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Miss Possible : des poupées inspirantes pour les fillettes

Ces dernières ont pour objectif de stimuler les fillettes à voir grand pour leur future carrière.

Miss Possible est une poupée qui ressemble à diverses femmes qui ont marqué notre histoire. Pour le moment, la physicienne et chimiste Marie Curie, la mathématicienne Ada Lovelace, et la pilote d’avion de chasse Bessie Coleman sont celles qui ont repris vie dans la peau de ces figurines. 

Ces nouvelles poupées attachantes qui sont loin du stéréotype de la femme parfaite que représente Barbie ont pour mission de motiver, stimuler et inspirer les fillettes à voir grand et pratiquer peut-être un jour, un métier où l’on retrouve encore de nos jours, plus d’hommes que de femmes. 

Lorsqu’elle est achetée au coût de 45 $ environ, Miss Possible ne vient pas seule. Elle est accompagnée de jeux à exécuter et d’une application pour téléphone intelligent qui permet d’en apprendre davantage sur le parcours professionnel et la vie du personnage choisi, explique le site Famili

Ces nouvelles poupées seraient le fruit de Supriya Hobbs et Janna Eaves, deux jeunes ingénieures américaines qui ont remarqué une majorité de garçons dans leur classe durant leurs études, selon le Saint-Louis Today. 

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Nouveau traitement prometteur mais controversé contre les troubles alimentaires

Des chercheurs de l’University Health Network de Toronto publient les résultats d’une recherche clinique et affirment détenir la clé d’une nouvelle méthode de traitement de certains troubles alimentaires comme la boulimie ou l’anorexie.

Il s’agit d’un traitement expérimental, prometteur mais controversé, qui utilise un système de stimulation magnétique au cerveau. Bien que l’on affirme que le traitement est « non invasif », toute stimulation cérébrale externe soulève bien sûr son lot de questions.

Toutefois, rapporte The National Library of Medicine, l’équipe torontoise menée par le Dr Jonathan Downar croit fermement que la méthode peut aider les patients aux prises avec de sérieux troubles alimentaires comme l’anorexie ou la boulimie, des problèmes qui demeurent extrêmement difficiles à soigner.

« Les résultats démontrent qu’entre 50 et 60 % du temps, vous voyez une réduction de 50 % des comportements compulsifs. Et ceci, chez des patients qui ont pourtant déjà essayé tous les autres traitements pour mettre un terme à leur trouble alimentaire, sans succès. Alors, ce dont nous parlons est absolument sans précédent », explique Downar, convaincant.

Downar et son équipe présentaient les conclusions de leur recherche à la rencontre annuelle de la Society for Neuroscience, à San Diego.

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Viagra féminin : le dossier avance rondement

Encore une étape vers la matérialisation et la commercialisation d’un « Viagra féminin » semble avoir été franchie, selon ce que rapporte Top Santé.

« Plusieurs médicaments visant à doper le désir sexuel des femmes sont en cours d’essai aux États-Unis. Ils s’adressent aux 10 à 30 % de femmes qui souffrent d’un manque de libido », titre le magazine Libération.

Contrairement au Viagra déjà connu, qui favorise l’érection chez l’homme de façon physiologique, le produit destiné aux femmes stimulerait plutôt la libido.

Le dossier provoque beaucoup de réactions à travers le monde, tantôt sympathiques, tantôt réfractaires, alors qu’on approche d’un lancement probable du produit.

Un spécialiste américain, Andrew Goldstein, affirme clairement la « nécessité de ne pas transformer les femmes en nymphomanes », alors que pour Odile Buisson, gynécologue, plusieurs femmes « présentent une insensibilité cérébrale aux stimulations sexuelles, et ces troubles du désir peuvent générer une détresse psychique ainsi que des difficultés dans les rapports aux autres ».

Il semble que les plus récents essais cliniques aient été suffisamment concluants, et que la commercialisation serait envisageable au courant de l’année 2015 ou 2016.

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Les livres sans images sont meilleurs pour les enfants

Une récente étude publiée dans le journal First Language et conduite par les chercheurs de l’Université de Waterloo démontre que les livres sans mots procureraient plus de bénéfices à votre enfant que les traditionnels livres d’histoires.

Les résultats s’expliquent par le fait que les parents lisant les livres illustrés contenant des mots se contentent de pointer l’image et de le nommer, tandis que sans mots, les parents auront tendance à utiliser un vocabulaire plus complexe pour parler de l’image.

Par exemple, au lieu de simplement pointer le chat et dire « C’est un chat », s’il n’y a pas de mots correspondant à l’image, le parent sera porté à plutôt dire quelque chose comme « Regarde, c’est un chat! Comme celui de la voisine, tu te souviens de son nom? »

L’enfant est ainsi exposé à beaucoup plus de vocabulaire et développera lui-même une tendance à faire de même lorsqu’il sera en âge de parler. Il s’agit du constat fait alors que 25 mères ont été observées pendant qu’elles lisaient un livre de chaque sorte à leur bébé.

Les responsables de l’étude conseillent donc aux parents de mélanger les livres de lecture et ceux ne présentant que des images afin de maximiser le développement du langage de leur enfant et ainsi stimuler son imagination.

 

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La stimulation cérébrale profonde : solution aux désordres obsessifs compulsifs?

The National Library of Medicine rapporte les conclusions obtenues à la suite des recherches sur les désordres obsessifs compulsifs et de la réaction des patients à des traitements par stimulation cérébrale profonde.

On parlait déjà beaucoup de cette façon de faire pour enrayer, ou à tout le moins prévenir, des troubles cognitifs ou dégénératifs, mais c’est la première fois que des spécialistes tentent vraiment le coup en ce qui a trait aux désordres obsessifs compulsifs.

Publiées dans l’édition du 24 février du journal Nature Neuroscience, ces recherches confirmeraient l’idée que ces désordres sont l’œuvre d’un dérèglement cérébral, et qu’ils sont donc réversibles.

À tout le moins de moitié, puisque les chercheurs hollandais en tête de l’étude révèlent avoir réglé 50 % du problème chez certains patients, grâce à la stimulation cérébrale profonde.

On définit un désordre obsessif compulsif par un comportement répété de la part d’un individu, qui ne peut y mettre un terme volontairement. On parle bien sûr notamment de certaines dépendances, mais ce trouble peut aussi se traduire par des gestes simples, comme placer les choses dans un ordre précis ou encore constamment s’inquiéter d’un geste que l’on a pourtant bien accompli, comme verrouiller une porte.

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La stimulation cérébrale aussi utile au stade précoce du Parkinson

De nouvelles recherches sur la stimulation cérébrale concluent que celle-ci est bénéfique pour les patients qui en sont aux premières étapes de la maladie de Parkinson, selon The National Library of Medicine.

On savait déjà que le processus pouvait aider les patients qui en sont à des stades plus avancés, mais c’est la première fois qu’on réussit à établir ses effets en début de traitement.

Le traitement par stimulation cérébrale, qui peut donner froid dans le dos, consiste à placer de petites électrodes sur certaines zones précises du cerveau.

« Jusqu’à maintenant, toutes les études faisaient état des résultats obtenus sur des patients en stade avancé. Le groupe-test actuel est bien loin de ce spectre. Ils font plutôt partie de ceux qui n’étaient traités qu’exclusivement par médication », explique le Dr Gunther Deuschl, du Centre médical Schleswig-Holstein de Kiel, en Allemagne.

Le problème avec le traitement par médication, apprend-on, c’est qu’il développerait un « effet yo-yo » chez les patients, à long terme.

On tente maintenant de trouver de nouvelles pistes de traitement afin de retarder la maladie et d’améliorer la qualité de vie de ceux qui en souffrent.

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Un nouveau programme médical fait chuter la mortalité infantile

Le programme a été instauré par l’American Academy of Pediatrics (AAP) et s’intitule Helping Babies Breathe (HBB) ou « aider les nouveau-nés à respirer ». Les résultats de ce programme, selon deux recherches, sont très concluants.

Pendant les soixante premières secondes après la naissance, les intervenants mettent l’accent sur la respiration spontanée de l’enfant, en appliquant des mesures d’urgence lorsque celle-ci n’intervient pas immédiatement.

On nettoie rapidement les voies respiratoires par succion, puis on procède à une stimulation cutanée en asséchant l’enfant, notamment pour le réchauffer. On procède également à une respiration assistée à l’aide d’un sac et d’un masque.

Selon medpagetoday, dans un groupe d’hôpitaux de l’Inde, dirigé par le Dr Shivaprasad Goudar du Collège médical à Belgaum, le taux de mortalité infantile a baissé de 3 à 2,3 % en 2010.

Quant aux hôpitaux participants en Tanzanie, le programme a permis une baisse spectaculaire de 47 % des décès néonataux dans les 24 premières heures de vie du nourrisson.

Le programme, selon les chercheurs, n’est ni plus ni moins qu’une mesure de réanimation simple, mais très efficace. La prochaine étape, selon les responsables de l’étude, c’est que « le travail se fasse ». Tous les intervenants en santé doivent connaître la méthode, ce qui est encore loin d’être la réalité.

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Le speed-dating stimulerait des zones clés du cerveau

Au royaume des études, en voici une qui sort de l’ordinaire et du cadre général de la santé mentale, mais qui touche un sujet si important aux yeux de tous (ou presque) : l’amour et la séduction.

Plus précisément, l’étude dont il est question est en lien avec le speed-dating, cette méthode moderne de rencontre qui place plusieurs candidats en face de vous, les uns après les autres, dans un très court laps de temps.

Or, il semble que ce phénomène permette de mieux comprendre de quelle manière les gens se font une idée d’autrui, souvent basée sur le physique et sur la première impression. C’est du moins ce qu’ont voulu observer les chercheurs de l’étude, rapporte www.nlm.nih.gov.

Et ils ont réussi à distinguer deux zones clés du cerveau qui s’affairent lorsqu’on est en processus de décision et de jugement, en l’occurrence ici stimulées par deux facteurs : l’apparence physique et la compatibilité.

Le Dr John O’Doherty, coauteur de l’étude, est très heureux de ces percées en matière d’analyse du cerveau.

« Les psychologues savent depuis un bon moment que les gens forment souvent des jugements rapidement, avec très peu de détails ou d’informations. Malgré tout, très peu de choses sont connues à propos de la façon dont ce processus fonctionne physiquement et concrètement, et surtout de quels impacts ce genre de comportement peut avoir sur nos interactions sociales et ses conséquences », conclut O’Doherty.

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La méditation chinoise pour stimuler le cerveau

Selon une étude américaine publiée dans les Proceedings of the National Academy of Sciences, 30 minutes de méditation chinoise par jour améliorent la connectivité cérébrale, que l’on soit débutant ou expert.
 
Habituellement, cela peut prendre un bon moment avant de maîtriser la méditation, mais pas avec la méthode du coauteur de l’étude, Yi-Yuanm Tang.
 
Sa technique consiste à intégrer les postures avec des exercices de respiration, et le tout est facilement maîtrisé après seulement cinq jours.
 
« Les changements physiques importants que nous avons notés mettent en évidence que la méditation peut, sur le court terme, améliorer le contrôle de soi, l’humeur et la réponse au stress », mentionne le second auteur de la recherche, Michael Posner de l’Université de l’Oregon.
 
68 étudiants ont participé à la recherche. On a noté des changements cérébraux dans des zones spécifiques de leur cerveau liées à la mémoire, à l’empathie et au stress.
 
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La méditation chinoise pour stimuler le cerveau

Selon une étude américaine publiée dans les Proceedings of the National Academy of Sciences, 30 minutes de méditation chinoise par jour améliorent la connectivité cérébrale, que l’on soit débutant ou expert.
 
Habituellement, cela peut prendre un bon moment avant de maîtriser la méditation, mais pas avec la méthode du coauteur de l’étude, Yi-Yuanm Tang.
 
Sa technique consiste à intégrer les postures avec des exercices de respiration, et le tout est facilement maîtrisé après seulement cinq jours.
 
« Les changements physiques importants que nous avons notés mettent en évidence que la méditation peut, sur le court terme, améliorer le contrôle de soi, l’humeur et la réponse au stress », mentionne le second auteur de la recherche, Michael Posner de l’Université de l’Oregon.
 
68 étudiants ont participé à la recherche. On a noté des changements cérébraux dans des zones spécifiques de leur cerveau liées à la mémoire, à l’empathie et au stress.