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Claude Meunier: «Le plus grand stress de ma vie»

Claude Meunier, honoré cette semaine lors d’un épisode spécial à l’émission Les enfants de la télé pour ses moments marquants en carrière, partageait les détails de sa première expérience télé, qui s’est déroulée en compagnie d’Yvon Deschamps.

Un instant qui s’est avéré très stressant, à l’époque, et qui s’est déroulé lors des Beaux dimanches – Gala de l’ADISQ, en compagnie de l’iconique humoriste.

«C’est le plus grand stress de ma vie que j’ai eu. À peu près le plus grand», dévoile Claude avant même d’avoir vu l’extrait.

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Capture ICI Télé

«C’est la première affaire que j’ai faite à la TV… de ma vie (…) J’étais tellement énervé, parce qu’Yvon, qui m’a beaucoup aidé au début, il avait dit: Vous allez voir il est ben drôle! Puis, il avait dit: Je vous avertis, je fais son straight man. Il a dit ça dans le Journal de Montréal, le samedi, la veille! Ça fait que j’ai tout réécrit le sketch presque…», poursuit Meunier.

«Tu ne te trouvais pas assez drôle?», veut savoir l’animatrice Mélanie Maynard.

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«Bien non… je ne me trouvais jamais assez drôle!», répond le créateur de La petite vie.

Ce moment a sans aucun doute contribué à propulser sa carrière vers de nouveaux sommets, façonnant ainsi l’artiste qu’il est devenu aujourd’hui!

Rappelons que La petite vie est de retour sur la télé traditionnelle avec sa nouvelle mouture, ce samedi, sur les ondes d’ICI Télé!

Quel est votre plus beau souvenir de Claude Meunier?

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Grands Titres

Ce nouveau film sur Netflix fait stresser les auditeurs comme rarement auparavant

Un nouveau film disponible sur Netflix fait stresser les internautes comme rarement auparavant, rapporte The Mirror.

Si vous êtes amateur de sensations fortes, vous allez trouver votre compte en regardant Fall (Vertige en français), un film sorti en 2022, mais disponible depuis peu sur Netflix.

Pendant plus de 1h30, ce film vous plonge dans l’aventure de Becky et Hunter, des personnages joués respectivement par Grace Carolina Currey et Virginia Gardner. 

Les deux meilleures amies décident de grimper au sommet d’une tour radio de 2 000 pieds (environ 600 mètres) pour disperser les cendres restantes du mari de Becky, Dan, décédé tragiquement dans un accident d’escalade.

Crédit photo: Capture d’écran vidéo YouTube

Ce qui semblait être une belle idée pour lui rendre hommage va tourner progressivement au cauchemar pour les deux jeunes femmes.

Elles vont finalement se retrouver dans une situation extrêmement dangereuse et le film devient de plus en plus angoissant au fur et à mesure que les minutes passent.

Autant vous dire que cela a généré des sueurs froides chez les internautes qui ne se sont pas privés pour exprimer à quel point ce film les avait angoissés.

« Quelqu’un d’autre a-t-il regardé Fall sur Netflix ? Deux filles escaladant une p***** de super tour radio ? Ça fait 20 minutes que j’ai commencé et j’ai déjà eu au moins 400 crises cardiaques !!! », s’est exclamé un internaute.

« Alors, ceux d’entre vous qui m’ont suggéré ou parlé de Fall sur Netflix… oui, je vous blâme pour mon hypertension artérielle », a écrit un autre internaute.

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Art de vivre

Comment reprendre le pouvoir sur votre anxiété

(CHRONIQUE)

Avec la pandémie que nous vivons actuellement, j’observe que dans ma pratique comme travailleuse sociale, ainsi que dans mon entourage, plusieurs personnes vivent une augmentation de leur niveau de stress, allant parfois jusqu’à vivre de l’anxiété. Certain.e.s client.e.s m’ont fait part qu’ils ressentent de l’anxiété pour la première fois de leur vie, et se sentent démuni.e.s face à l’ampleur qu’elle prend dans leur vie. En effet, celle-ci devient la sournoise compagne des jours et des [semblant de] nuits de ceux.celles qui la vivent, finissant par avoir un impact négatif dans la plupart de leurs sphères de vie.

Elle se manifeste sous forme de pensées négatives qui envahissent leur esprit, en particulier lorsque celui-ci est moins occupé (dans la douche, en faisant la vaisselle, lorsqu’ils écoutent la télévision, avant de s’endormir, lors de réveils nocturnes, etc.). Ces pensées représentent des scénarios d’anticipation (projections dans le futur) ou de ruminations (retour dans le passé) qui prennent une proportion démesurée et qui les empêchent d’être dans l’instant présent. Elles peuvent tourner en boucle pendant des périodes plus ou moins courtes, un peu comme un hamster qui court dans sa roue et qui est particulièrement difficile à calmer. Ils/elles finissent par se sentir complètement épuisé.e.s face à toutes ces pensées envahissantes, et à long terme, cela peut même mener à un état d’épuisement ou de dépression. Alors, au vu des effets dévastateurs de l’anxiété, comment pouvons-nous atténuer son impact négatif dans notre vie ? Comment reprendre le dessus sur nos pensées et retrouver une vie normale ?

Reconnaitre les signaux d’alarme du stress

L’anxiété s’accompagne de sensations physiques particulières qui vous indiquent que quelque chose vous angoisse : montée de chaleur, sudation, augmentation du rythme cardiaque, respiration plus rapide et située au niveau de votre poitrine qui peut parfois s’accompagner d’une sensation de manque d’air, tensions dans les épaules ou le cou, maux de tête, et plus encore. Si vous portez attention à ces signaux d’alarme que votre corps vous envoie, vous pouvez arrêter les montées d’anxiété avant qu’elles ne prennent trop d’ampleur. Lorsque vous détectez des signaux corporels de stress, prenez le temps de vous recentrer sur le moment présent en vous concentrant sur votre respiration. Si la respiration n’est pas suffisante pour diminuer les sensations physiques de stress, vous pouvez également vous concentrer sur les perceptions que vous détectez avec vos sens : les bruits ambiants, ce que vous voyez, les odeurs, ce que vous pouvez toucher avec vos mains ou vos pieds. Vous pouvez les énumérer dans votre tête ou à voix haute, ce qui vous permet de reprendre contact avec votre corps plutôt que de vous perdre dans vos pensées anxieuses. Cet exercice vous permet de prendre un pas de recul sur vos pensées, ce qui est nécessaire quand l’anxiété prend le contrôle de votre esprit rationnel.

La respiration profonde ainsi que l’exercice des sens permettent également de convaincre votre cerveau que vous n’êtes pas en danger ici-maintenant, car le cerveau ne fait pas la différence entre un danger réel et un danger imaginé. Le corps réagit de la même façon aux 2 alternatives, soit en activant la réponse de survie (ou système sympathique), qui génère un grand déversement d’hormones de stress dans votre corps. Cette réponse de survie se calme uniquement quand le cerveau est convaincu que vous êtes en sécurité (activation du système parasympathique). Si le système sympathique reste activé longtemps, entre autres lorsque nous sommes exposés à du stress pendant une longue période consécutive, vous observerez l’apparition de divers effets secondaires : fatigue, insomnie, trous de mémoire, difficultés de concentration, diminution de la libido, variations d’émotions, migraines, haute pression, et plus encore. Il est donc important de se réserver au minimum un moment de plaisir ou de détente dans la journée pour relâcher la tension. Ces moments n’ont pas besoin d’être longs, et plus vous laisserez de la place à ces petits instants de plaisir dans votre quotidien, plus vous sentirez les effets bénéfiques sur votre santé mentale.

Prendre du recul face à nos pensées

Avez-vous déjà remarqué que nous n’avons pas vraiment le contrôle sur nos pensées, même si la plupart d’entre nous essayent très fort ? Faites le test. Essayez pendant 2 minutes de ne penser à rien. Que se passe-t-il ? Je serais prête à parier que tôt ou tard, une pensée surgit, que vous le vouliez ou non. Vous êtes-vous déjà dit « je ne dois pas penser à ça » ? Est-ce que cela a fonctionné ? Essayez-le ! Je vous mets au défi de ne surtout pas penser à un éléphant rose… Alors, à quoi pensez-vous?

Le problème, ce n’est pas les pensées en soi, mais plutôt l’importance qu’on leur accorde. Nous avons la fâcheuse tendance à croire ce que nos pensées nous disent. Mais si vous avez une tête un peu conteuse, vous vous rendrez probablement compte que la plupart des histoires qu’elle vous raconte feraient certes un bon livre de divertissement, mais que ces histoires se matérialisent rarement… Je demande souvent par curiosité à mes client.e.s anxieux.se.s d’évaluer à quel pourcentage les scénarios qu’ils s’imaginent arrivent tels quels dans la réalité. Souvent, ils vont me répondre un pourcentage se situant entre 5 et 20%. Je leur pose alors la question suivante : si vous aviez un ami qui vous racontait des histoires fausses 80% du temps, est-ce que vous continueriez à porter attention à ce qu’il vous dit ? Il en va de même avec les pensées anxieuses.

Il faut réaliser que notre tête n’est pas toujours notre meilleure conseillère, et donc apprendre à être critique envers ce qu’elle nous raconte au lieu de toujours la croire. Plus vous portez attention à vos projections ou vos ruminations, plus elles prennent de la place et deviennent plus grandes que nature. Quand une pensée négative retient votre attention, vous pouvez vous en distancer en vous demandant si cette pensée vous est utile ici et maintenant. Si ce n’est pas le cas, remerciez votre cerveau et recentrez-vous dans le moment présent plutôt que de nourrir l’anxiété. Évidemment, plus vous vous exercerez à prendre du recul sur les histoires que votre tête vous raconte, plus il deviendra facile d’éviter les pièges de l’anxiété, même s’il vous arrivera probablement encore à certaines occasions d’y céder sans vous en rendre compte. Le but n’est pas d’être parfait, mais bien d’apprendre à connecter avec votre corps et votre environnement le plus souvent possible au quotidien, d’apprendre de plus en plus à habiter le moment présent en pleine conscience, chose qui devient de plus en plus ardue en 2021 vu la charge mentale et nos vies très occupées.

Dresser une liste

Si vous avez de la difficulté à prendre du recul face à votre anxiété, vous pouvez aussi essayer de distinguer quelles sont les probabilités que ce que vous imaginez se produise tel que vous le pensez. Dressez-en une liste : votre pensée anxieuse au milieu d’une feuille, entourée de bulles contenant les autres scénarios possibles. Vous verrez que la plupart du temps, il pourrait arriver des milliers d’autres possibilités que celle que vous êtes en train de nourrir (et même plus encore que celles que vous arrivez à mettre sur papier). Même si vous essayez de planifier en détail ce qui pourrait arriver, finalement cela ne changera rien puisque vous n’avez pas le contrôle sur le futur. J’utilise souvent la métaphore suivante avec mes client.e.s : essayer d’avoir du contrôle sur quelque chose d’incontrôlable, c’est aussi utile que d’essayer de changer de bord le courant d’une rivière avec votre seule force physique. Je peux vous garantir que vous allez vous épuiser à l’effort, alors que la rivière va continuer à suivre son cours… Alors si une situation vous rend anxieux, identifiez sur quoi vous avez du pouvoir et quelles actions vous pouvez poser pour vous adapter. Agissez sur ces éléments, et tout ce sur quoi vous n’avez pas le contrôle. Il faut apprendre à l’accepter et lâcher prise pour éviter de gaspiller votre énergie sur un combat perdu d’avance. Vous savez, notre énergie est limitée et précieuse, il revient donc de la concentrer sur des choses qui sont vraiment importantes pour vous ici et maintenant. Ça, c’est utiliser votre énergie à bon escient !

En bref, l’anxiété est très insidieuse et peut toucher n’importe qui. Ses effets à long terme sont désastreux, que ce soit pour la santé physique ou mentale. Pour se libérer de son emprise, il faut apprendre à la reconnaitre lorsqu’elle tente de s’introduire dans notre quotidien, réaliser que notre tête n’est souvent pas notre meilleure conseillère et donc prendre du recul quant aux histoires qu’elle nous raconte et réapprendre à vivre le moment présent.

En finissant, il n’y a pas de recette miracle pour vous débarrasser de l’anxiété dans votre vie : il y aura toujours des aléas de la vie qui vous
déstabiliseront, et vous ne pouvez certainement pas arrêter votre cerveau de penser (si jamais quelqu’un découvre un bouton on/off, veuillez SVP me contacter !) Cependant, vous pouvez choisir d’accorder moins de crédibilité à vos pensées anxieuses et vous concentrer sur ce qui est important pour vous dans le moment présent. Si vous le pratiquez un peu chaque jour, je vous promets que vous ressentirez rapidement l’effet libérateur du lâcher-prise et croyez-moi, on y prend goût !

N’oubliez pas que si vous ressentez des symptômes d’anxiété très intenses, il existe des professionnels pour vous outiller : vérifiez si vous avez accès à un programme d’aide aux employé.e.s gratuit à votre emploi, consultez les ressources communautaires de votre région ou votre CLSC local, adressez-vous aux différentes lignes d’aide ou cherchez un psychothérapeute en pratique privée qui peut vous accompagner dans vos difficultés. Parfois, la meilleure façon de s’aider soi-même est d’accepter qu’on ait besoin d’un coup de pouce externe…

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Art de vivre

Il y a un an, le confinement

Un an a passé déjà. Un an depuis que tout.e.s, grand.e.s et petit.e.s, ont été renvoyés à la maison pour y rester. Bang : confinement. 

C’était irréel. Les rues fantômes à l’heure de pointe. Les étalages vides dans les magasins. L’épicerie en ligne. Les files distancées à l’extérieur des grandes surfaces.

C’était du jamais vu. Le travail à distance, à la table de la cuisine. Les dossiers à revoir avec deux enfants sur les genoux. Les urgences qui pleuvaient à un rythme effréné. Les interrogations enfantines pendant un appel avec un supérieur. Les chicanes fraternelles pendant la réunion mensuelle. La concentration à temps partiel, l’oreille toujours à l’affût du moindre indice de bisbille.

C’était la solitude, les trous dans les habitudes. Les enfants désœuvrés à la maison. La cour arrière inaccessible, d’abord glacée, puis trempée. Le parc fermé. Les ami.e.s interdis, la famille aseptisée derrière l’écran. Les bricolages, les lectures, et surtout la marelle, tout le temps, parce que c’est tout ce qu’il y avait à faire dehors. Le jeu à retracer à la craie, inlassablement, après chaque averse. Mon Dieu qu’on a pu jouer à la marelle. Des heures et des heures de temps, entre mars et avril.

 
Crédit:Abby Haukongo/Pixabay
 

Puis, graduellement, la reprise. La réouverture des boutiques, des écoles, des garderies. Le retour des sports, des petits rassemblements. La fin du confinement.  Enfin, presque. Parce que pour nous, les parents, le confinement n’a jamais pris fin. Jamais totalement.

On ne sait jamais, en se levant le matin, si chacun ira à l’école ou au travail. Chaque jour, ça peut aller dans un sens comme dans l’autre. On réorganise mentalement nos échéances professionnelles au moindre reniflement de notre progéniture. On tressaillit au moindre raclement de gorge. « Combien de jours de vacances me reste-t-il, déjà? » « Peux-tu prendre congé, toi, chéri? » On sursaute en voyant le numéro de l’école sur l’afficheur; on angoisse quand on reçoit un courriel de la garderie. Notre tour viendra, c’est certain : on ne sait juste pas quand. Et si c’était aujourd’hui?

Bien sûr, les mesures sont nécessaires. Bien sûr, il n’y a pas que les parents qui sont épuisés. Mais reste que la pandémie nous a joué un tour : en normalisant le fait que les parents travaillent avec des enfants dans les bras, elle a fait oublier à tout.e.s que ce n’était pas une option viable à long terme. C’est rushant. Ça use. Ça souffle sur la poussière accumulée sur les souvenirs. Et on se rappelle.

C’était un accroc dans le temps. Le ciel gris, maussade, comme un printemps normal. Les pistes cyclables prises d’assaut, faute d’autre destination. Les arcs-en-ciel dans les fenêtres, l’optimisme naïf, l’espoir parce qu’on n’a pas le choix. Ça a l’air loin, mais on s’en souvient.

C’était il y a un an, mais c’est aujourd’hui en même temps.

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Nightlife.ca

Les expériences thermales du Strom Spa sont ENFIN de retour!

Les spas sont enfinnnnnn rouverts en zone orange!!!!! (Désolé, ce n’est vraiment pas facile de retenir notre excitation.) Après cette année assez stressante merci, il est VRAIMENT TRÈS probable qu’on tombe complètement accro aux expériences thermales du Strom Spa. Ça fait des semaines et des semaines qu’on zieute les photos sur leur Instagram en rêvant toujours un peu plus au jour où les expériences thermales allaient redevenir possibles.

C’est donc depuis hier que leurs établissements de Sherbrooke et du Vieux-Québec ont rouvert entièrement leurs portes, et ce sera le 26 mars pour L’Île-des-Soeurs et le Mont-Saint-Hilaire.

En passant, si vous ne le saviez pas, la thermothérapie est hyper importante pour votre bien-être. Ce rituel pratiqué depuis des millénaires est praticable tout au long de l’année, beau temps, mauvais temps, pour vous permettre d’être moins stressé (hello l’abonnements à l’année!). « Basée sur l’alternance du chaud et du froid suivie d’une période de relaxation profonde, l’expérience thermale comporte de nombreux bienfaits. »

Réservez votre soin dès maintenant au 1 877 761-2772.

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Art de vivre

Le sexe aussi bon que la méditation contre le stress

Des chercheurs de l’université de la Colombie-Britannique, de l’unité du centre de la médecine sexuelle, ont trouvé des similitudes entre la méditation et l’activité sexuelle.

C’est bien connu, la méditation a plusieurs vertus, dont celle de diminuer le stress ressenti par une personne.

Toutefois, si cette pratique ne vous plaît guère, il y a d’autres solutions qui s’offrent à vous pour diminuer le stress, puisqu’une relation sexuelle pourrait vous apporter les mêmes bienfaits.

Les recherches ont démontré que la pratique de l’une ou l’autre de ces activités réduisait la production de cortisol, l’hormone du stress qui est sécrétée dans le cerveau. 

Chez des femmes ayant participé à l’étude, on a remarqué que la méditation réduisait le cortisol, ce qui se traduisait par une augmentation de leur désir, leur éveil et leur satisfaction. 

Un contact sexuel amène aussi le corps à réduire sa production de cortisol.

Ce phénomène est encore plus vrai lorsque les partenaires pratiquent le tantrique, une forme de sexualité qui est proche de la méditation.

Photo : Davids Kokainis, Unsplash

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Art de vivre

Le sexe aussi bon que la méditation contre le stress

Des chercheurs de l’université de la Colombie-Britannique, de l’unité du centre de la médecine sexuelle, ont trouvé des similitudes entre la méditation et l’activité sexuelle.

C’est bien connu, la méditation a plusieurs vertus, dont celle de diminuer le stress ressenti par une personne.

Toutefois, si cette pratique ne vous plaît guère, il y a d’autres solutions qui s’offrent à vous pour diminuer le stress. La masturbation ou une relation sexuelle pourrait vous apporter les mêmes bienfaits.

Les recherches ont démontré que la pratique de l’une ou l’autre de ces activités réduisait la production de cortisol, l’hormone du stress qui est sécrétée dans le cerveau. 

Chez des femmes ayant participé à l’étude, on a remarqué que la méditation réduisait le cortisol, ce qui se traduisait par une augmentation de leur désir sexuel, leur éveil, la lubrification et leur satisfaction. 

La masturbation ou une relation sexuelle amène aussi le corps à réduire sa production de cortisol. Ce phénomène est encore plus vrai lorsque les partenaires pratiquent le tantrique, une forme de sexualité qui est proche de la méditation.

Photo : Davids Kokainis, Unsplash

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Art de vivre

Le sexe aussi bon que la méditation contre le stress

Des chercheurs de l’université de la Colombie-Britannique, de l’unité du centre de la médecine sexuelle, ont trouvé des similitudes entre la méditation et l’activité sexuelle.

C’est bien connu, la méditation a plusieurs vertus, dont celle de diminuer le stress ressenti par une personne.

Toutefois, si cette pratique ne vous plaît guère, il y a d’autres solutions qui s’offrent à vous pour diminuer le stress. La masturbation ou une relation sexuelle pourrait vous apporter les mêmes bienfaits.

Les recherches ont démontré que la pratique de l’une ou l’autre de ces activités réduisait la production de cortisol, l’hormone du stress qui est sécrétée dans le cerveau. 

Chez des femmes ayant participé à l’étude, on a remarqué que la méditation réduisait le cortisol, ce qui se traduisait par une augmentation de leur désir sexuel, leur éveil, la lubrification et leur satisfaction. 

La masturbation ou une relation sexuelle amène aussi le corps à réduire sa production de cortisol. Ce phénomène est encore plus vrai lorsque les partenaires pratiquent le tantrique, une forme de sexualité qui est proche de la méditation.

Photo : Davids Kokainis, Unsplash

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Art de vivre

Une niche antistress pour votre chien

Cette niche aux allures futuristes est une création du constructeur automobile Ford. Elle est équipée d’une technologie de réduction du bruit qui calme votre chien.

De nombreux propriétaires de chiens savent comment les feux d’artifice ou autres bruits de la vie de tous les jours peuvent énerver leur animal de compagnie favori.

Les chiens ayant une ouïe environ quatre fois plus développée que l’homme, on peut facilement comprendre que certains jours, des bruits perturbent la sérénité de nos quadrupèdes.

Selon les recherches de Ford, 45 % des chiens souffriraient d’anxiété en raison du bruit, des chiffres qui seraient toujours en hausse.

Utilisant la même technologie d’atténuation de bruit que dans ses véhicules, Ford a donc intégré cette technologie à ses niches. On y retrouve entre autres des haut-parleurs et une porte automatique.

Lorsque les bruits sont trop énervants pour un chien, il se réfugie dans la niche, qui va automatiquement fermer la porte derrière lui. Des microphones vont capter les sons ambiants avant que les haut-parleurs n’émettent un son opposé afin d’atténuer la présence sonore initiale.

Photo : FORD

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Art de vivre

Un deuxième enfant affecte la santé mentale des parents

Des chercheurs de l’université de Melbourne mettent en garde les parents qui pensent à engendrer un second enfant. Le nouveau venu, en plus d’apporter son lot de joie, viendra créer des stress néfastes à ses parents.

Les scientifiques ont étudié 16 ans de statistiques issues de Statistique Australie. Ils ont découvert que dès la naissance d’un deuxième enfant dans une famille, les problèmes de santé mentale des parents sont en croissance, par rapport à l’époque où ils n’avaient qu’un enfant.

« Avoir un premier enfant ressemble à ce que les parents pensaient, mais en avoir un deuxième est comme en avoir 10 », raconte Bianca Rodriguez, thérapeute associée à l’étude.

« L’attention nécessaire à deux enfants n’est pas doublée à la naissance du 2e enfant, c’est plutôt exponentiel, en raison de la dynamique qui est générée par les deux enfants, » ajoute-t-elle.

L’étude souligne aussi que la naissance d’un deuxième enfant affecte plus la santé mentale des mères que des pères. 

« Clairement, les pères ne font pas face à la même pression chronique que les mères, à long terme ». 

Selon les chercheurs, les mères rencontrent plus de stress à élever les enfants que les pères. Cela est dû traditionnellement au fait que les mères ont plus de responsabilités dans le foyer familial que les pères.

Photo : Bigstock

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