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Le stress nuit à la vue

Étant un des organes les plus sensibles du corps humain, l’œil nécessite une bonne protection du soleil et des agressions extérieures ainsi qu’une bonne dose de vitamine, mais il a aussi besoin de notre calme.

Bien que cela puisse sembler étrange à première vue, un article paru sur le site HealthMeUp explique clairement le lien entre le stress et les troubles de vision.

Le globe oculaire est non seulement relié au nerf optique, il l’est aussi à un grand nombre de vaisseaux sanguins. La haute pression, c’est bien connu, peut être causée par le stress.

Quand un individu est stressé, sa tension artérielle augmente et nuit à l’afflux sanguin vers le cœur, mais aussi vers les yeux. Si négligé, ce trouble peut mener à une perte de vision, voire à l’aveuglement total.

Ceci s’explique par le fait qu’une constriction survient, les parois des vaisseaux durcissent et cèdent parfois sous la pression trop soutenue qui y pèse.

En plus de pouvoir être diminuée ou complètement perdue en raison d’un trouble des vaisseaux sanguins, la vision peut aussi être affectée par un problème au nerf optique.

En effet, l’hypertension peut aussi causer l’enflure du nerf qui, à son tour, cause des troubles de vision.

Donc pour s’aider à garder une bonne vision, il faut aussi apprendre à garder son calme!

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Le stress et le pouvoir de la pensée pourraient nuire à votre santé

Le cercle vicieux du stress peut s’avérer dommageable pour votre santé, c’est bien connu, mais la force de votre pensée peut aussi boucler la boucle de ce cycle fatal.

En effet, selon des statistiques démontrées par la NHS en Angleterre, ici rapportées par le Daily Mail (UK), la perception du stress et de ses impacts sur notre santé pourrait être suffisante pour nous causer du tort.

Donc, une personne qui se dit stressée, tendue, et qui croit fermement que cet état d’esprit va lui causer des problèmes de santé fait bondir ses chances de crise cardiaque, par exemple, de 50 %…

Un autre bel exemple du pouvoir de la pensée, donc, énoncé dans cette recherche britannique qui fait état, pour l’une des premières fois, d’un véritable lien entre la pensée humaine et un effet réel sur l’organisme.

Cette cause à effet a été avancée à la suite de recherches effectuées sur 7000 patients, et ce, sur une période de 18 ans.

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Le poids idéal, selon Jean-Michel Cohen

Le Dr Jean-Michel Cohen s’avère être un personnage qui détonne un peu en comparaison des autres nutritionnistes et auteurs.

C’est que le sympathique spécialiste n’hésite pas à personnaliser le concept de « poids santé » et déconseille vivement aux personnes qui désirent perdre du poids de se fixer des objectifs trop éloignés de leurs caractéristiques physiques.

Cette fois, c’est le Telegraph (UK) qui le cite en rapportant certains propos de l’auteur, à commencer par ceux qui traitent de la génétique.

Cette génétique qui, très souvent, trace des inévitabilités pour chaque individu. Des caractéristiques qui risquent de rendre une personne fort malheureuse si cette dernière se fixe des objectifs basés sur la génétique de quelqu’un d’autre.

Spécialement si l’on se fie à une image renvoyée par les médias ou les magazines, croit Cohen, qui lance le conseil suivant : « Ne soyez pas trop durs envers vous-même ». Le poids idéal d’une personne serait celui observé à son plus mince, sans régime.

Il explique d’abord l’importance de cesser de trop culpabiliser, mais de compenser. Par exemple, si vous faites un écart de conduite alimentaire aujourd’hui, cessez de vous culpabiliser et soyez plutôt vigilant le lendemain.

Il suggère également que l’alcool, surtout le vin,  n’est pas un ennemi mortel lorsque consommé avec modération, et que plus vous achetez de légumes lors de votre marché, plus vous pourrez manger sans gêne.

Il termine en conseillant d’éviter le stress à table et d’apprécier chaque repas!

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20 minutes de yoga pour un cerveau optimal

Top Santé rapporte de nouvelles données concernant l’impact du yoga sur l’organisme, plus particulièrement sur l’activité cérébrale.

Ces données proviennent d’une récente étude sur le sujet publiée par des chercheurs de l’Université de l’Illinois. Elle fait état des bienfaits notables du yoga sur le cerveau.

« Le yoga est une science indienne ancienne et un mode de vie à part entière qui incluent non seulement les mouvements et postures, mais aussi une technique de respiration et de méditation. Sa pratique implique d’être en pleine conscience », résume Neha Gothe, professeure et spécialiste en médecine sportive.

C’est en se basant sur ces caractéristiques propres à cette discipline que les chercheurs ont évalué les impacts de celle-ci sur les activités cérébrales et la santé mentale de 30 étudiantes.

On a ensuite comparé les résultats observables lors de tests subséquents à ceux obtenus à la suite d’exercices de cardio (comme le tapis roulant).

Résultat? Les étudiantes ont démontré une plus grande rapidité d’exécution cognitive et cérébrale, en plus d’un temps de réponse accru, après avoir effectué 20 minutes de yoga qu’après un exercice cardiovasculaire.

Une mémoire améliorée, une meilleure humeur et une baisse significative de stress ont également été observées!

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Des souvenirs préfabriqués par le cerveau en réaction au stress

Vous avez un souvenir bien précis d’un événement passé et vous pensez avoir conservé une image vive de celui-ci? Pensez encore.

Selon Top Santé, le cerveau humain serait capable de créer des souvenirs fabriqués de toutes pièces ou préfabriqués afin de composer avec différentes situations, dont celles de stress et d’anxiété.

Les chercheurs en provenance des Pays-Bas en tête de cette étude donnent l’exemple des soldats qui ont vu la guerre de près, et qui voient parfois leurs souvenirs se transformer ou encore s’effacer.

Même chose pour nos souvenirs d’enfance, surtout pour ceux qui ont vécu des traumatismes, des sévices ou encore des périodes d’anxiété chronique.

Les tests, dont les résultats ont été publiés dans l’édition de mai de l’European Journal of Psychotraumatology, ont été effectués sur 250 soldats de retour de la guerre (Afghanistan).

Après plusieurs tests et questionnaires, près du tiers des soldats se souvenaient d’événements qui ne s’étaient jamais produits, confirmant en partie la théorie initiale des chercheurs.

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Quand le stress ramène aux bonnes habitudes

Santé Log rapporte une nouvelle étude sur le stress qui dévoile des informations pertinentes concernant la gestion du stress et des habitudes qui en découlent.

On apprend que le fait d’être stressé ne mène pas toujours à de vilaines habitudes, mais parfois aussi à de bonnes. Encore faut-il en avoir déjà eu, explique notamment Wendy Bois, qui dirige l’étude en compagnie de David Neal.

Selon ces chercheurs, qui ont analysé les cas de plusieurs sujets au cours de cette étude, l’humain aurait tendance à se cacher derrière les habitudes du passé en situation accrue de stress.

Ainsi, quelqu’un qui a un passé de mauvaise alimentation pourrait se remettre à manger de façon malsaine, mais un ancien sportif pourrait tout aussi bien se remettre à la course…

Les chercheurs croient donc, en conclusion, que la meilleure arme en gestion de stress ne serait pas tant de tenter de contrôler cette émotion, mais plutôt de voir à ce que les habitudes adoptées soient bonnes pour la santé.

Lorsque vous êtes trop fatigué pour expérimenter de nouvelles méthodes, la prochaine situation stressante vous donnerait donc l’envie de reprendre d’anciennes habitudes. D’en adopter de nouvelles pourrait donc être bénéfique pour l’avenir!

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Les jolies femmes seraient plus fertiles et moins stressées

Difficile de parler de stéréotype lorsque l’information provient d’une étude scientifique, et pourtant, le sujet de celle-ci a de quoi surprendre.

C’est le Daily Mail (UK) qui rapporte les conclusions issues d’une étude traitant d’un possible lien entre la beauté physique d’une femme et sa fertilité, ainsi que son niveau de stress moyen.

Ainsi, on apprend qu’une femme plus jolie que la moyenne serait moins anxieuse et susceptible d’être stressée, en plus de bénéficier d’une fertilité plus accrue!

Cependant, à l’inverse des hommes, la beauté féminine ne serait pas gage d’un système immunitaire plus fort, toujours selon les chercheurs en tête de l’étude.

On peut également associer les deux faits ensemble, puisque le stress trop important nuirait à la fertilité chez la femme. On peut donc dire que la beauté engendre moins de stress, ce qui favorise conséquemment la procréation.

D’autres recherches sur le sujet sont à prévoir, mais il semble que les liens proposés ici soient bien réels. La beauté ne serait donc pas toujours que superficielle, semble-t-il.

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Comment gérer l’anxiété prénatale sévère

En effet, selon Today’s Parent, l’anxiété prénatale doit être prise en charge au même titre qu’une dépression qui suit la naissance de l’enfant.

Si plutôt que de ressentir la joie d’être enceinte, vous multipliez les scénarios catastrophes, parlez-en à votre médecin. Une femme portée sur l’anxiété peut effectivement réagir très négativement à l’annonce d’une grossesse, sans être en mesure de gérer ses émotions.

Celles-ci se transformeront rapidement en cercle vicieux. Est-ce que je saurai m’occuper d’un enfant? Est-ce que mon mariage en souffrira? Et si jamais il était handicapé ou qu’il m’arrivait quelque chose pendant la grossesse et que mon conjoint doive s’occuper seul de l’enfant…

Vous vous sentez concernée? Il n’y a aucune honte à avoir. Mais vous devez être recommandée à un spécialiste rapidement afin de vous aider à traverser cette période, dès que les symptômes de votre anxiété deviennent physiques. Ils vont du trouble du sommeil au sentiment de resserrement de la poitrine ou à des palpitations cardiaques.

Il arrive que l’intensité des symptômes nécessite un traitement médical, mais dans la plupart des cas, rassurez-vous, un bon thérapeute sera suffisant. Parler de ce qui nous inquiète avec un spécialiste est d’une aide précieuse. Celui-ci pourra également vous conseiller une thérapie cognitive complémentaire, notamment en yoga ou en méditation.

Ceci étant dit, si vous vivez déjà avec des troubles anxieux, soyez prévoyante. Si vous désirez des enfants, faites part de votre crainte à votre médecin.

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Les problèmes psychologiques liés au travail sont encore sous-estimés

Quiconque aura travaillé dans un bureau ou dans un emploi dit « traditionnel » saura de quoi traite ce nouveau rapport, paru en France, qui s’applique à presque toutes les régions du monde.

Selon les informations rapportées par Top Santé, un rapport déposé le 14 mai dernier fait étant d’une situation alarmante en matière de stress au travail et des troubles psychologiques qui en découlent.

Le véritable problème, et tout le monde sera d’accord avec cette affirmation, se situe surtout dans l’attitude des dirigeants et des employés des firmes et bureaux de ce monde, qui sous-estiment souvent et grandement les impacts psychologiques liés au travail.

Performance, argent, trimestre, date de tombée, bref, une panoplie de facteurs et de mots-clés font passer l’institution avant l’humain. Une façon de faire décriée dans ce rapport proposé par le Conseil économique et social français.

« L’impact des troubles psychosociaux sur notre compétitivité économique est encore largement sous-estimé. L’absentéisme, le renouvellement de personnel, les formes les plus diverses de désengagement ont pourtant un coût élevé pour les entreprises. Nous formulons donc le vœu que cet avis permette aux acteurs économiques et sociaux de mieux appréhender et prévenir les risques psychosociaux, en s’inscrivant dans une démarche de progrès et en remettant en question le sens même du travail dans notre société », résume Sylvie Brunet, qui s’occupe du dépôt du rapport.

Heureusement, quelques entrepreneurs visionnaires savent maintenant donner plus de liberté et faire confiance à leurs employés, mais il s’agit d’un phénomène encore trop rare.

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Compenser le stress professionnel par de saines habitudes de vie

Le stress dû aux activités professionnelles est l’un des importants facteurs de risque dans le développement de troubles cardiovasculaires et d’AVC, mais il semble qu’il soit au moins possible de changer la donne grâce à de bonnes habitudes de vie.

C’est le constat optimiste que propose une étude, rapportée ici par The National Library of Medicine, alors que des chercheurs croient maintenant dur comme fer que les gens stressés par leur travail et ce qui l’entoure peuvent réduire les risques de crise cardiaque en adoptant des habitudes saines.

Cesser de fumer, de boire et de trop manger sont les trois premiers gestes à adopter, puisque ces facteurs de risque se décuplent lorsque mêlés au stress professionnel.

Publiées dans l’édition du 13 mai du Canadian Medical Association Journal, ces conclusions ont été tirées à la suite de l’analyse de données recueillies auprès de plus de 100 000 patients un peu partout dans le monde.

Pour les chercheurs en tête de l’étude, il ne fait aucun doute que les gens stressés par leur emploi ou leurs activités professionnelles ont leur mot à dire dans le développement ou non d’éventuels problèmes cardiaques.