Catégories
Uncategorized

La séparation de la mère est un stress

Une récente étude souligne une fois de plus les impacts négatifs de la pratique encore assez répandue de séparer le nouveau-né de sa mère après l’accouchement. On lit en effet dans Biological Psychiatry que faire dormir le bébé naissant dans une autre chambre que sa mère lui fait vivre du stress.

Cette pratique est encore chose courante dans la culture occidentale. On la suit même encore dans le cas de détresse médicale chez le nouveau-né ou dans celui d’une naissance prématurée.

Des chercheurs ont quantifié les impacts d’une telle séparation en évaluant la variation du rythme cardiaque de bébés âgés de deux jours. On comparait la fréquence de moments où les bébés étaient en peau à peau avec leur mère, puis lorsqu’ils étaient seuls.

Il s’est avéré que le système autonome des bébés était 176 % plus élevé lorsqu’ils étaient séparés de leur mère, et leur sommeil profond durait 86 % moins longtemps.

Catégories
Uncategorized

Quand l’anxiété devient-elle un trouble?

Il est important de distinguer le trouble anxieux d’une anxiété courante chez l’enfant, car plus tôt il aura du soutien, mieux il pourra reprendre les rênes de son existence.

Le trouble anxieux constitue l’un des problèmes psychiatriques les plus courants, et un tel problème durant la vie adulte prend très souvent sa source durant l’enfance.

Or, l’enfance est remplie de facteurs de stress normaux, y compris ceux liés au développement. Toutefois, cette anxiété considérée comme normale peut parfois dégénérer, par exemple, si l’anxiété se dénote par des indices physiques typiques (maux de ventre, de tête, transpiration) et émotionnels (peur et nervosité), lit-on sur Medscape.

Le trouble anxieux, quant à lui, touche directement les pensées de l’enfant. Il aura de la difficulté à prendre des décisions, et ses perceptions de son environnement changeront. On peut aussi remarquer une hausse de la pression artérielle et des maux physiques plus intenses, comme la diarrhée, les palpitations et l’essoufflement.

Le trouble anxieux, chez l’enfant, peut finalement s’accompagner d’autres problèmes de santé, la dépression par exemple.

Catégories
Uncategorized

Voiture et transports en commun mauvais pour la santé?

Selon une étude réalisée sur 12 000 travailleurs de 18 à 65 ans par la Lund University en Suède, se rendre au travail en voiture ou encore en transport en commun est plus dommageable pour la santé.
 
Les personnes qui utilisent ces moyens de transport sont plus susceptibles de vivre plus de stress et d’épuisement que ceux qui prennent leur vélo ou encore marchent pour se rendre au bureau.
En général, les gens qui prennent la voiture, l’autobus ou le train marquent plus de stress, ont une moins bonne qualité de sommeil. Ils sont donc plus fatigués et lutteraient avec plus de problèmes de santé que leurs collègues qui sont plus actifs avec leur vélo ou la marche.
 
De plus, les effets négatifs augmentent selon la durée du trajet pour se rendre au travail.
 
Certains experts remettent en cause cette étude parue dans le BMC Public Heatlh,car selon eux, il n’existe aucune preuve que les transports sont liés aux problèmes de santé. Il y a d’autres facteurs à considérer, comme le salaire et les conditions de vie en général également.
 
Catégories
Uncategorized

Dodo jusqu’à trois ans avec maman

Une récente étude de l’Université de Cape Town, en Afrique du Sud, vient remettre en question les préceptes reçus quant à l’endroit où devrait dormir bébé.

On a souvent parlé, ces derniers temps, des dangers que courait un bébé en dormant avec ses parents. Plusieurs cas de mort subite ont été mentionnés. Ici, on souligne toutefois que ces cas n’étaient pas liés au fait que la mère dormait avec l’enfant. Les causes étaient plutôt la fumée de cigarette, les oreillers ou couvertures, l’abus d’alcool, etc.

Il semble au contraire que le jeune enfant devrait dormir avec ses parents jusqu’à l’âge de trois ans, car cela est bon pour son cœur et conduit à un meilleur comportement à mesure qu’il grandit. Cette situation pourrait même se poursuivre jusqu’à quatre ans, ajoute-t-on sur Mail Online.

Après avoir suivi par moniteur les battements cardiaques de bébés, on a remarqué que ceux qui dormaient avec leur mère dormaient mieux, en comparaison à ceux qui avaient somnolé sur sa poitrine. Leur battement cardiaque révélait aussi moins de stress; on parle ici de trois fois moins.

Catégories
Uncategorized

Le stress influencerait le sexe du bébé

Il y a désormais un nouveau facteur déterminant quant au sexe du bébé, selon ce qu’on lit sur Mail Online. Des chercheurs de l’Oxford University viennent d’établir un lien entre le stress et le sexe du bébé.

Ainsi, une femme qui vit du stress au travail ou dans sa vie amoureuse avant de tomber enceinte aurait plus de chances de mettre au monde une petite fille qu’un garçon.

Les chercheurs ont même relié la dernière crise économique, puis les mois suivant les attentats du 11 septembre 2001, à un plus grand nombre de naissances de petites filles par la suite.

Il semble que les hormones du stress, dont le cortisol, joueraient un rôle. C’est ce que l’on soutient après en avoir analysé les taux de plus de 300 femmes, au moment où elles tentaient de tomber enceintes.

En chiffres, on estime que les femmes les plus stressées avaient eu 75 % moins de chances de mettre au monde un garçon. Et parmi celles qui avaient eu les plus hauts taux de cortisol, 50 % ont démontré un ratio évident de naissances de petites filles.

Rappelons que le cortisol est sécrété plus fortement lorsqu’une personne vit un stress à long terme.

On croit que le taux de cortisol pourrait faire en sorte qu’il soit plus difficile à l’embryon mâle de s’implanter dans l’utérus. De plus, les bébés de sexe masculin seraient plus vulnérables lorsque ce taux est élevé, ce qui entraînerait plus de fausses couches, donc plus de naissances de petites filles.

Catégories
Uncategorized

Le stress amenuise votre rôle parental

Une récente étude parue dans Development and Psychopathology nous explique que le stress peut avoir de grandes répercussions sur le rôle parental. Un stress chronique ferait en sorte que des problèmes quant au comportement parental surgissent.

En exemple, on donne celui d’une mère quant à la réponse corporelle au stress de longue durée. Ce dernier viendrait à changer la façon dont le corps d’une mère réagit aux demandes d’un jeune enfant. Cela fait en sorte que son rôle parental est plus difficile à assumer.

D’autre part, on a relevé les effets certains de la pauvreté comme de la dépression sur la psychologie d’une personne, et l’on comprend mieux pourquoi quelqu’un réagit de telle ou telle façon s’il est sous pression, que celle-ci soit d’ordre économique ou psychologique.

On a déjà démontré l’effet du stress sur les enfants ainsi que son impact sur le développement de certaines maladies, une fois l’âge adulte atteint. C’est toutefois la première fois que l’on étudie ses effets sur la façon d’élever des enfants. Encore une fois, on comprend que le stress se vit tant au niveau physique que mental.

Catégories
Uncategorized

Le stress des bébés prématurés

On lit dans Annals of Neurology que certains agents stressants d’un service de soins intensifs néonataux seraient en lien avec des altérations de la structure et des fonctions cérébrales du bébé très prématuré.

Selon une recherche ayant porté sur 44 bébés prématurés, une exposition hâtive au stress pourrait entraîner une plus petite taille du cerveau, de plus faibles fonctions de connexion et un comportement moteur anormal.

Tous les bébés de l’étude étaient nés à moins de 30 semaines de grossesse, ce qui les définit comme étant très prématurés. Leur stress vécu au service des soins intensifs a été mesuré selon une échelle de 36 interventions (lesquelles allaient du changement de couche à l’intubation).

Les résultats actuels suggèrent donc une réduction de la taille du cerveau, en particulier quant à la largeur frontale et pariétale. Toutefois, on ne saurait nommer pour l’instant les répercussions à long terme de ce phénomène.

Catégories
Uncategorized

L’alcoolisme vient-il de la famille?

Les enfants qui ont un parent aux prises avec un problème d’alcool seront plus enclins à boire plus d’alcool lorsqu’ils feront face à une situation stressante. Il semble en effet, selon une récente recherche parue dans Pharmacology Biochemistry and Behavior, que le contexte familial augmente ce risque chez un individu.

Nous savions déjà, en regard à de précédentes études, que les enfants d’un parent alcoolique avaient 50 % plus de risque d’avoir eux aussi un problème d’alcool, plus tard dans leur vie.

Cette nouvelle recherche de l’Université de Göteborg nous apprend maintenant de quelle manière le stress peut être difficile à gérer par ceux qui présentent un risque génétique d’alcoolisme.

Après avoir suivi 58 sujets en santé, les chercheurs ont effectivement démontré que ceux qui avaient grandi avec un parent alcoolique consommaient plus d’alcool que les autres lorsqu’ils étaient stressés.

La tendance à développer une dépendance à l’alcool, au fil du temps, est donc plus forte chez ceux qui réagissent ainsi face au stress.

Catégories
Uncategorized

Effet de l’alcoolisme des parents

Selon des chercheurs suédois, on aura plus tendance à consommer de l’alcool dans des situations stressantes si nos parents avaient eux-mêmes ce problème, lit-on dans Pharmacology Biochemistry and Behaviour.

On savait déjà, en regard à des études précédentes, que les enfants d’alcooliques étaient 50 % plus enclins à vivre ce problème dans leur vie future.

Maintenant, après avoir suivi près de 60 personnes, qui venaient soit d’une famille où existait un problème d’alcool ou non, on a démontré que la réaction au stress était empreinte de notre vécu familial.

Cela ne veut pas dire que les personnes concernées souffrent nécessairement d’alcoolisme, mais une telle tendance peut mener à des problèmes à long terme. Avoir en exemple la consommation exagérée d’alcool durant l’enfance peut donc faire en sorte qu’une personne soit plus tentée qu’une autre à en boire lorsqu’elle est stressée.

Catégories
Uncategorized

Deux découvertes concernant la dépression

Des chercheurs français ont fait deux découvertes concernant la dépression. Elles ouvrent donc la voie à de nouvelles thérapies possibles pour traiter la maladie à un stade précoce.

Selon le Journal of Neuroscience, l’équipe de l’Hôpital de la Pitié-Salpêtrière a constaté que lorsque des rats étaient soumis à des stress intenses, ceux qui présentaient une altération de la structure des neurones dans certaines zones de leur cerveau devenaient dépressifs après un nouveau stress.

De plus, on a identifié sur les rongeurs des biomarqueurs qui permettaient de déceler la vulnérabilité face à la dépression.

La dépression peut être autant génétique qu’acquise. Un stress intense comme la perte d’un être cher ou un divorce peut déclencher la maladie, de même qu’un stress continu, par exemple au travail.</pchercheurs français ont fait deux découvertes concernant la dépression. Elles ouvrent donc la voie à de nouvelles thérapies possibles pour traiter la maladie à un stade précoce.

Selon le Journal of Neuroscience, l’équipe de l’Hôpital de la Pitié-Salpêtrière a constaté que lorsque des rats étaient soumis à des stress intenses, ceux qui présentaient une altération de la structure des neurones dans certaines zones de leur cerveau devenaient dépressifs après un nouveau stress.

De plus, on a identifié sur les rongeurs des biomarqueurs qui permettaient de déceler la vulnérabilité face à la dépression.

La dépression peut être autant génétique qu’acquise. Un stress intense comme la perte d’un être cher ou un divorce peut déclencher la maladie, de même qu’un stress continu, par exemple au travail.

Crédit photo : Michal Marcol / FreeDigitalPhotos.net