Étiquette : Steven Seagal

Faviola Dadis n’avait que 17 ans au moment des événements allégués contre Steven Seagal. Mannequin à l’époque, elle aspirait à devenir actrice lorsqu’elle a rencontré l’une des plus grandes stars de film d’action lors d’une séance de casting dans une chambre d’hôtel de Beverly Hills en 2002.

L’acteur aurait apparemment profité du fait que la jeune femme était en bikini pour glisser sa main sous son maillot de bain, avant qu’elle ne quitte les lieux, ébranlée par cette rencontre, peut-on lire dans un article de l’Associated Press.

Maintenant âgée d’une trentaine d’années, Mme Dadis a pris la parole lors d’une conférence de presse à Los Angeles ce lundi : 

« J’ai souffert de dépression d’anxiété et de stress post-traumatique suivant cet événement, et j’ai eu de la difficulté à entretenir des relations de confiance avec les hommes », a-t-elle déclaré devant les journalistes. Regina Simons, une autre victime alléguée de l’acteur, était présente à la conférence de presse aux côtés de la plaignante.

Les actrices Jenny McCarthy et Portia de Rossi ont également dénoncé l’acteur en novembre dernier, relatant d’expériences similaires en auditions dans les années 90.

Craignant d’être rejetée par la communauté artistique à l’époque, Faviola Davis n’avait pas signalé les événements à la police, jusqu’à tout récemment. Sa plainte contre l’acteur est présentement examinée par le service de police de la ville de Los Angeles.

Il y a huit ans, Seagal faisait face à des accusations de harcèlement sexuel et de trafic humain de la part d’une ancienne assistante. La poursuite avait ultimement été abandonnée.

L’avocat de l’acteur a nié les accusations en bloc, les qualifiant de « totalement fictives et inventées de toute pièce ».

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Deux autres femmes accuseraient Steven Seagal de leur avoir fait des avances sexuelles inappropriées alors qu’elles travaillaient en tant qu’assistantes, rapporte Starpulse.

Les femmes, dont le nom n’a pas été dévoilé, ont fait certaines déclarations afin d’appuyer l’ancienne mannequin Kayden Nguyen qui poursuit l’acteur pour 1 million de dollars américains, affirmant qu’il l’utilisait « comme un jouet sexuel » et qu’il s’attendait à ce qu’elle assouvisse ses besoins sexuels en plus de faire le travail d’assistante.

Dans l’une des déclarations, une femme expliquerait que Seagal a tâté sa poitrine, affirmant qu’il ne faisait qu’une vérification comme un médecin le ferait.

Les deux femmes affirment avoir quitté leur travail après que Seagal leur ait fait des avances sexuelles inappropriées.

Soulignons que l’avocat de Seagal, Marty Singer, avait nié ces accusations, qualifiant cette histoire d’absurde. Il insiste maintenant sur le fait que Seagal n’aurait même jamais rencontré ces deux femmes.

Selon ce qu’il affirme, aucun papier ne prouverait qu’elles ont réellement travaillé pour lui. « Les déclarations ont clairement été préparées par l’avocat de Nguyen pour être dévoilées dans les médias, pour soutenir les affirmations sans mérite de sa cliente », ajoute Singer.

La vedette de films d’action, Steven Seagal, a été accusée d’avoir agressé sexuellement son assistante personnelle et d’avoir payé des femmes pour des faveurs sexuelles, rapporte Thisislondon.co.uk.

Le spécialiste des arts martiaux est poursuivi par une ancienne mannequin de 23 ans, Kayden Nguyen, qui avait signé un contrat afin de travailler pour lui.

Nguyen affirme que l’acteur l’utilisait comme « son jouet sexuel » et qu’il la forçait à habiter dans sa maison en Louisiane.

La femme explique également que deux jeunes Russes, « qui étaient disponibles pour ses besoins sexuels 24 heures par jour, 7 jours par semaine », venaient lui rendre visite à sa maison.

Selon les documents déposés par Nguyen, Seagal, 58 ans, l’aurait agressée lors de sa première soirée de travail et encore deux fois de plus avant son départ de la maison, le 28 février.

Nguyen poursuit donc l’acteur pour les dommages qu’il lui a causés, réclamant un montant d’un million de dollars américains. Elle demande également à ce qu’un procès ait lieu.

Selon l’avocat de Seagel, Marty Singer, cette poursuite est ridicule et ces affirmations sont absurdes et proviennent d’une ex-employée qui a été licenciée. « Les accusations dans sa poursuite sont inventées de toutes pièces », affirme-t-il.