Catégories
Uncategorized

Une alimentation sans gluten favorise la dépression

Les femmes qui ont une intolérance au gluten sont plus sujettes au stress, à la dépression et aux troubles de l’image corporelle si elles suivent un régime strict sans gluten.
 
177 femmes atteintes de la maladie coeliaque ont participé à cette recherche rapportée dans le journal Chronic Illness.
 
Cette maladie est causée par un trouble du système immunitaire après une consommation de gluten, soit les féculents comme le pain et les pâtes. Elle cause des douleurs abdominales, de la constipation, une baisse d’appétit, de la diarrhée, des nausées et des vomissements.
 
De plus, avec une diète qui limite la consommation de gluten, on note également plus de détresse psychosociale.
 
« Les sorties au restaurant et les repas entre amis peuvent être mal vécus par ces personnes, car elles doivent rester vigilantes. Elles peuvent avoir le sentiment d’être un fardeau pour leurs hôtes. Dans de nombreux cas, le seul traitement qu’on leur propose est de surveiller ce qu’elles mangent », mentionne un des auteurs de l’étude, John Smyth, dans un communiqué.
 
Catégories
Uncategorized

Certaines méthodes peuvent réduire la peur de l’hôpital chez les enfants

Des recherches à l’Académie Sahlgrenska de l’Université de Göteborg, en Suède, ont en effet démontré que le dialogue et des dessins pouvaient aider les enfants à surmonter cette expérience pénible.

Pendant l’étude, le modèle appelé « le dialogue périopératoire » (PD) a été testé avec succès auprès des petits.

« La recherche a montré que les enfants qui avaient reçu des soins selon le modèle PD avaient de faibles niveaux de stress après la chirurgie, comparativement à ceux qui avaient eu des soins traditionnels », a notamment affirmé l’un des chercheurs.

Ce modèle comprend, entre autres, des visites préventives à la clinique afin que l’enfant puisse rencontrer un visage familier avant la procédure.

Les dessins peuvent être utilisés pour faciliter le dialogue avec les enfants qui doivent subir une chirurgie. Il s’agit d’un bon moyen pour eux de se faire comprendre. Par exemple, une mauvaise utilisation de l’espace sur une page peut être synonyme d’une augmentation de l’anxiété chez eux.

Afin d’éviter la peur et l’anxiété, il est important de mener un dialogue continu avec les enfants, et il est primordial d’utiliser leur langage. Les sédatifs ne doivent pas être donnés systématiquement.

Catégories
Uncategorized

Sexe des bébés : le stress a-t-il un impact?

Pour en arriver à cette conclusion, des chercheurs de la New York University ont étudié minutieusement les actes de naissance des bébés chiliens entre 2004 et 2006. Les conséquences du tremblement de terre d’une magnitude de 7,9, le 13 juin 2005, ont été analysées.

Il semble que non seulement le nombre d’accouchements prématurés a explosé (une femme chilienne sur dix, contre 6 % de la population générale), mais les femmes enceintes ont davantage donné la vie à des petites filles.

Les chiffres démontrent que depuis plusieurs années, plus de garçons voyaient le jour que de petites filles, soit un ratio de 51 pour 49. L’enquête de ces chercheurs démontre maintenant une diminution de 5,8 % de cette proportion. Il y aurait donc aujourd’hui, en moyenne, 45 naissances masculines pour 55 féminines. Y aurait-il un lien avec le rythme de vie qu’ont les femmes aujourd’hui? La question se pose…

Le cortisol, l’hormone de stress, pourrait avoir un effet direct sur le placenta. Il serait donc à prendre en considération également dans le bon déroulement de la grossesse.

Malgré ce constat, les scientifiques ne sont pas prêts à affirmer un lien direct entre le stress et le sexe du bébé. En revanche, ils confirment que les fœtus garçons seraient davantage concernés par les fausses couches.

Étant moins résistant au stress maternel, les fœtus masculins ont également besoin davantage de place dans le ventre de leurs mères et exigent ainsi beaucoup plus de l’organisme de la mère.

Catégories
Uncategorized

C’est dans l’adversité qu’on devient plus fort

Bien que des recherches aient conclu que le mieux pour la santé était de ne pas vivre de traumatismes, il y a peu de chance que les gens ne doivent jamais faire face à l’adversité dans la vie. En plus d’être peu réaliste, cela ne serait également pas sain.

Il semblerait que les gens ayant vécu des coups durs sont moins stressés en général, explique Mark D. Seery de l’Université de Buffalo dans un article du journal Psychological Science.

Seery et ses collègues ont conclu que les gens qui ont vécu des expériences difficiles ont eu la chance de développer leur capacité à être forts.

« L’idée est que les expériences de vie négatives (sévices sexuels, deuil, maladie, catastrophe naturelle, etc.) peuvent endurcir le caractère des personnes, les rendant plus aptes à gérer les difficultés ultérieures », dit Seery.

Grâce à de mauvais événements, les gens peuvent ainsi tester leur réseau social et apprendre à obtenir de l’aide quand ils en ont besoin, ce qui facilite le contrôle du stress.

Le spécialiste précise que les événements négatifs ont des effets négatifs, mais cela ne signifie pas que parce que quelque chose de mauvais est arrivé à quelqu’un, celui-ci est condamné à souffrir de problèmes.

Catégories
Uncategorized

Accouchement prématuré : les mamans souffrent aussi

Selon une nouvelle étude de l’Université de Wisconsin-Madison, le fait d’avoir eu un bébé prématuré rendrait les mamans en moins bonne santé, beaucoup plus stressées et fatiguées que les femmes qui ont connu un accouchement à terme.

Les chercheurs ont découvert que prendre soin d’un bébé prématuré, avec le lot d’inquiétudes que cela comporte, affecterait la santé morale et physique de la mère, et ce, jusqu’à ce que l’enfant ait atteint l’âge de 5 ans.

On conseille d’ailleurs à ces mères de s’entourer dès la naissance du bébé de gens aptes à leur fournir un bon soutien (famille, amis et médecins).

Les problèmes durant la grossesse, le poids du bébé à la naissance et la durée du séjour du bébé dans une unité de soins intensifs néonatals sont également des éléments qui ont été pris en considération, lors de cette étude réalisée auprès de 587 mamans. La moitié d’entre elles avait accouché avant terme, et l’autre non.

Catégories
Uncategorized

Plusieurs années avant la grossesse, mangez bien!

En octobre dernier, des spécialistes ont conclu qu’une saine alimentation avant, pendant et après la grossesse assurait le bon développement et les effets positifs à plus long terme chez l’enfant.

Cette constatation a été rendue publique lors du Colloque du Fonds français pour l’alimentation et la santé, ayant pour thème Les déterminants précoces de la santé future de l’enfant.

Du type de nutriments consommé par le père, qui pourrait avoir une influence sur la qualité du sperme, à la perte ou prise de poids importante avant la grossesse par la mère, en passant par le stress, l’alimentation excessive ou insuffisante au mode de vie et l’environnement, tous sont des facteurs déterminants sur la santé et le futur des enfants.

Plusieurs séries d’études le démontrent, une mauvaise alimentation peut avoir un impact tant sur la fertilité que sur le développement du fœtus, ou encore lorsque l’enfant deviendra adulte.

Selon la Dre Marie-Aline Charles, « le potentiel de croissance fœtale s’adapte à l’état nutritionnel maternel avant la grossesse ».

Il est donc important de prendre soin de soi et de bien se nourrir, même plusieurs années avant de tomber enceinte, car cela aura une grande influence. Le dicton « Il vaut mieux prévenir que guérir » s’applique plus que jamais dans ce cas-ci…

 
Catégories
Uncategorized

Plus de fausses couches de bébés garçons

Il semblerait que les futures mamans qui vivent une dose de stress importante durant les deuxième et troisième mois de leur grossesse auraient plus de risque de donner naissance prématurément ou de perdre les bébés de sexe masculin.

Les bébés garçons grandiraient et grossiraient plus rapidement que les filles, ayant ainsi besoin davantage de nourriture provenant de la mère. Ils auraient également moins de chance d’être aussi robustes que les petites filles pour s’adapter à un environnement stressant dans l’utérus.

Ces affirmations sont le résultat d’une étude qui a été réalisée entre 2004 et 2006. Des chercheurs de New York ont étudié, sur 600 000 grossesses, l’impact qu’a eu le tremblement de terre Tarapaca en 2005 au Chili.

Normalement, six mamans sur cent donnent naissance avant 37 semaines. Pour les femmes ayant vécu de près le séisme en question, neuf d’entre elles sur 100 ont accouché prématurément.

Depuis toujours, le nombre de naissances masculines serait plus élevé, soit 51 % pour 49 % de naissances féminines. Depuis cette étude, le nombre de naissances masculines remarqué aurait diminué à 45 %.

Ce serait la première fois que l’on réussirait à prouver que le stress peut réellement influencer le ratio de sexe pour les naissances. La pauvreté et la mauvaise alimentation joueraient également un rôle, mais ne seraient pas aussi déterminantes que la nervosité.

Pour éviter ces situations délicates, les médecins et chercheurs recommandent aux femmes enceintes de prendre soin d’elles et d’être à l’écoute de leurs corps pendant et même avant la grossesse.

Catégories
Uncategorized

Le stress diminue le développement cérébral

Un enfant qui a vécu du stress de manière précoce en subirait des lacunes dans son développement cérébral, apprend-on dans Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine.

Précisément, des chercheurs de plusieurs universités américaines ont relevé que des traitements découlant d’une éducation déficiente et un stress précoce entraînaient des changements à la matière grise du cerveau.

En examinant des jeunes qui avaient vécu de la maltraitance à un jeune âge, on a remarqué des lacunes physiques dans leur matière grise, et ce, qu’ils présentent ou non les signes d’un trouble psychiatrique.

La maltraitance des enfants a été évaluée par questionnaire, et elle touchait la négligence comme la violence physique, psychologique et émotionnelle, ainsi que la présence ou non de sévices sexuels.

Ces observations ont bien entendu été faites grâce à l’imagerie par résonance magnétique. Le stress précoce aurait donc un impact sur le développement morphologique de certaines structures cérébrales.

Catégories
Uncategorized

Le stress de grossesse rend-il malade?

On lit sur Medscape les résultats d’une étude ayant porté sur le stress durant la grossesse. On a voulu comprendre s’il pouvait augmenter les risques de développement d’une maladie chez l’enfant à naître.

Plus de 60 000 mères ont participé à cette étude. Toutes les naissances avaient mené à un enfant vivant. Le stress maternel durant la grossesse était évalué selon deux aspects, soit le stress commun et le stress émotionnel.

Les chercheurs ont par la suite tenté d’établir des corrélations avec des maladies étant apparues chez les enfants. Celles-ci étaient regroupées en 16 catégories. L’âge moyen, pour faire l’évaluation finale, a été calculé à 6,2 ans (de 3,6 à 8,9 ans).

Il s’est avéré que le stress commun, soit celui relié aux événements de la vie, était fortement relié à l’augmentation des risques de maladies infantiles qui prenaient source durant la période périnatale.

Par exemple, les risques étaient plus élevés quant aux malformations, aux troubles mentaux, aux maladies oculaires, auditives, respiratoires et digestives.

Quant au stress émotionnel, il a été associé à un risque accru d’une maladie périnatale, mais aussi à une baisse des risques d’une maladie du système endocrinien, des yeux et de la circulation.

Catégories
Uncategorized

La gestion du stress des poupons

Des chercheurs de l’University of Georgia Franklin College viennent de faire une découverte importante quant à la réponse au cortisol chez les bébés. Rappelons que le cortisol est reconnu comme étant l’hormone du stress.

On en connaît encore très peu sur ce sujet quant aux jeunes enfants, mais on a maintenant découvert que les bébés répondent au cortisol à l’opposé des adultes.

Publiée dans Developmental Psychobiology, cette recherche a permis de mieux comprendre comment le corps produit et répond au cortisol durant la première année de vie.

Le cortisol est produit par les grandes surrénales. Libéré en réponse au stress, il peut faire plusieurs choses pour l’organisme. Entre autres, il peut augmenter la glycémie, soutenir le métabolisme, voire anéantir le système immunitaire.

On a remarqué que les poupons, au moment où ils se réveillaient le matin jusqu’à une demi-heure après, n’avaient présenté aucune augmentation du taux de cortisol. La même chose s’est produite après la sieste. Une initiation psychologique se produit donc entre la mère et son enfant. On a aussi statué que la réponse au cortisol pourrait être moins dépendante de facteurs biologiques.

Cette découverte permettrait de mieux connaître les soins que la mère devrait apporter à son enfant dans le cadre d’une situation stressante, entre autres.