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Un nouveau traitement contre le syndrome post-traumatique pourrait voir le jour

Santé Log rapporte une excellente nouvelle dans le dossier du syndrome post-traumatique, qui commence enfin à jouir de la visibilité médiatique qu’il mérite.

En effet, il s’agit d’un véritable fléau pour une panoplie de gens, les plus connus étant bien sûr les soldats de retour d’Afghanistan et d’Irak, les deux dernières guerres auxquelles ont participé le Canada et les États-Unis.

Depuis le retour des premiers soldats, on constate que presque tous les combattants se retrouvent aux prises avec des problèmes reliés au syndrome post-traumatique, à grande ou à moindre échelle.

Il est donc primordial de sensibiliser les gens à la cause et de trouver des traitements adéquats. On parle justement ici de la rapamycine, un médicament, et de ses effets bienfaiteurs sur l’organisme grâce à une réduction du stress et de la peur.

Agissant par l’inhibition de certaines protéines, le traitement permet de constater des résultats prometteurs. C’est ce que croient les chercheurs de l’Université McGill, qui publient leurs résultats dans l’édition du mois de mars des Actes de l’Académie des Sciences américaine (PNAS).

Le professeur Karim Nader et son équipe ont bel et bien confirmé les effets de la rapamycine. Ils croient qu’une porte vient de s’ouvrir sur de meilleurs traitements contre le syndrome post-traumatique.

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L’exercice protège les enfants contre le stress

Des chercheurs finlandais ont évalué 252 enfants de 8 ans, qui ont porté des bracelets conçus pour mesurer leur niveau d’activité physique.

Leur salive a été prélevée pour y déceler le niveau de cortisol, une hormone associée au stress lorsqu’elle est produite en grande quantité. Les enfants ont ensuite dû effectuer des calculs arithmétiques et raconter des histoires, pour les exposer au stress.

Les enfants ont été séparés en trois groupes : les plus actifs, ceux dont l’activité physique était intermédiaire, et les moins actifs.

Les enfants les plus actifs réagissaient le moins aux situations stressantes, tandis que les moins actifs avaient des pics de cortisol, qui indiquent qu’ils réagissaient moins bien au stress.

« Nos données suggèrent que l’activité physique joue un rôle dans la santé mentale, en protégeant les enfants contre les effets d’événements stressants tels que s’exprimer en public », a expliqué l’auteure de l’étude, Silja Martikainen, qui est chercheuse à l’Université d’Helsinki, selon Science Daily.

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Gestion de stress difficile chez les enfants

De nos jours, les facteurs de stress sont multiples pour les enfants, surtout depuis que les deux parents travaillent. Dès qu’ils ouvrent l’œil, on leur dit de « faire vite », de « se dépêcher », puis le rythme se poursuit jusqu’au coucher.

À travers des journées bien remplies, les enfants ont souvent des activités à l’extérieur de l’école, en plus des devoirs. D’autre part, il arrive de plus en plus fréquemment qu’ils jonglent entre leurs deux parents, ceux-ci étant séparés.

Sachez reconnaître les signes du stress. Un repli sur soi-même, une sensibilité ou irritabilité inhabituelle, un comportement rebelle, une baisse des notes scolaires, etc. Plusieurs facteurs doivent être considérés, même si cela peut vous sembler de moindre importance.

Entre autres, l’environnement affectif compte beaucoup pour l’enfant. S’il est laissé de côté, sans écoute, il sera moins à même de faire face aux situations stressantes.

La nouveauté est également une source de stress souvent ignorée. Pour certains jeunes, même le plus petit changement peut être déstabilisant. Observez bien ses réactions pour apprendre à mieux le connaître.

Pensez à la pression que vous ressentez personnellement au quotidien. Imaginez-vous que votre enfant ressent également la pression scolaire et parentale, cette espèce d’aura de performance à tout prix. Soutenez-le et encouragez-le à faire de son mieux, mais sachez évaluer ses limites, car certains jeunes peuvent rapidement sombrer dans la déprime s’ils sentent qu’ils sont un échec pour leurs parents.

 

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Le stress vécu par les nouveau-nés affecte leur coeur

Le cœur de ces bébés souris a en effet souffert lorsqu’ils ont été séparés de leurs mères, et qu’ils ont reçu un agent qui fait monter la pression artérielle.

Leur muscle cardiaque perdait de sa capacité à se détendre puis à se remplir à nouveau de sang bien oxygéné. Cette diminution de capacité s’est toutefois stabilisée lorsque les souris ont atteint environ 6 mois, ce qui correspond à leur âge mûr.

« Nous croyons que ces bébés malades sont probablement à risque de développer plus tard des maladies cardiovasculaires, et nous souhaitons travailler pour mieux comprendre ce qui les expose à ce risque, » a expliqué l’auteure de cette étude préliminaire, la néonatalogiste américaine Dre Catalina Bazacliu.

Selon Science Daily, des études précédentes ont déjà prouvé que le stress en début de vie pouvait mener à des problèmes de santé plus tard.

Par exemple, des bébés nés durant une famine coïncidant à la 2e Guerre mondiale aux Pays-Bas se sont révélés beaucoup plus susceptibles de souffrir de maladies cardiaques, de diabète et d’obésité.

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Le clignement des yeux, inutile ? Pas si vous êtes stressé.

S’il existe un geste corporel aux allures banales, c’est bien le clignement des yeux. On savait que ce réflexe avait pour but d’humecter les yeux adéquatement, mais aucune autre vertu n’était associée à ce battement de paupières.

Inutile alors, médicalement parlant, de cligner des yeux? Pas si vous êtes stressé, lancent des chercheurs japonais en publiant une étude sur le sujet, rapportée par Top Santé.

Pour ces chercheurs, le clignement de vos yeux serait aussi un efficace moyen de contrer le stress, puisqu’il permet au cerveau de se « reposer » pendant un instant, aussi minime cet instant soit-il.

On décrit le phénomène comme un « mode veille », similaire à celui de votre ordinateur à la maison. Cette fraction de seconde de repos permettrait au cerveau de reprendre ses esprits, et ainsi d’agir plus efficacement.

Conséquemment, les chercheurs remarquent qu’une personne en pleine action, ou occupée à une tâche clignera moins des yeux que celle qui se retrouve inactive, oisive.

Bien que cela ne soit pas la découverte de l’année, elle permet de comprendre un peu mieux les fonctionnalités de « veille », ou de pause, du cerveau humain.

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Une mauvaise réponse au stress pourrait contribuer à l’obésité chez les enfants

L’étude américaine a porté sur 43 enfants âgés de 5 à 9 ans ainsi que sur leurs parents. Pour tenter d’évaluer la réaction des enfants à un élément de stress, les chercheurs ont fait passer un test consistant en 5 minutes d’anticipation, suivi par 10 minutes de stress.

Durant la période de stress, les enfants devaient prononcer un discours et accomplir une tâche mathématique. Le stress des enfants a été mesuré à travers le niveau de cortisol contenu dans leur salive, prélevée avant et après le test.

De plus, les chercheurs ont mesuré la consommation de nourriture de ces enfants, en leur demandant d’évaluer leur niveau de faim, puis en les laissant choisir parmi 10 sortes de grignotines. En moyenne, les enfants ont mangé 250 calories, même s’ils avaient dit n’avoir pas très faim. Certains n’ont mangé que 20 calories, alors que d’autres en ont avalé 700.

Les enfants qui avaient produit plus de cortisol avaient un indice de masse corporel beaucoup plus élevé et ont mangé beaucoup plus que les autres, même sans avoir faim. C’était aussi le cas des enfants dont le taux de stress était resté élevé, donc qui avaient du mal à récupérer, selon EurekAlert!.

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Le stress au boulot n’augmenterait pas les risques de cancer

C’est une nouvelle étonnante que nous rapporte The National Library of Medicine, alors que l’on apprend que le stress au travail n’augmenterait pas nécessairement les risques de développer un cancer.

Par contre, le stress peut agir sur un individu d’une telle façon qu’il peut le porter à poser des gestes ou à développer des comportements qui peuvent le mener vers la maladie.

On pense notamment aux abus de nourriture et d’alcool, ou encore à divers autres comportements, mais l’étude rapportée ici laisse croire que le stress en tant que tel n’est pas un facteur en soi.

« Nous savons déjà par d’autres études que le stress au travail n’est pas vraiment un facteur de risque de cancer. Même si réduire ce stress permet une amélioration de la santé mentale et physique, cela n’a pas d’impact sur le cancer à proprement parler », résume Katriina Heikkila, chercheuse en chef duFinnish Institute of Occupational Health d’Helsinki.

Ses collègues et elle croient néanmoins qu’il est important de parler du problème du stress chez les individus et de tenter de le réduire au maximum.

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Les 18-34 ans sont les plus stressés

On apprend via The National Library of Medicine que les jeunes adultes forment la génération la plus stressée en ce moment.

En effet, selon le site de l’association, les 18-34 ans seraient plus stressés que la moyenne générale de la population. C’est un rapport de l’American Psychological Associationqui prétend ce fait, un rapport qui tente aussi d’en expliquer les raisons.

D’abord, il semble que la course capitaliste incessante soit la toute première raison de ces pointes de stress, puisque l’argent et l’emploi semblent être au cœur des priorités de cette génération.

« Manifestement, il y a un nombre de facteurs de pression auxquels les jeunes font face et qui explique ces pointes de stress. Ces individus grandissent dans une ère économique sans précédent. Cela coïncide avec la fin de leurs études, alors qu’ils essaient de s’établir dans la société. Trouver un emploi, fonder une famille et rembourser les dettes étudiantes contractées sont des éléments stressants. Ils ont aussi du mal à se trouver des emplois, avec des taux de chômage sans précédent », résume avec brio Norman Anderson, chef de la direction de l’American Psychological Association.

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Adele plus zen depuis la naissance de son fils

Adele a expliqué aux journalistes le weekend dernier qu’elle est beaucoup plus zen maintenant qu’avant la naissance de son fils, rapporte notamment People.

Pour elle, il est clair que la venue de son petit garçon l’a rendue moins stressée que d’habitude, et cela fait son affaire. Elle parle de priorités mieux placées lors de l’arrivée d’un enfant dans le portrait.

« Je n’ai pas été très stressée récemment. Dans la vie, lorsque vous avez un enfant, vous devez savoir ce qui vous stresse et ce qui vous inquiète », explique la chanteuse.

Poursuivant sur le même sujet, elle avoue également passer plus de temps à chanter des chansons pour enfants que ses propres succès ces temps-ci.

« J’ai assisté à plusieurs rencontres et je ne suis plus vraiment dans le coup. Je chante plutôt des passages de chansons pour enfants ces temps-ci, alors je ne sais pas vraiment ce qui est cool et ce qui ne l’est pas », avoue l’interprète de Skyfall.

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Pratiquer plus d’un sport réduirait le risque de blessure

Une nouvelle étude sportive prétend que ceux qui pratiquent plusieurs types d’activités physiques sont moins enclins à se blesser que les autres, rapporte Top Santé.

C’est ce qui ressort des analyses effectuées par les chercheurs de l’Université Loyola, qui suivaient 891 jeunes sportifs. Du lot, on dénombre 124 joueurs de tennis, un sport pour lequel la théorie semble davantage s’appliquer.

Ainsi, les sportifs, et particulièrement les joueurs de tennis, qui se laissaient aller à d’autres sports pour le plaisir de le faire affichaient des taux de blessures beaucoup moins élevés.

« Avoir plus de temps de jeu libre protègerait les joueurs du risque de blessure. Ils jouent autant que les autres, mais leur nombre d’heures d’entrainement est partagé différemment », résume Neeru Jayanthi, médecin sportif.

Outre le fait que pratiquer plusieurs sports permet de solliciter tous ses muscles et organes, et non pas seulement quelques-uns en répétition, ce qui cause des blessures, on note aussi l’importance du mot « plaisir » dans cette étude.

Pratiquer un sport pour le plaisir de le faire permet de faire baisser le niveau de stress et de pression, ce qui a un excellent effet sur l’organisme et permet de prévenir certains types de blessures.