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Un vaccin contre l’hépatite C ?

Nous pourrions éventuellement avoir un premier vaccin contre l’hépatite C, maladie qui conduit bien souvent à des insuffisances hépatiques et des cancers du foie.
 
Selon le Science Translational Medicine, des chercheurs européens du CNRS et de l’Inserm ont élaboré une nouvelle stratégie dans le développement d’un vaccin.
 
Non seulement cela permettrait un vaccin contre l’hépatite C, mais aussi à l’avenir des vaccins contre d’autres infections, notamment le VIH et la dengue.
 
Leur technique consiste à utiliser des pseudo-particules virales qui sont identiques aux particules virales, exception faite qu’elles ne sont pas dangereuses.
 
Des souris et des macaques qui ont reçu ce type de vaccin ont développé des anticorps capables de neutraliser l’hépatite C, ce qui permet de grands espoirs.
 
« Ces résultats sont importants pour la mise au point d’un vaccin préventif contre le virus de l’hépatite C. Plus généralement, ils sont applicables au développement de stratégies similaires pour des vaccins contre d’autres infections, comme le VIH, la dengue, le Virus respiratoire syncytial (RSV) », concluent les chercheurs.
 
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Multiples influences sur l’obésité infantile

En se basant sur l’idée que l’obésité infantile peut être abordée en fonction du comportement et de facteurs multiples et externes, des chercheurs incluent maintenant le marketing et le milieu de vie parmi ces derniers.

Précisément, une étude parue dans Pediatrics suggère que les nouvelles télévisées ont plus d’influence que les autres sources d’information quant aux changements comportementaux individuels.

D’autre part, les journaux semblent plus toucher le milieu de vie, en ce sens qu’ils apportent des changements à l’école, dans le voisinage et dans l’industrie des boissons. La télévision serait plus directement liée aux solutions parentales quant au comportement de l’enfant.

Les solutions les plus souvent trouvées par les parents étaient un changement du régime alimentaire (45 %) et l’exercice (36 %).

Ces résultats de l’École de santé publique Johns Hopkins Bloomberg proviennent d’une analyse de sources d’information parues entre 2000 et 2009.