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Faire baisser les risques d’accidents cardiaques grâce aux animaux de compagnie

Amateurs d’animaux de compagnie, le fait de posséder un compagnon poilu pourrait bien avoir une incidence positive sur votre santé sans que vous le sachiez.

C’est que The National Library of Medicine rapporte une étude fort intéressante qui laisse croire que la présence d’un animal de compagnie dans une demeure peut faire baisser les risques de problèmes cardiovasculaires éventuels chez son propriétaire.

Publiées par l’American Heart Association, ces conclusions font également état d’une meilleure santé globale chez les propriétaires d’animaux de compagnie, qui afficheraient en moyenne des taux d’obésité, de mauvais cholestérol et de pression sanguine moins élevés.

« Posséder un animal, plus particulièrement un chien, est probablement associé avec une diminution des risques de maladies du cœur », lance le professeur Glenn N. Levine, de Houston.

On comprend donc que cette mention du chien fait référence au fait que le propriétaire d’un canidé doit le promener, et donc faire une certaine activité physique.

On parle également d’une réduction du stress et de l’anxiété, des facteurs de risque importants, chez tous les propriétaires d’animaux.

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Signes précurseurs de maladie mentale chez l’enfant

Puisque du 5 au 11 mai, c’est la Semaine de la santé mentale des enfants, la RBC souhaite communiquer certaines informations cruciales pour les parents. Via son Projet Santé mentale des enfants RBC, voici des comportements sur lesquels on devrait porter attention :

1- Un enfant dont l’humeur et/ou le comportement changent constamment, particulièrement si l’humeur tend toujours vers la tristesse, et que l’enfant fait subir ses instabilités comportementales aux autres. Si sa façon d’agir est inhabituelle, observez-le de plus près.

2- Les enfants comme les adultes vivent des périodes de stress et d’inquiétude. Mais lorsque celles-ci sont trop fréquentes, surtout en ce qui a trait à l’anxiété, et qu’elles perdurent, il faut se poser des questions.

3- Les résultats scolaires peuvent fluctuer au courant de l’année. Mais s’ils chutent soudainement sans raison, il y a lieu de s’inquiéter. La difficulté de concentration peut être à l’origine du problème.

4- Des montagnes russes d’émotions sont également un signe précurseur de troubles mentaux. Lorsqu’elles sont incontrôlables, que la colère et la peur sont exprimées de façon exagérée, et ce, sans raison, ce n’est pas normal.

Sachez que lors du sondage effectué par la RBC, pour près du tiers des répondants, il y avait au moins un enfant atteint de maladie mentale dans leur entourage familial.

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Les bienfaits associés au temps passé loin de nos enfants

Premièrement, la psychologue pour enfants Stephanie Mihalas, qui travaille au Center for Well Being de Los Angeles, confirme que cette pratique est essentielle. Vous devez consacrer du temps à votre couple, à vous-même en tant que parent, puis à votre enfant, puisqu’il s’agit d’une étape de développement social essentielle.

Les bienfaits pour votre enfant

Il va de soi que vous risquez la crise de larmes les premières fois où vous quitterez la maison en le laissant au soin d’un autre adulte. Mais bientôt, il comprendra que lorsque vous partez, vous l’aimez encore et que vous revenez toujours. « Ils ne comprennent pas le principe et bien souvent, ils ne sont que le miroir de l’anxiété du parent », affirme la Dre Mihalas.

Sachez qu’éventuellement, ces courtes séparations, surtout vers l’âge de 3 ou 4 ans, donneront un sentiment d’indépendance à votre enfant. Il aimera vous raconter ce qu’il a fait pendant votre absence.

Les avantages pour vous

Il ne s’agit pas seulement d’une fiction. Le temps passé dans une soirée en compagnie d’amis et d’autres parents, loin de la routine avec votre enfant, vous permettra d’être moins irritable et d’apprécier vos journées.

Il est prouvé, rapporte Parenting Squad, que pendant des moments agréables du genre, votre corps libère des ocytocines. Il s’agit d’une hormone naturelle qui diminue l’anxiété et le stress. Cela vaut donc la peine d’essayer!

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Une mèche de cheveux qui en dit long sur votre santé cardiaque

Une simple mèche de cheveux permettrait aux spécialistes de déterminer la santé et l’avenir cardiaques d’un individu, rapporte Santé Log.

C’est du moins ce que révèle une étude surprenante sur le sujet, effectuée par des chercheurs de l’Institut Médical Erasmus de Rotterdam.

Publiée par Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, l’étude propose une nouvelle solution simple pour prévenir, ou prédire, d’éventuels incidents cardiaques et possiblement sauver des vies.

Ainsi, en prélevant aussi peu que trois centimètres de cheveux, soit une simple mèche, les chercheurs ont pu établir, chez les sujets de l’étude, le niveau de stress et de santé cardiovasculaire, et conséquemment prédire les risques d’ACV ou de problèmes cardiaques éventuels.

C’est la cortisone, qui serait facilement analysable dans le cheveu humain, qui permet de définir l’état du cœur chez l’humain et d’observer si un individu sera affecté par le stress de sa vie quotidienne, ou par d’autres facteurs de risque.

« Les cheveux capturent des informations sur l’évolution des niveaux de cortisol au fil du temps, et leur analyse nous donne un nouvel outil d’évaluation », résume la Dre Laura Manenschijn.

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La gloire pourrait augmenter les risques de mourir prématurément

Une étude originale se penche sur un dossier intéressant, celui de la célébrité et de ses impacts sur la santé des individus qui en font l’expérience.

Des chercheurs canadiens, qui dirigent l’étude ici rapportée par Santé Log, ont cherché à comprendre les conséquences de la gloire sur la santé et la longévité, en plus de trouver des pistes d’explication à plusieurs décès de stars au fil de l’histoire.

On n’a d’abord qu’à penser à Amy Winehouse, plus récemment, et Jimi Hendrix ou Kurt Cobain, tous membres de l’illustre club des 27 (ils sont tous morts à 27 ans, et la liste est longue).

On parle d’abord de « comportements à risque », du côté des chercheurs, notamment une mauvaise hygiène de vie et alimentaire ainsi que l’usage d’alcool, de tabac et de drogues diverses. On croit qu’il est possible d’associer ces comportements à une mauvaise gestion du stress face à une pression souvent trop forte.

Les sportifs semblent eux aussi mourir plus jeunes, en moyenne, que les politiciens ou les hommes d’affaires, explique-t-on.

Finalement, l’étude semble corroborer une précédente recherche qui abondait dans le même sens, en concluant que le stress, la pression et de mauvaises habitudes de vie sont responsables de la plupart des décès prématurés dans l’industrie du spectacle.

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Le stress excessif durant la grossesse est lié à des problèmes d’humeur chez les enfants

Selon les chercheurs, cette enzyme, appelée 11ß-HSD2, protègerait normalement le foetus du stress vécu par la mère en neutralisant le cortisol, aussi appelée « l’hormone du stress ».

Pour tester leur hypothèse, ils ont modifié la génétique de souris qui ne possédaient plus cette enzyme protectrice. Les bébés nés de ces souris ont eu une croissance réduite et ont développé des troubles de l’humeur à l’âge adulte.

Les chercheurs, qui poursuivent leur recherche et espèrent bientôt effectuer des tests sur des humains, souhaitent que les professionnels de la santé tirent des leçons de ces données.

En effet, les bébés exposés à un environnement difficile, que ce soit la maltraitance, la malnutrition, le deuil, etc., seront plus à risque de développer des problèmes de l’humeur tels que la dépression, et ces enfants devraient être suivis et aidés si ces problèmes se développent, selon Science Daily.

Les résultats ont été présentés lors du récent congrès de la British Neuroscience Association.

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Dépensez-vous trop d’énergie à vous en faire pour rien?

PsychCentral dévoile des passages forts intéressants de deux livres qui traitent d’un sujet qui semblera sans doute familier pour plusieurs personnes.

On aborde dans ces publications le phénomène de « s’en faire pour rien », un mal psychologique qui touche beaucoup plus de gens qu’on croit.

Le problème, c’est que ce comportement engendre des hausses de stress, des sentiments d’angoisse et d’anxiété, en plus de faire en sorte que le cerveau et l’organisme travaillent beaucoup trop, et constamment.

On suggère premièrement d’éliminer tous les « et si », c’est-à-dire d’arrêter de s’inquiéter de choses qui ne se sont pas produites ou qui ne se produiront probablement jamais. « Ais-je barré la porte… », « Et si elle se fâchait… » ou encore « Qu’arrive-t-il si… » sont des exemples révélateurs utilisés par les auteurs.

Décrivant quatre cycles précis qui définissent ce comportement, les auteurs croient qu’il est possible de traiter cette habitude à force de volonté, de concentration et d’exercices de confiance personnelle.

On vous invite à consulter l’article complet, qui dévoile encore plus de détails sur ce « syndrome » et qui propose plusieurs solutions et analyses.

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Encore de bonnes notes pour le propranolol

On vous parlait récemment du propranolol, un nouveau traitement prometteur contre le syndrome post-traumatique, dont souffrent notamment les soldats en guerre de retour au pays.

Santé Log rapporte maintenant que les nouveaux tests concernant le propranolol sont concluants, ce qui laisse présager une possible amélioration des patients qui souffrent de ce problème mental lourd.

Le traitement fonctionne de façon à bloquer les réactions et émotions de peur lorsque le cerveau est confronté à un souvenir traumatique, et permet ainsi de réduire grandement l’anxiété et les autres symptômes invalidants.

On est maintenant aux essais cliniques, qui sont avancés, et les résultats sont concluants. Le propranolol est de plus en plus vanté, spécialement lorsqu’il est utilisé dans un contexte de thérapie psychologique.

Certains patients ont même vu tous leurs symptômes disparaitre complètement lorsque le propranolol a été jumelé à une thérapie efficace.

Les spécialistes ont bon espoir de voir le traitement passer les prochaines étapes et devenir un moyen efficace d’enrayer ce trouble émotionnel grave.

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Nouvel espoir de traitement du syndrome post-traumatique

Le syndrome post-traumatique et ses dérivés font l’objet de beaucoup d’études et de recherches, alors que de plus en de plus gens souffrent de ce problème psychologique.

Voilà qu’un nouveau traitement pourrait être accessible, rapporte Top Santé. Il s’agit d’un médicament qui chasserait les mauvais souvenirs, une solution qui semble trop facile, mais qui s’avère bien réelle.

Ce sont des chercheurs du laboratoire de stress traumatique basé à Toulouse qui ont développé la « pilule magique », qui doit maintenant entamer une phase d’essais cliniques plus poussés.

Le traitement a déjà été testé sur des patients, notamment dans plusieurs grandes villes du monde comme Boston, Montréal et, bien sûr, Toulouse.

« Avec une séance de traitement au propranolol, on avait montré une diminution de la réactivité physiologique aux souvenirs (transpiration, activité cardiaque…). C’était une première piste, un coup de génie », s’enorgueillit Philippe Birmes, directeur du laboratoire de Toulouse.

On attend avec impatience la suite des choses concernant le propranolol, qui promet une « guérison » en six séances seulement!

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L’anxiété affaiblit aussi le système immunitaire

L’anxiété n’a pas que des répercussions sur la santé psychologique, mais aussi physique. C’est ce qui ressort de cette étude américaine, rapportée par Top Santé, qui parle des dangers entourant une anxiété chronique.

Les angoissés quotidiens sont sujets à contracter diverses maladies et certains virus plus que les autres, signale l’étude, puisque le stress affaiblirait le système immunitaire.

Les chercheurs de l’Université d’Ohio expliquent le phénomène par une hausse de la protéine C, caractéristique de l’inflammation. Cette dernière rend le corps plus fragile et vulnérable aux nombreuses maladies.

Deux groupes de femmes ont été formés pour cette recherche, et chacun des groupes devait simuler un entretien d’embauche. Le premier pouvait ensuite se détendre en pensant à des choses « neutres », alors que le deuxième devait revivre l’expérience et se questionner.

Le deuxième groupe a aussitôt enregistré des hausses de la protéine C.

Les chercheurs rappellent donc l’importance d’être calme et de se libérer de l’emprise du stress quotidien et de l’angoisse, car il s’agit d’émotions qui empoisonnent l’organisme.