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Le stress augmenterait le risque d’obésité chez les filles

C’est ce qu’une étude publiée dans l’édition du mois de mai de Pediatrics révèle.

L’étude s’est faite sur 1605 enfants de niveau préscolaire. Les experts ont noté différents facteurs de stress, comme les symptômes dépressifs chez la mère, la consommation de substances par celle-ci, l’insécurité à la maison ou encore la violence conjugale.

À l’issue de leur recherche, ils ont découvert que les filles qui vivaient plus d’un de ces facteurs de stress avaient un risque accru d’être obèses à l’âge de cinq ans.

Les fillettes avec plus de deux de ces facteurs étaient encore plus à risque de développer l’obésité.

Cependant, du côté des garçons, aucune donnée significative pouvant relier le stress à l’obésité n’a été relevée par les chercheurs.

Selon les auteurs de l’étude, ces facteurs de stress sont souvent vécus par des familles plus fragiles.

Ils estiment que les adultes qui côtoient des enfants, une fois mis au courant de ces facteurs, pourraient reconnaître plus facilement les enfants à risque et aider à développer des programmes d’intervention.

Rappelons que le diabète de type 2, l’hypertension et l’obésité, qui sont des problèmes qui ne touchaient que les adultes il y a 30 ans, atteignent même les bébés aujourd’hui.

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Des semaines de 35 heures de travail pour les parents?

Jörgen Larsson de l’Université de Göteborg a développé sa thèse de doctorat sur le fait que les parents travaillent beaucoup plus que par le passé et pourraient facilement mieux gérer leur stress s’ils se livraient moins au boulot.

L’homme croit même que le gouvernement devrait compenser la perte de revenus des familles qui choisissent de travailler moins, et ce, pendant les années où l’enfant est d’âge préscolaire.

Depuis les années 70, le temps de travail total payé pour les mères et les pères de jeunes enfants a augmenté en moyenne de 10 heures par semaine.

Larsson a analysé les données de 20 000 parents et a réalisé des entrevues auprès de 19 pères afin d’évaluer le bien-être temporel de ces derniers.

Par bien-être temporel, l’auteur de l’étude entend la façon dont vous êtes satisfait avec votre répartition du temps entre votre travail rémunéré, par exemple, les enfants, votre partenaire, votre travail à la maison et le temps que vous accordez à vous-même.

Il a été mis en évidence que le bien-être temporel à la maison est nettement plus faible chez les parents que chez les personnes sans enfants.

De plus, il a été prouvé qu’il y avait un grand écart entre les sexes en ce qui a trait au travail à temps partiel. Beaucoup plus de femmes (28 % contre 2 % des hommes) travaillent de 30 à 36 heures semaines.

Il ne s’agirait pas nécessairement là d’un choix ou de sexisme, mais plutôt de l’idée que les hommes qui veulent plus de temps pour prendre soin de leur famille sont encore confrontés au jugement de la société. La classe sociale plus élevée des hommes ferait en sorte également qu’ils peuvent travailler moins.

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Le stress affaiblit les défenses naturelles

Une étude américaine dévoilée par Top Santé explique pourquoi le stress affaiblit le système immunitaire, nous rendant plus vulnérables aux maladies.
 
En fait, la clé se trouverait dans le cortisol, l’hormone du stress qui est libéré en cas d’anxiété.
 
Habituellement, le cortisol agit comme un anti-inflammatoire permettant de combattre les bactéries, mais lorsque le niveau de stress est trop élevé, le processus est bouleversé.
 
« Les cellules immunitaires de personnes constamment stressées deviennent moins sensibles au cortisol. Elles sont incapables de réguler la réponse inflammatoire. Le corps serait donc plus vulnérable aux virus. Par conséquent, lorsque ces cellules sont exposées à un virus, elles courent plus de risques de développer un rhume », explique le principal auteur de l’étude, Dr Sheldon Cohen, professeur de psychologie à l’Université de Pittsburgh.
 
On a observé 276 personnes en santé, les interrogeant sur leur niveau de stress et la raison de celui-ci. On leur a ensuite donné un vaporisateur nasal avec une dose virale de rhume, puis les sujets ont été placés en isolation pendant 5 jours.
 
Au bout de ce temps, 39 % des personnes ont contracté un rhume, et les personnes les plus stressées avaient deux fois plus de chance d’en faire partie.
 
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Les femmes cardiaques donnent naissance à plus de bébés filles

Sur 200 femmes atteintes d’une maladie cardiaque diagnostiquée, qui ont donné naissance à 216 bébés, 75 % des poupons étaient des petites filles.

Ce sont les données observées par une récente étude iranienne présentée au Congrès mondial de cardiologie organisé par la Fédération mondiale du cœur.

Cette analyse a tenté de prouver qu’il peut bel et bien y avoir une relation entre l’état de santé de la mère et le sexe des bébés qu’elle est capable de mener à terme, mentionne le site SantéLog.

Rappelons qu’en 2011, une enquête parue dans la revue Human Reproduction établissait que le ratio des sexes pouvait être influencé par le stress de la mère, et que les fœtus féminins étaient plus résistants et pouvaient ainsi mieux survivre à la nervosité.

Pour le Dr A. Alizadehasl, de l’Université de Tabriz en Iran, il y a un espoir que « son étude déclenche une enquête plus poussée sur la relation entre le sexe de l’enfant et la maladie cardiaque de la mère ».

Les participantes de l’étude du Dr A. Alizadehasl souffraient majoritairement de valvulopathie, de cardiomyopathie dilatée et de cardiopathie congénitale non corrigée.

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Les femmes cardiaques donnent naissance à plus de bébés filles

Sur 200 femmes atteintes d’une maladie cardiaque diagnostiquée, qui ont donné naissance à 216 bébés, 75 % des poupons étaient des petites filles.

Ce sont les données observées par une récente étude iranienne présentée au Congrès mondial de cardiologie organisé par la Fédération mondiale du cœur.

Cette analyse a tenté de prouver qu’il peut bel et bien y avoir une relation entre l’état de santé de la mère et le sexe des bébés qu’elle est capable de mener à terme, mentionne le site SantéLog.

Rappelons qu’en 2011, une enquête parue dans la revue Human Reproduction établissait que le ratio des sexes pouvait être influencé par le stress de la mère, et que les fœtus féminins étaient plus résistants et pouvaient ainsi mieux survivre à la nervosité.

Pour le Dr A. Alizadehasl, de l’Université de Tabriz en Iran, il y a un espoir que « son étude déclenche une enquête plus poussée sur la relation entre le sexe de l’enfant et la maladie cardiaque de la mère ».

Les participantes de l’étude du Dr A. Alizadehasl souffraient majoritairement de valvulopathie, de cardiomyopathie dilatée et de cardiopathie congénitale non corrigée.

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Rester active durant les traitements contre le cancer du sein

Une étude d’une équipe de l’Université de Miami affirme que les femmes avec un cancer du sein non métastatique qui demeurent actives physiquement durant leurs traitements diminuent leur fatigue et les risques de dépression.
 
« Les patientes physiquement actives ont plus confiance en leur propre capacité à poursuivre les activités familiales, professionnelles ou sociales, qui apportent une satisfaction dans la vie. Cela peut conduire à une fatigue diminuée, une meilleure qualité de vie et un risque de dépression réduit », explique Jamie M. Stagl, étudiant au doctorat en psychologie clinique et coauteur de l’étude.
 
Ces résultats ont été présentés lors de la rencontre annuelle de la Society of Behavioral Medicine.
 
240 femmes, recrutées 4 à 10 semaines après la chirurgie, ont été suivies pendant 10 semaines. Certaines devaient aussi participer à un groupe de thérapie de gestion du stress.
 
Ce type de programme semble également bénéfique si l’on compare les résultats avec les femmes qui n’y ont pas eu accès.
 
Idéalement, il faut donc bouger et gérer son stress pour améliorer les chances de guérison et diminuer la fatigue et les risques de dépression.
 
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Le syndrome de stress post-traumatique serait d’ordre génétique

Pourquoi certaines personnes succombent-elles à un syndrome de stress post-traumatique (SSPT) alors que d’autres non? Des chercheurs de l’Université de Californie auraient peut-être trouvé une réponse à cette question.
 
Selon le Journal of Affective Disorders, deux gènes spécifiques, le TPH1 et le TPH2, seraient impliqués dans ce type de syndrome. Ces gènes sont liés à la production de sérotonine qui régule l’humeur, le sommeil et la vigilance, trois états affectés lors d’un syndrome de stress post-traumatique.
 
Des variantes sur ces gènes augmentent les risques de succomber au syndrome.
 
« Les gens peuvent développer le syndrome de stress post-traumatique après avoir survécu à une épreuve terrible comme la guerre, le viol ou une catastrophe naturelle. Si nos résultats étaient confirmés, ils permettraient de cibler des médicaments spécifiques pour prévenir et traiter le développement du SSPT », explique l’auteur principal, le Dr Armen Goenjian.
 
« Nous soupçonnons que les variantes du gène entrainent une réduction de la production de sérotonine, ce qui prédispose au SSPT après un traumatisme. Notre prochaine étape, pour confirmer ces résultats, sera d’essayer de reproduire les résultats sur un échantillon plus large et plus hétérogène », ajoute-t-il.
 
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Les patients bien informés refuseraient de passer le test du stress

C’est ce que les chercheurs disent avoir remarqué, dans le journal de l’American Heart Association, après avoir créé un outil d’aide à la décision pour les patients ayant des douleurs thoraciques.

L’outil a été créé afin que les patients acceptent d’être évalués sans que cela affecte de façon négative leur traitement.

Un test de stress consiste à faire augmenter le rythme cardiaque d’un patient en le faisant courir sur un tapis roulant. Ainsi, il est possible d’analyser la façon dont son coeur bat et d’en tirer différentes conclusions.

« Pour éviter de manquer un diagnostic de crise cardiaque, les médecins des urgences acceptent souvent des patients aux unités d’observation pour test de stress même si les patients sont à très bas risque d’avoir une crise cardiaque. Cela se résulte en des résultats faussement positifs, en des procédures supplémentaires qui ne sont pas nécessaires, en l’exposition du patient à des rayonnements et en des coûts plus élevés », explique l’auteur principal de la recherche, le docteur Erik P. Hess.

L’étude suggère également que les patients moins à risque ne souhaiteraient pas s’engager dans une longue série de tests après que la possibilité d’une crise cardiaque ait été écartée.

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Les parents d’enfants autistes sont plus souvent malades

C’est ce que révèle une étude de l’Université de Northumbria publiée dans la revue Psychoneuroendocrinology dans le cadre du mois national de l’autisme en avril.

Ce sont les soins assidus, les efforts financiers et physiques, la pression sociale et émotionnelle ainsi que le stress qui placent la santé de ces parents d’enfants autistes dans une situation délicate, selon les chercheurs.

C’est en examinant des parents dans cette situation que les auteurs de l’étude ont même découvert des niveaux élevés de protéine C réactive chez ces derniers, soit un marqueur de l’inflammation qui est liée à un risque accru de développer une maladie coronarienne et du diabète.

La dépression et l’anxiété font également partie de la réalité de ces parents dont la santé est souvent grandement affectée.

Sous peu, l’équipe lancera un projet de recherche pour observer si écrire au sujet de ses émotions peut favoriser ou non la santé et le bien-être de ces adultes.

Des échantillons de salive et de sang seront recueillis, alors que les parents seront invités à écrire 20 minutes par jour sur un sujet obligatoire, et ce, durant trois jours.

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Les bienfaits de la méditation chez les enseignants

Dans un domaine où il y a un stress quotidien et où les compétences acquises peuvent être utiles chaque jour, il a été démontré que les effets de la méditation pratiquée par des enseignants pourraient être bénéfiques aux enfants de leur classe.

Pour arriver à cette conclusion, des chercheurs de l’Université de la Californie à San Francisco, qui avaient préalablement rencontré des érudits bouddhistes, des scientifiques et experts en émotions à la maison du Dalaï-Lama, ont mené une étude auprès de 82 enseignantes âgées de 25 à 60 ans.

Dans l’étude, les enseignantes ont appris à mieux comprendre la relation entre émotion et cognition, à mieux reconnaître les émotions chez les autres ainsi que leurs propres habitudes émotionnelles, afin de mieux pouvoir résoudre les problèmes difficiles dans leurs relations.

La recherche, qui sera publiée en avril dans la revue Emotion, a tenté de mélanger les pratiques anciennes et spirituelles de méditation aux méthodes actuelles et scientifiques pour régulariser les émotions.

Elle a permis de découvrir que les enseignantes qui ont suivi un court programme intensif de méditation sont devenues moins déprimées, anxieuses et stressées, de même que plus compréhensives et conscientes d’autrui.

Des recherches antérieures ont lié la méditation à des changements positifs pour la pression sanguine, le métabolisme et la douleur. En ce qui a trait aux bénéfices de la pratique de celle-ci sur les émotions, il s’agit d’une première étude.