Catégories
Uncategorized

Le stress est plus présent aujourd’hui qu’il y a 25 ans

De récentes données confirment ce que plusieurs soupçonnaient déjà, les gens sont plus stressés aujourd’hui qu’il y a 25 ans.
 
Un total de 6300 personnes ont participé à trois études distinctes en 1983, 2006 et 2009.
 
Les données recueillies révèlent que les personnes qui sont les plus affectées par le stress sont les femmes, les personnes à faible revenu et celles ayant une éducation moins élevée.
 
Les hommes peuvent en être plus affectés durant les périodes de difficultés financières.
 
La bonne nouvelle est qu’avec l’âge, le stress diminue, rapporte le Journal of Applied Social Psychology.
 
« Les trentenaires sont moins stressés que leurs pairs âgés de vingt ans, et les quadragénaires sont moins stressés que les trentenaires. Les retraités enregistrent des taux de stress les plus bas de l’étude », explique Sheldon Cohen qui a dirigé les travaux.
 
Nous le savons, le stress augmente les risques de maladies. Pour le réduire, on recommande de demander de l’aider à ses proches, de faire du sport, de se reposer, de bien se nourrir ainsi que de s’abstenir de fumer et de réduire sa consommation d’alcool.
 
Catégories
Uncategorized

Les maux de tête reliés au stress chez les enfants

D’importants facteurs de stress comme l’école et les séances d’ordinateur en soirée pourraient être des causes du déclenchement de maux de tête et de migraines chez les enfants.

« Dans 72 % des cas étudiés, le stress pouvait être identifié comme un facteur majeur derrière les maux de tête. Le stress scolaire et un manque de sommeil lourd à porter à cause des séances de télévision et d’ordinateur en soirée dominaient la liste des facteurs de stress fréquents. À l’avenir, nous devrons incorporer davantage ces idées dans les consultations individuelles et la thérapie des enfants souffrant de maux de tête », explique la docteure du San Raffaele Institute de Milan, Dacia Dalla Libera.

Chez les adolescents, 78 % du stress ressenti par les jeunes ayant des maux de tête vient des lectures obligatoires de longues durées, des devoirs, des examens et de la peur d’échouer à l’école. Les autres facteurs étaient l’intimidation, la télévision et l’utilisation de réseaux sociaux, la famille, les voyages ainsi que les sports parascolaires.

Rappelons que le stress pourrait altérer la croissance d’une partie spécifique du cerveau des tout-petits reliée au développement, selon des chercheurs de l’Université du Wisconsin-Madison.

Catégories
Uncategorized

Les nouvelles mamans utilisent beaucoup Facebook

Une étude publiée dans le journal Family Relations s’est concentrée sur l’utilisation de Facebook par les parents.

Les résultats ont permis de découvrir que 44 % des 154 femmes interrogées ont avoué s’être mises à utiliser davantage Facebook qu’auparavant, 27 % ont dit le contraire, et 29 % ont avoué ne pas l’utiliser plus qu’avant.

Les chercheurs ont également noté un plus grand stress chez les femmes de la première catégorie. Toutefois, ce n’est pas le fait d’aller sur Facebook qui est nécessairement un facteur de ce stress.

« Les mères stressées utilisent peut-être Facebook pour décompresser et chercher de l’aide », explique la coauteure de la recherche, Sarah Schoppe-Sullivan.

De plus, Facebook peut être un bon moyen de simplement garder contact avec leur famille, alors qu’elles sont à l’extérieur ou au boulot. Aussi, plus de 93 % des mamans ont avoué utiliser le réseau social afin de publier des photos de leur poupon.

Rappelons également que le fait d’annoncer sa fausse couche sur Facebook permettrait de se remettre de cette épreuve plus facilement.

Catégories
Uncategorized

Le stress retarde le développement du cerveau

Le stress pourrait altérer la croissance d’une partie spécifique du cerveau des tout-petits reliée au développement, selon des chercheurs de l’Université du Wisconsin-Madison.

Les enfants qui vivent un évènement stressant plus intense sur une plus longue période ont eu de moins bons résultats que les autres lors d’un test sur la mémoire de travail, peut-on lire dans le Journal of Neuroscience.

Des scanneurs crâniens ont permis de noter que le cortex cingulaire antérieur, cette partie du cortex préfrontal qui affecte la mémoire de travail, prenait moins de place dans le cerveau des enfants stressés.

« Ce sont de subtiles différences, mais des différences reliées à d’importantes habiletés cognitives », explique une diplômée en psychologie de l’Université de Wisconsin-Madison, Jamie Hanson.

Ce n’est pas tout, puisque la matière blanche ainsi que la matière grise — respectivement responsables de la connexion entre les parties du cerveau et de l’analyse des informations échangées entre les parties du cerveau — sont aussi présentes en plus petites quantités dans la tête des enfants stressés.

Rappelons que le stress est l’élément qui peut faire le plus de mal à un bébé prématuré. Il est important pour les parents de minimiser les stimulations auditives, olfactives, visuelles et tactiles environnantes au bébé, comme le bruit des machines, la lumière ou les gens qui parlent.

Catégories
Uncategorized

Des légumes pour traiter les situations de panique

Vous paniquez dans des situations stressantes, pensez à inclure plus de légumes à votre alimentation. Ils sont reconnus pour leurs antioxydants et vitamines qui peuvent aider à réguler l’humeur.
 
MedicMagic rappelle notamment que les épinards sont à considérer pour calmer vos crises de panique. Ils sont riches en nutriments, dont les vitamines A et K, ainsi qu’en minéraux et en fer. La vitamine C aussi pourra vous aider à soulager les symptômes du stress.
 
Un autre légume intéressant est le brocoli, riche en vitamine C et A qui aident à gérer le stress et aussi à remplacer les nutriments perdus.
 
Les asperges sont sans doute la clé contre le stress et la panique. Elles régulent l’humeur et aident à avoir un sommeil réparateur.
 
Finalement, le céleri est à ne pas négliger. Il réduit la pression artérielle, aide à relaxer, détend les muscles et les artères et régule le flux sanguin.
 
Catégories
Uncategorized

Bébé : moins de pleurs, plus de stress

Devons-nous laisser un bébé pleurer dans son lit pour lui apprendre à dormir seul ou devons-nous aller le chercher chaque fois qu’il pleure pour le réconforter? Les spécialistes débattent toujours sur la question.

Voilà qu’une nouvelle étude de l’Université de North Texas tend à démontrer aux parents que si l’enfant cesse de pleurer, cela ne veut pas dire pour autant qu’il est heureux, serein ou consolé.

En effet, le taux d’hormone du stress (cortisol) chez le bébé peut demeurer élevé plusieurs heures après la crise, rapporte le Daily Mail. En d’autres termes, l’enfant est encore malheureux et même angoissé par une situation, mais il apprend graduellement à garder ses émotions sous silence.

Les chercheurs ont remarqué que si le niveau de cortisol grimpe chez les petits qui cessent de pleurer, l’inverse se produit chez les mères, qui se sentent notamment libérées du bruit des pleurs, mais surtout sûres que leurs bébés se portent mieux.

Pour arriver à ces conclusions, ils ont observé le taux de cortisol de bébés et de mères. Les nourrissons âgés de 4 à 10 mois avaient de la difficulté à dormir seuls.

Au cours de l’expérience, les mères ont dû laisser leur poupon pleurer dans sa chambre. Au bout de trois nuits, le bébé pleurait moins voire plus du tout, mais son niveau de stress était encore très élevé, alors que celui de la mère avait chuté.

Une étude plus approfondie permettra aux chercheurs de voir si le niveau de cortisol diminue éventuellement chez les bébés.

Catégories
Uncategorized

Un bébé prématuré ne doit pas être confronté au stress

Si l’entourage et les parents de bébés prématurés se sentent angoissés, ce n’est rien de comparable à ce que vit le nouveau-né lorsqu’il arrive dans le monde, un environnement souvent « inadapté » pour lui.

Selon Olivier Baud, chef de service de réanimation et pédiatrie néonatales de l’hôpital Robert-Debré : « Si l’enfant prématuré est trop stressé, les connexions neuronales de son cerveau en sont altérées ». Une situation qui peut grandement affecter le développement de l’enfant à moyen terme.

Voilà pourquoi il est important de minimiser les stimulations auditives, olfactives, visuelles et tactiles environnantes au bébé, comme le bruit des machines, la lumière, les gens qui parlent.

D’ailleurs, de plus en plus d’infirmières sont formées pour procurer au bébé le confort dont ils ont besoin et éviter les sources de stress. Elles sont davantage portées à travailler dans le silence, à limiter les prises de sang et à poser des gestes lents et doux, car la douleur presque constante que ressent un bébé prématuré est très perturbante pour lui.

Parmi les autres facteurs qui peuvent provoquer du stress au nouveau venu, les professionnels parlent de la séparation physiologique très déroutante du placenta et des maladies souffrantes induites par la prématurité elle-même.

Catégories
Uncategorized

Emmener son chien au boulot serait bon pour la santé

D’après le professeur à la tête de l’étude, Randolph Barker, emmener un chien au travail « peut faire une différence très positive » dans la vie d’un employé.

L’étude menée par l’École de commerce de la Virginia Commonwealth University de Richmond a évalué le quotidien de 75 personnes divisées en trois groupes. D’abord, celles qui emmenaient leur chien au travail étaient regroupées, puis celles ayant un animal et le laissant à la maison, et finalement celles n’ayant pas d’animal.

Durant la journée, le niveau de stress a diminué chez les employés du premier groupe, tandis qu’il a augmenté pour ceux des deux autres groupes.

En fait, qu’il s’agisse de son propre chien ou de celui d’un collègue, sa présence au bureau réduirait le stress et serait bonne pour le moral des travailleurs.

Les résultats démontrent que les chiens représentent « des solutions de bien être à bas coût et accessibles très facilement pour les entreprises », selon le professeur Barker.

« Avoir un chien dans un environnement de travail peut contribuer aux performances et à la satisfaction des employés », termine-t-il.

Catégories
Uncategorized

Les femmes stressées ou dépressives suralimentent leurs bébés

Alors qu’il y a quelques jours, une étude du Social Science Research Institute révélait que les mères dépressives avaient tendance à réveiller inutilement leur nourrisson durant la nuit, alors qu’il n’avait besoin de rien, une nouvelle enquête vient ajouter un autre élément qui touche ce type de femmes.

En effet, les mères dépressives seraient 15 fois plus susceptibles d’ajouter des céréales dans le biberon de leur petit.

Quant aux femmes à faible revenu, monoparentales et stressées (24 %), elles auraient tendance également à utiliser cette méthode qui peut conduire à l’obésité infantile, déclare une étude présentée le 28 avril au Congrès annuel des Pediatric Academic Societies à Boston.

Pour arriver à cette conclusion, 254 mères ont répondu à des questionnaires concernant leur mode de vie, leur santé psychique, physique et financière.

Les chercheurs ont tenté de trouver le lien qui pouvait être établi entre ces derniers facteurs, les éléments socio-économiques de la femme (âge, emploi, race, scolarité, etc.) et le fait que certaines d’entre elles nourrissent davantage leur bambin.

Mentionnons que l’ajout de céréales dans le biberon de lait n’est pas recommandé par diverses organisations, dont l’American Academy of Pediatrics, car ceci peut provoquer l’excès de poids chez un enfant.

Catégories
Uncategorized

Le stress augmenterait le risque d’obésité chez les filles

C’est ce qu’une étude publiée dans l’édition du mois de mai de Pediatrics révèle.

L’étude s’est faite sur 1605 enfants de niveau préscolaire. Les experts ont noté différents facteurs de stress, comme les symptômes dépressifs chez la mère, la consommation de substances par celle-ci, l’insécurité à la maison ou encore la violence conjugale.

À l’issue de leur recherche, ils ont découvert que les filles qui vivaient plus d’un de ces facteurs de stress avaient un risque accru d’être obèses à l’âge de cinq ans.

Les fillettes avec plus de deux de ces facteurs étaient encore plus à risque de développer l’obésité.

Cependant, du côté des garçons, aucune donnée significative pouvant relier le stress à l’obésité n’a été relevée par les chercheurs.

Selon les auteurs de l’étude, ces facteurs de stress sont souvent vécus par des familles plus fragiles.

Ils estiment que les adultes qui côtoient des enfants, une fois mis au courant de ces facteurs, pourraient reconnaître plus facilement les enfants à risque et aider à développer des programmes d’intervention.

Rappelons que le diabète de type 2, l’hypertension et l’obésité, qui sont des problèmes qui ne touchaient que les adultes il y a 30 ans, atteignent même les bébés aujourd’hui.