On lit dans Proceeding of the National Academy of Sciences que la qualité de vie de la future maman est d’une importance majeure. Le stress prénatal entraînerait un vieillissement cellulaire accéléré, selon une récente étude.
Ici, on parle d’une moyenne de trois ans et demi de plus que la normale; de cinq ans pour les femmes. Un tel vieillissement a été remarqué chez de jeunes adultes dont la mère avait vécu un traumatisme psychologique lorsqu’elle était enceinte.
Ce nouvel indice s’ajoute à d’autres effets de l’exposition au stress durant la grossesse, soit certains liés au métabolisme ainsi qu’aux fonctions cognitives, endocrines et immunes.
La présente découverte fait par ailleurs la lumière sur l’explication du développement de certaines maladies de l’âge adulte. On comprend donc de plus en plus que les neuf mois de grossesse ont déjà une influence sur toute la vie d’une personne.