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Les garçons déprimés sont ceux qui se jugent trop minces

Ce ne sont pas que les filles qui se préoccupent beaucoup de leur poids. Mais chez les garçons, c’est tout le contraire. S’ils n’ont pas de « masse » suffisante, leur confiance se détériore encore plus que chez les adolescents obèses.

Les résultats de l’étude, mentionne MedicalNewsToday, sont attribuables à Aaron Blashill de l’équipe de psychologues du Massachusetts General Hospital et membre de la faculté Harvard Medical School.

Les garçons trop minces sont victimes d’intimidation et sont plus enclins à prendre des stéroïdes et à déprimer. Selon les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), on estime que 3,5 % des enfants et adolescents de 2 à 19 ans ont un poids sous la normale. Celui-ci, cependant, cache souvent un problème sous-jacent.

Ce sont 2139 garçons de 16 ans qui ont été suivis pendant 13 ans pour la recherche. Les facteurs évalués étaient les symptômes dépressifs, l’image corporelle et l’indice de masse corporelle (IMC).

Les garçons qui considéraient que leur poids était sous la normale – même s’ils étaient en réalité à un poids santé et plus – avaient le taux le plus élevé de symptômes dépressifs, ce qui persistait même à l’âge adulte.

Blashill demande aux médecins d’être attentifs aux adolescents qui sont dans cette situation, puisqu’ils sont plus déterminés à utiliser des méthodes drastiques comme les stéroïdes.

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Troubles alimentaires : les garçons se soucient de plus en plus de leur image

Seulement aux États-Unis, selon Science World Report, c’est 20 millions de femmes et 10 millions d’hommes qui vivent avec un trouble alimentaire de taille durant leur vie. Cela inclut bien sûr l’anorexie et la boulimie, mais également l’hyperphagie boulimique, moins connue, ainsi que d’autres troubles non spécifiques.

Une récente étude spécifie que bien qu’il soit plus fréquent chez les femmes d’être aux prises avec ces troubles, les jeunes hommes (adolescents) ont de plus en plus de difficulté avec leur image corporelle.

Sur les 5527 adolescents interrogés, près de 18 % étaient soucieux de leur image, surtout au niveau de la corpulence de leurs muscles.

Comme l’indique la responsable de la recherche, Alison Field, du Children’s Hospital Adolescent Medicine Division de Boston, dans un communiqué : « Les hommes et les femmes n’ont pas du tout les mêmes préoccupations quant à leur image ». Alors que les filles recherchent la minceur, les garçons veulent des muscles développés.

Ainsi, lorsqu’on parle de troubles de l’alimentation chez les garçons, il faut plutôt regarder du côté des suppléments protéinés, des hormones de croissance ou des stéroïdes consommés par ceux-ci.

Field met les parents en garde. Regardez ce que votre adolescent consomme!

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Quand le langage est influencé par la testostérone…

De nouvelles recherches de scientifiques australiens, publiées dans le Journal of Child Psychology and Psychiatry, révèlent que les garçons qui sont exposés à des niveaux élevés de testostérone avant la naissance sont de deux à trois fois plus susceptibles de connaître des retards dans le développement du langage par rapport aux filles.

Les chercheurs ont examiné la présence de testostérone dans le sang du cordon ombilical (liquide amniotique) lorsque vient le moment critique du développement des régions linguistiques du cerveau pendant la grossesse.

Les spécialistes estiment que 12 % des enfants rencontrent d’importants retards dans leur développement du langage, et ce sont souvent les garçons qui ont tendance à développer plus tard et à un rythme plus lent la parole.

L’équipe croit que cela peut être dû à l’exposition prénatale aux stéroïdes gonadiques comme la testostérone. Les foetus masculins sont connus pour avoir un taux de testostérone 10 fois plus élevé que les fœtus féminins.

Par contre, l’effet inverse a été découvert chez des nourrissons de sexe féminin, où de hauts niveaux de testostérone dans le sang du cordon ont été associés à une diminution du risque de retard de langage.

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Les stéroïdes seraient inefficaces contre l’asthme

Le traitement de l’asthme chez les enfants par l’inhalation de stéroïdes est des plus communs. Or, il ne serait pas aussi efficace que l’on pense, selon une étude de la Washington University School of Medicine of St. Louis.

Des chercheurs ont remarqué que l’inhalation quotidienne de stéroïdes n’apportait pas des résultats si différents lorsque des doses plus élevées étaient données à des enfants pour réduire la respiration sifflante, et ce, dès la première apparition des symptômes de l’asthme.

De plus, le traitement quotidien ressemblait beaucoup à un autre administré par intermittence, quant à la diminution de la gravité des symptômes de cette maladie des voies respiratoires.

Pour en arriver à ces conclusions, on a suivi environ 300 enfants d’âge préscolaire qui avaient une respiration sifflante sur une base continue et qui présentaient de hauts risques d’asthme.

Les résultats complets de cette recherche sont parus dernièrement dans le New England Journal of Medicine.

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Les stéroïdes pour traiter l’eczéma des enfants

Jusqu’ici, on se méfiait des crèmes à base de stéroïdes pour soulager l’eczéma chez les enfants. C’est que les corticostéroïdes topiques qu’elles contiennent ont été reconnus pour causer un amincissement de la peau.

Or, une nouvelle étude menée auprès de 70 enfants vient de prouver qu’elles ne comportent finalement aucun risque. Une application régulière de ce type de crème n’a pas causé l’amincissement attendu de la peau chez les jeunes participants.
 
D’autre part, comme nous pouvons le lire sur La Presse, le National Health Service de l’Angleterre suggère quelques conseils à suivre, en plus d’un traitement. Par exemple, il faut éviter les savons parfumés et les bains moussants afin de réduire l’apparition des symptômes.
 
De plus, la routine du dodo semble jouer un rôle important dans la réduction de l’eczéma. Puisque la peau de votre enfant peut se réchauffer et l’irriter durant la nuit, il est important d’instaurer une routine adéquate lorsqu’il va au lit, ce qui l’aidera à trouver le sommeil.

Finalement, si 10 % des tout-petits souffrent d’eczéma, 75 % d’entre eux verront leurs symptômes diminuer, voire disparaître, avant ou pendant leur adolescence.