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La stérilité masculine

Un fait malheureux observé depuis un bon moment est l’augmentation globale de l’infertilité masculine. Le Monell Chemical Senses Center de Philadelphie s’est penché sur le phénomène et a fait une découverte fort intéressante.

Un document de l’Académie des sciences américaines explique les résultats de la recherche en indiquant qu’un lien a été fait entre deux protéines essentielles à la signalisation du goût et leur incidence sur la production de spermatozoïdes.

Des tests ont été conduits sur des souris concernant le composant TAS1R3 et la molécule GNAT3. Quand ils étaient fonctionnels, les souris étaient fertiles.

Cependant, une fois les protéines bloquées, les souris ont développé une malformation et une forte baisse de production de spermatozoïdes, ce qui a entraîné leur stérilité. Une fois les protéines réhabilitées, tout est revenu à la normale. Le problème pourrait donc aussi être réversible chez l’homme.

Afin de procéder au blocage de TAS1R3 et GNAT3, les chercheurs ont utilisé du Clofibrate, un composé utilisé comme traitement contre certains troubles lipidiques.

Il se trouve que ce type de composé est aussi largement utilisé dans l’agriculture en tant qu’herbicide. Il est donc tout à fait concevable que ceci puisse aider à expliquer le phénomène global de stérilité chez l’homme.

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Plus de stérilité chez le groupe sanguin O

Le site EMaxHealth rapporte que le groupe sanguin pourrait être lié à la stérilité.
 
Apparemment, le groupe O, le plus répandu dans le monde, comporterait également le plus haut taux de stérilité chez les femmes.
 
Une équipe de l’Université Yale aurait trouvé un lien entre les femmes du groupe O et un déclin prématuré de la fonction ovarienne, en raison d’une composition moléculaire de leur groupe sanguin qui prédisposerait à la stérilité. Ceci est vrai pour les femmes déjà plus susceptibles de connaître un vieillissement précoce de leur système de reproduction.
 
Déjà, dès la fin de la trentaine, les femmes connaissent une chute de leur réserve ovarienne, devenant donc de moins en moins fertiles.
 
Ces résultats ne doivent pas alarmer les femmes, car l’étude a été effectuée seulement chez celles qui envisageaient des traitements de fertilité, donc cela pourrait ne pas s’appliquer à toute la population.
 
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Un nouvel espoir pour les femmes stériles

La DHEA, communément appelée l’hormone de la jeunesse, aiderait les femmes stériles à concevoir un bébé.

En effet, cette hormone aurait des effets étonnamment surprenants sur l’infertilité.

Selon le journal Ayala, le Dr Adrian Shulman de la Faculté de médecine Sackler de l’Université de Tel-Aviv en Israël affirme que la DHEA, combinée avec un traitement de fertilité, triple les chances de tomber enceinte.

On a observé des femmes qui suivaient des traitements contre l’infertilité. Certaines d’entre elles ont eu l’hormone quotidiennement pendant 40 jours avant le début de leur traitement contre l’infertilité, et ce, pendant 5 mois. Elles ont multiplié par trois leurs chances de devenir maman.

De plus, l’hormone favoriserait le bon déroulement de la grossesse et de l’accouchement. Les femmes qui ont reçu la DHEA ont attendu la venue de leur bébé et ont accouché dans de meilleures conditions et plus facilement que les autres femmes.

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Un diagnostic d’endométriose sans chirurgie

Une équipe de chercheurs associés aux universités de Sydney, en Australie, et de Karak, en Jordanie, ont mis au point un nouveau test qui ne nécessite aucune chirurgie pour diagnostiquer l’endométriose, une maladie gynécologique qui peut entraîner des règles douloureuses, des douleurs lors des relations sexuelles et même l’infertilité.

Cette technique consiste à prélever des cellules dans la paroi de l’utérus, en passant par le vagin, alors que pour le moment, les médecins doivent pratiquer une chirurgie afin de prélever des cellules hors de l’utérus et susceptibles de se retrouver dans d’autres organes.

Jugé efficace à 100 % par la Société européenne de reproduction humaine et d’embryologie, ce test permettra peut-être de diminuer de 10 à 15 % le taux des femmes en âge d’avoir des enfants qui souffrent de cette maladie.

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Hausse des vasectomies

Plusieurs médecins américains confirment une hausse considérable des vasectomies, comparativement à l’an dernier, et attribuent ce désir masculin à la situation économique au pays.

Selon eux, cette tendance à ne plus vouloir d’enfants pourrait s’expliquer par la hausse des dépenses ménagères qu’occasionne une naissance, ainsi qu’à la crainte de perdre leur assurance maladie en même temps que leur emploi.

Depuis novembre dernier, le Dr Marc Goldstein, chirurgien pratiquant des vasectomies à l’Institut de New York, a enregistré une augmentation des consultations de 48 % comparativement à l’an dernier. « Personne ne vient à mon bureau en expliquant sa décision par la crise économique, mais plusieurs me disent qu’ils n’ont plus les moyens de payer l’école privée pour plus de trois enfants », a confié M. Goldstein au site Health.com.

Pour le Dr Harry Fisch, pas de doute que l’aspect financier compte quand vient le temps de concevoir. « Si les finances ne se portent pas bien, ça fait du sens que les gens soient moins enclins à faire des enfants. S’ils envisageaient la vasectomie, alors cette période peut les inciter à passer à l’action », a-t-il mentionné.

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La clé de la stérilité féminine déchiffrée

La stérilité féminine, généralement moins importante que celle des hommes, est souvent causée par un manque d’ovulation.

Des chercheurs de l’Université de Montréal et leurs collègues de l’Université strasbourgeoise Louis Pasteur ont découvert que le gène Lrh 1 serait le principal responsable de la régulation de l’ovulation.

Le gène Lrh 1 aurait un rôle de déclencheur au sein de la centaine de gènes impliqués. En l’absence de ce gène, les femmes deviennent stériles.

Malgré cette découverte importante, il y a encore loin de la coupe aux lèvres. En effet, on ne connaît pas encore de drogue capable d’activer ou de bloquer le récepteur du gène à la demande.

En plus d’aider les couples stériles, la découverte du rôle prédominant du gène Lrh 1 pourrait aussi permettre de concevoir de meilleurs contraceptifs.