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Empoisonnement du sang : risques pour les nouveau-nés

Selon Pediatrics, l’empoissonnement du sang est plus fréquent que l’on croit. Les autorités en matière de santé devraient poser plus d’actions pour prévenir ce type de problème. Aux États-Unis seulement, on estime que 1 nouveau-né sur 1 000 en souffre.

La majorité de ces infections sont causées par le streptocoque de type B et la bactérie E. coli. Une infection sanguine touchant tout le corps peut s’ensuivre, menant à des complications et un haut risque de décès chez le poupon.
 
On recommande donc que des tests soient faits auprès des femmes enceintes entre la 35e et la 37e semaine de grossesse. Par la suite, selon le cas, on pourrait administrer des antibiotiques pour limiter les conséquences.

Par ailleurs, on a noté que si le streptocoque B est le plus grand responsable des infections chez les bébés nés à terme, c’est la bactérie E. coli qui cause le plus de dommages chez les enfants prématurés.

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Un vaccin contre la méningite du nouveau-né

De nouveaux espoirs pour les nouveau-nés atteints de la méningite bactérienne viennent d’être annoncés. Comme nous pouvons l’apprendre sur TopSanté, des chercheurs français ont identifié une protéine menant le streptocoque B à causer certaines méningites.

Cette protéine fait en sorte que le streptocoque B peut franchir la barrière de l’intestin ainsi que celle entre le sang et le cerveau. Se trouvant à la surface du streptocoque B, la protéine permet à cette bactérie de dégénérer en une pathologie telle que la méningite bactérienne.

Cette infection très grave comporte plusieurs dangers pour le bébé. La recherche donne finalement la première explication moléculaire quant aux capacités du streptocoque B de causer la méningite.

La protéine identifiée pourrait donc faire l’objet d’un vaccin ainsi que permettre la création de nouveaux outils de diagnostics.

Ces résultats proviennent de recherches conjointes entre l’Institut Cochin, l’Institut Pasteur, l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, de l’AP-HP et de l’Université Paris Descartes.

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Une pneumonie peut s’avérer mortelle

Selon une étude publiée dans le journal Immunity, des chercheurs auraient découvert que lors d’une pneumonie, la bactérie du streptocoque sécréterait une toxine provoquant des saignements dans les poumons, et qui serait insensible aux antibiotiques.

Cela expliquerait pourquoi des individus décèdent des suites d’une pneumonie, malgré qu’ils aient reçu un traitement d’antibiotiques.

En fait, chaque année, plus d’une centaine d’enfants meurent de cette maladie en plus de milliers de gens âgés.

Selon le Dr Jian-Dong Li, professeur de microbiologie de l’Université du Centre médical de Rochester, à New York, et chercheur de l’étude, les antibiotiques sont efficaces contre la bactérie, mais ne font que la briser, libérant ainsi la toxine. Cette dernière causerait par la suite des saignements pouvant être mortels.

L’équipe de chercheurs travaille dorénavant à la conception d’un médicament pouvant neutraliser l’action de la toxine avant qu’elle ne provoque les saignements.