Catégories
Uncategorized

Les stéroïdes ne seraient pas dangereux que pour la santé physique

Bien que les stéroïdes anabolisants permettent des prouesses athlétiques et des gains musculaires spectaculaires, il est bien reconnu que d’en faire l’utilisation comporte sa part de risques pour la santé.

Mais pas uniquement pour la santé physique, apprend-on des informations rapportées par Santé Log, alors qu’une nouvelle étude en provenance de Suède fait état d’importants risques pour la santé mentale, à moyen et long terme.

Selon l’étude parue dans le British Journal of Sports Medicine, des recherches effectuées sur des athlètes suédois démontrent un lien direct entre l’utilisation des stéroïdes et le développement de certains troubles mentaux et psychologiques.

On parle notamment de problèmes de dépression, de concentration et de troubles comportementaux divers, qui peuvent survenir des années plus tard.

Le Dr Fahlke, auteur principal de l’étude, parle d’un « cercle vicieux » dont seraient victimes plusieurs athlètes au cours de leur vie, voyant certains problèmes de santé mentale être renforcés par l’utilisation de stéroïdes, et pouvant ensuite mener à des abus d’autres drogues ou d’alcool.

Un cercle vicieux que les chercheurs souhaitent éviter pour la nouvelle génération de sportifs, qui se doivent d’être sensibilisés à la cause et au phénomène.

Catégories
Uncategorized

Les effets des stéroïdes sur le foetus

Une découverte, publiée dans la revue médicale The Lancet, risque de modifier la pratique gynécologique.

En effet, la Dre Kellie E. Murphy, de l’Hôpital Mount Sinai à Toronto, prétend que les femmes enceintes et à risque de naissance prématurée accouchent d’un bébé dont le poids est en dessous de la moyenne et dont la circonférence de la tête est plus petite si elles ont reçu des corticoïdes pendant la gestation.

Ce type de stéroïdes est pourtant consommé parce que l’on croit qu’il peut diminuer l’incidence de naissance avant terme, de syndrome de détresse respiratoire aiguë et d’hémorragies cérébrales chez le nouveau-né.

1 858 femmes enceintes de 25 à 32 semaines de gestation ont participé à cette étude. Celles qui ont consommé du corticoïde ont accouché de 14 à 21 jours après l’ingestion de ce stéroïde.