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Serrer son nouveau-né pour renverser les effets de stress prénatal

Cependant, si l’on se fie à une étude menée dans les universités de Liverpool et au King’s College à Londres, une solution simple et efficace a des effets positifs remarquables.

Selon eurekalert.org, les mères qui caressent ou frottent le corps de leur nouveau-né dans les premières semaines de vie renversent le processus de stress vécu pendant la grossesse. Donc, par exemple, en caressant la tête, le dos ou les bras du nouveau-né, les cellules associées enregistrent l’information et diminuent ou éliminent le sentiment de peur ou d’agressivité.

Des chercheurs du monde entier ont déjà fait état des conséquences postnatales du stress pendant la grossesse chez l’enfant. Or, cette nouvelle étude s’est attardée sur la solution à ce problème.

D’ordinaire, les enfants développent un comportement d’agressivité, d’instabilité émotionnelle ou de peur à la suite d’une grossesse où la mère vit un stress en permanence ou une dépression. La solution présentée jouerait donc directement sur le mécanisme émotionnel de l’enfant.

La Dre Helen Sharp, de l’University of Liverpool’s Institute of Psychology, Health and Society, explique : « Nous poursuivons notre étude sur le développement continu de l’enfant, à la suite des gestes de réconfort et d’affection prodigués par la mère. Nous voulons être certains que les effets ne s’estompent pas avec le temps ».

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Les femmes et le stress

En effet, Santelog.com rapporte que des chercheurs ont réussi à démontrer clairement ce phénomène, et même à en déterminer les raisons. Lorsqu’on dit que les femmes sont plus « émotives », il s’agit là d’un stéréotype facile, mais expliquer les raisons de ce jugement s’avère plus complexe.

Les spécialistes croient qu’une partie de la réponse se trouve dans l’évolution. Les femmes auraient plus tendance à ressentir du stress lorsqu’on attaque ou met en péril l’intégrité physique ou psychologique de sa famille, surtout de ses enfants. L’instinct de mère, évoluant au fil des générations, devient un principal facteur de réaction chez la femme.

L’homme, lui, serait plus enclin à réagir au stress devant des situations qui menacent son propre bien-être. Une réaction beaucoup plus égoïste, mais bien réelle.

De plus, les chercheurs pointent du doigt l’ère numérique et d’informations rapides dans laquelle on vit. Être bombardé de nouvelles, souvent pessimistes et négatives, placerait la femme moderne dans un état de stress plus élevé que l’homme.

En contrepartie, la femme qui voit son taux de cortisol augmenter (réaction du corps en période de stress) voit aussi sa mémoire s’activer davantage et retenir plus d’informations que l’homme.

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Trucs pour éviter de manger ses émotions

Le phénomène qui implique de « manger ses émotions », ou stress eating, est de plus en plus répandu.

D’abord parce que le stress est omniprésent dans notre style de vie moderne, tout comme la nourriture, et pas toujours la bonne.

Lanutrition.fr rapporte les propos de Susan Albers, une psychologue américaine qui tente d’aider les femmes (plus touchées par ce phénomène) à contrer les troubles alimentaires liés au stress et aux émotions.

D’abord, elle suggère d’éviter d’embouteiller ses émotions. Il faut les affronter, les avouer et les évacuer. Écrire ce que l’on ressent sur papier s’avère un excellent truc, selon la psychologue.

Ensuite, prenez le temps de cerner les niveaux d’intensité de vos émotions et de réfléchir à comment vous pourriez les ramener à un niveau inférieur. Par exemple, elle suggère d’utiliser une échelle de 0 à 20. Situez votre émotion (exemple : 17/20), puis réfléchissez à comment il serait possible de la ramener à 10.

En terminant, on explique de ne plus essayer de lutter contre les émotions ressenties et de laisser aller vos pensées comme elles arrivent. En combattant, on emprunte une voie qui mène inévitablement à la perte de contrôle… et peut-être au pot de crème glacée!

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Le stress lié aux risques de maladies cardiaques

Voici un constat qui ne surprendra personne. Les gens qui déclarent ressentir un haut niveau de stress au quotidien ont plus de risques de développer des maladies cardiaques que ceux qui sont moins stressés.

Même si cela n’a rien de bien étonnant, cette révision de plusieurs études dresse un tableau plus clair des causes à effet, selon nlm.nih.gov.

« Tout le monde sait que le stress est mauvais pour le cœur », lance le professeur Donald Edmundson du Colombia University Medical Center. Il poursuit : « Les preuves ont cependant été disparates au fil des dernières années ».

Cette année, une étude de 200 000 Européens démontrait clairement que ceux qui travaillaient dans un environnement stressant avaient plus de risques de maladies cardiovasculaires que ceux qui ressentent moins de pression de leur emploi.

Aussi, ceux qui possèdent une plus grande liberté d’action professionnelle réduisent grandement le facteur de stress ressenti.

Des études ont par ailleurs suivi des milliers de personnes qui n’avaient aucun diagnostic de problèmes cardiaques, sur une période variant de 3 à 21 ans.

Les chercheurs concluent que les gens stressés voient leur taux d’hormones dans le sang augmenter, et qu’ils sont également plus sujets aux comportements nocifs pour la santé (cigarette, mauvais régime alimentaire, faible activité physique) que les gens plus détendus au travail. Il s’agirait donc d’une cause indirecte, mais très réelle.

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Aidez vos enfants avec le stress et l’intimidation

D’abord, soyez attentif à votre enfant. S’il se met à ne plus vouloir aller à l’école, à exprimer des craintes et des inquiétudes, il se peut qu’il y soit victime d’intimidation.

Puis, questionnez votre enfant à propos de son statut social. Cela permettra d’établir une bonne communication entre votre enfant et vous.

Aussi, soyez un modèle positif pour lui. Utilisez un langage approprié, apprenez-lui à dire non et dites-lui ce à quoi s’attendront les jeunes qui l’intimideront.

Ensuite, construisez la confiance en soi de votre enfant. L’intimidation affectera son estime de lui. Plus il aura une bonne opinion de lui-même, moins cette période sera difficile.

S’il a des grands frères ou des grandes soeurs, il se peut que l’enfant soit soumis à leurs moqueries et sera ainsi plus vulnérable à celles de ses camarades lorsque vous ne serez pas là. Prévenez donc l’intimidation à la maison.

Apprenez-lui également à gérer émotionnellement le stress et l’intimidation et restez en contact avec la direction et le personnel de l’école qu’il fréquente, au cas où.

Rappelons que les enfants ayant des troubles du comportement se font davantage intimider, mais reproduisent ces menaces à leur tour, selon une récente étude.

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Dépistage de maladies cardiaques in utero – stress trop intense

Or, le dépistage in utero de ce genre de malformation cause du stress, de l’anxiété et même la dépression chez la future mère. C’est du moins ce que décrit une nouvelle étude dont la publication est prévue dans le Journal of Pediatrics.

Pourtant, le dépistage prénatal offre de nombreux avantages, tant pour l’enfant que pour la mère. Cela permet à la future maman, à priori, de se renseigner sur la maladie. De plus, elle a le temps d’évaluer les différentes options et de se préparer mentalement à la probabilité d’une intervention chirurgicale.

Malheureusement, le stress associé à l’annonce d’une malformation cardiaque congénitale surpasse les avantages, ce qui engendre également de nombreux risques pour le fœtus.

En effet, l’état dépressif de la mère se répercute sur le bébé et crée des déficiences au niveau hypothalamique, une croissance intra-utérine réduite, des naissances prématurées et un poids inférieur à la normale chez le nouveau-né.

Le Dr Jack Rychik, du Fetal Heart Program au Cardiac Center de l’Hôpital pour enfants de Philadelphie, constate l’importance du soutien de la mère. « Notre étude constate l’importance du soutien psychologique de la future mère. Ainsi, l’approche devrait désormais intégrer une thérapie d’accompagnement, par un spécialiste ou même le conjoint, lors des prochains diagnostics. »

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Exprimer ses émotions atténue les peurs

Contrairement à la méthode traditionnelle qui veut que l’on minimise ou même que l’on nie nos peurs, les exprimer verbalement permet de mieux les contrôler.
 
88 phobiques des araignées ont participé à une expérience. Selon le Psychological Science,ils devaient s’approcher le plus près possible d’une tarentule vivante. Un groupe exprimait ses émotions clairement avec des mots francs, comme il le sentait, et l’autre groupe devait relativiser la situation, par exemple en se disant que la tarentule était plus petite et donc sans danger.
 
Une semaine plus tard, on a retenté l’expérience. Étonnamment, les personnes du premier groupe se sont approchées beaucoup plus près de la tarentule. Plus elles avaient employé des mots négatifs du genre « terrifiante », plus elles pouvaient s’approcher de l’insecte.
 
Il est donc impératif d’être attentif au moment présent et de se permettre de vivre pleinement une expérience, selon les chercheurs.

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Le stress nuirait à la capacité d’apprentissage des enfants

En fait, les enfants qui vivent dans la pauvreté, dont les parents divorcent ou qui ont des parents sévères auraient plus de difficulté à apprendre que les autres.

Le haut niveau d’hormones reliées au stress influencerait le développement des circuits du cerveau des enfants et engendrerait une inhibition des fonctions cognitives comme la planification, l’impulsion, le contrôle des émotions et l’attention, qui sont toutes importantes dans l’apprentissage.

« Même si les parents pauvres peuvent fournir des soins adaptés, ils sont moins susceptibles de le faire à cause des réalités de leur situation et, potentiellement, de leur propre niveau de stress élevé », explique Clancy Blair de l’Université de New York.

Les scientifiques croient que de trouver des façons de réduire ce stress à la maison et à l’école pourrait améliorer le bien-être et le bonheur des enfants, leur permettant d’avoir plus de succès sur le plan scolaire.

Rappelons que les gens stressés ou dépressifs voient leur cerveau perdre du volume, ce qui expliquerait pourquoi certains développent des troubles affectifs et cognitifs.

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Les traitements de fertilité causeraient un stress post-traumatique

Les chercheurs ont interrogé 142 patientes qui recevaient des traitements de fertilité pour découvrir que plus de 46 % d’entre elles présentaient les symptômes d’un stress post-traumatique. Elles étaient bouleversées de se faire rappeler leur infertilité en permanence durant le traitement, se sentaient distantes et coupées du reste du monde ou avaient un sentiment de désespoir.

Les scientifiques ont été surpris de ce chiffre puisque dans la population, on estime que 8 % des gens vivront un tel stress.

« Avoir des enfants, agrandir votre famille, qui transmettra votre code génétique, c’est une pulsion que nous avons instinctivement en tant qu’êtres humains. Et si c’est menacé, ce n’est pas nécessairement votre vie qui est menacée, mais vos attentes face à ce que votre vie pourrait être ou devrait être », mentionne la chercheuse principale de cette étude, Allyson Bradow.

Selon elle, les femmes qui suivent ce genre de traitement devraient être conseillées durant cette période qui affectera leur moral.

Rappelons que près d’un quart des couples ne parviennent pas à avoir un enfant après un an de tentatives sans contraception, et plus de 10 % n’y parviennent toujours pas après deux ans.

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Le stress au travail augmente le risque de diabète chez les femmes

Le journal Occupational Medicine rapporte que le stress au travail a de nombreux effets sur la santé, mais chez les femmes, il augmente notamment les risques de diabète. Un effet que l’on ne retrouve pas chez les hommes.
 
On a examiné le lien entre l’environnement de travail et l’incidence du diabète chez 7443 personnes de 35 à 60 ans, suivies pendant 9 ans.
 
19 % des cas de diabète chez les femmes seraient liés au stress au travail, et ce, après avoir tenu compte des facteurs de risque comme le tabagisme, la consommation d’alcool et le régime alimentaire.
 
Le manque de contrôle des tâches et l’absence d’autonomie affectent donc grandement la gent féminine, et pas les hommes.
 
Les chercheurs croient que c’est peut-être en raison d’une réponse différente au stress, des types d’emplois occupés et des hormones. Les recherches doivent donc se poursuivre.