L’acteur Jamie Bell espère fortement que l’audience répondra positivement à la projection du nouveau film de Tintin, insistant sur le fait qu’il s’en voudrait « éternellement » s’il ne réussissait pas à impressionner les fans de l’aventurier, rapporte Orange News.
Étiquette : Steven Spielberg
Les dirigeants de Warner Bros. souhaitent que Steven Spielberg réalise leur film Gods and Kings.
Selon Deadline, Spielberg n’aurait pas encore donné son accord pour prendre la barre de ce film à propos de Moïse, mais il aurait en main le scénario écrit par Michael Green (Green Lantern) et Stuart Hazeldine (Paradise Lost).
Gods and Kings retrace la vie de Moïse, de sa naissance à sa mort. Le scénario du film serait basé sur le livre de l’Exode, second livre de la Bible, dans l’Ancien Testament.
Il raconte l’exode hors d’Égypte des Hébreux sous la conduite de Moïse, le don des Dix Commandements et les pérégrinations du peuple hébreu dans le désert du Sinaï en direction de la Terre promise.
Aucune date de sortie n’est annoncée pour le moment pour Gods and Kings.
Un quatrième Jurrasic Park?
Par ailleurs, la prochaine réalisation de Steven Spielberg, le très attendu The Adventures of Tintin: The Secret of the Unicorn, prendra l’affiche le 23 décembre prochain.
L’un des cinéastes en vus à Hollywood, et ce, depuis plus de 3 décennies, Steven Spielberg, offre la chance à qui le veut bien de louer son yacht qu’il a acheté au coût de 200 millions de dollars.
Le Seven Seas, qui est probablement le yacht charter le plus cher au monde, possède un équipage de 26 membres pour un maximum de seulement 12 invités.
Le bateau, sans surprise, possède 2 salles de cinéma, dont l’une projette les images sur le débordement continuel de la piscine qui se trouve à bord.
Ajoutez à cela une salle de gym, un spa et même une salle de massage, la location du Seven Seas vous permettra de vivre une semaine de grand luxe à son bord.
La seule petite ombre au tableau serait peut-être le prix à débourser, soit un ridicule 1,3 million de dollars pour une semaine. Mais comme on a seulement une vie…
Des images du premier film de Tintin
Les deux frères survivants des Bee Gees, l’un des plus populaires trios de l’histoire de la musique, ont donné leur accord à Steven Spielberg pour aller de l’avant avec un film racontant leur vie et leur arrivée au faîte de la popularité dans les années 1970.
Natifs de l’Angleterre, mais ayant déménagé en Australie alors qu’ils étaient encore des enfants, les trois frères Gibb, Barry et les jumeaux Robin et Maurice, ont commencé à percer alors qu’ils étaient âgés de 10 à 14 ans, en 1960.
Ce n’est qu’en 1966, au même moment où ils prenaient la décision de retourner vivre en Angleterre, que les frangins ont obtenu leur premier numéro sur les palmarès australiens.
Toutefois, l’histoire rappellera toujours que c’est lorsque leur musique a servi au film Saturday Night Fever, grand responsable de la fièvre du disco, que le groupe a atteint son apogée.
Après avoir juré de ne plus jamais chanter sous le nom des Bee Gees lorsque leur frère Maurice est subitement décédé d’une crise cardiaque en 2003, Barry et Robin espèrent que la mémoire de leur frère et l’histoire de leur grande carrière seront dûment honorées avec ce film, pour lequel ils ont aussi permis l’utilisation de leur musique originale.
Shia LaBeouf déçu du dernier Indiana Jones
L’acteur Shia LaBeouf a révélé faire partie des gens qui ont été grandement déçus par le quatrième film de la franchise Indiana Jones, Kingdom of the Crystal Skull, dans lequel il interprète le rôle principal, rapporte MTV.com.
LaBeouf a révélé la semaine dernière, durant le Festival de Cannes, qu’il n’avait pas été impressionné par le film Transformers : Revenge of the Fallen lancé l’été dernier. Dans le même ordre d’idée, il a révélé durant le week-end qu’il se sentait de la même façon quant à sa contribution dans le dernier volet de la série de films d’aventures qui mettaient en vedette Harrison Ford.
« J’ai l’impression d’avoir gâché l’héritage que les gens aimaient et chérissaient. On se balance comme un singe et des trucs du genre; on peut blâmer l’auteur et on peut blâmer le réalisateur, Steven Spielberg. Mais le travail de l’acteur est de rendre le personnage vivant pour que ça fonctionne et je n’ai pu le faire. Alors, c’est ma faute. Tout simplement », explique-t-il.
En faisant ce commentaire, l’acteur souhaitait démontrer son respect envers le public, se montrant conscient de la perception de celui-ci, et il n’a pas peur d’admettre son échec.
« Je crois que les gens du public sont intelligents. Je crois qu’ils savent lorsque nous faisons de la merde. Et je crois que si nous n’en sommes pas conscients, alors ils n’auront aucune raison de nous faire confiance la prochaine fois que nous ferons la promotion d’un film », a-t-il ajouté.
Rappelons que le week-end dernier, LaBeouf faisait la promotion du nouveau film d’Oliver Stone, Wall Street: Money Never Sleeps, dans lequel il tient un rôle très important. Il a confié avoir été réticent à l’idée de participer à ce film au départ, craignant d’en faire un échec comme avec la franchise Indiana Jones.