifié que bien que le lien soit fait, la causalité n’est toujours pas prouvée. La vaginose bactérienne est une infection se développant lorsque l’équilibre bactérien du vagin est déstabilisé.

Plus de 165 femmes sexuellement actives et âgées de 18 à 45 ans ont participé à la recherche. Elles ont toutes subi un frottis vaginal afin de déterminer le score de Nugent (nombre de bactéries), ainsi que la prévalence et l’influence des bonnes bactéries sur leur organisme.

Contrairement aux femmes portant le stérilet, en favorisant la présence de bonnes bactéries, celles utilisant le condom comme moyen de protection sexuel se seraient montrées moins à risque de contracter une vaginose bactérienne. Ces bonnes bactéries protègent également contre l’apparition de celles responsables, entre autres, du VIH.

Elles s’y prennent en rendant l’environnement vaginal quelque peu acide, et donc inhospitalier à ces mauvaises bactéries.

Mesdames, à vos condoms! Non seulement vous vous protègerez contre les grossesses et les maladies sexuellement transmissibles, mais vous aurez moins de chance de contracter ces désagréables infections ô combien inconfortables.

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Contraception : le stérilet est la solution la plus fiable

On ne peut pas en dire autant de la pilule, du timbre transdermique ou de l’anneau vaginal. En effet, il y aurait vingt fois plus de risques de tomber enceinte avec ces moyens de contraception féminins plutôt qu’avec le stérilet ou les implants.

Non pas parce que ces produits sont moins efficaces, mais bien parce que plusieurs femmes oublient de prendre quotidiennement la pilule ou de changer hebdomadairement le timbre.

« Cette étude est la meilleure démonstration que les méthodes de contraception de longue durée sont nettement supérieures à la pilule, au timbre transdermique ou à l’anneau vaginal », souligne le Dr Jeffrey Peipert, professeur de gynécologie à la faculté de médecine de l’Université Washington, principal auteur de l’étude parue dans la revue The New England Journal of Medicine.

L’étude, réalisée auprès de 7500 femmes âgées de 14 à 45 ans, a également prouvé que le risque de tomber enceinte est près de deux fois plus élevé chez les jeunes femmes de moins de 21 ans qui choisissent la pilule, le timbre transdermique ou l’anneau vaginal que chez les femmes plus âgées qui ont recours au stérilet ou à l’implant.

Les États-Unis devraient penser à être le premier pays industrialisé à rendre accessibles les moyens de contraception « longue durée ». Chez nos voisins du sud, parmi les quelque trois millions de grossesses annuelles, 50 % ne sont pas prévues.