Catégories
Uncategorized

Stress et grossesse : répercussions comportementales

Une étude australienne parue dans Research Australia met en garde contre le stress que pourrait vivre la future maman.

À la suite de cette étude longitudinale ayant porté sur près de 3 000 femmes enceintes, les chercheurs ont remarqué une forte corrélation entre le stress et les problèmes comportementaux.

Ces problèmes ont été relevés auprès des enfants nés de cette cohorte, une fois qu’ils ont eu 2, 5, 8, 10 et 14 ans. Il semble que le nombre d’événements stressants pèse plus lourd dans la balance que le type de stress vécu en tant que tel.
 
Ainsi, vivre deux événements stressants ou moins n’aurait aucun impact, mais au-delà de trois, les risques que l’enfant ait un comportement difficile augmentent.

Les types de stress que peut vivre une femme enceinte ont ici été reconnus comme une perte d’emploi, des difficultés relationnelles ou financières, des problèmes avec ses autres enfants, une grossesse compliquée ou la mort d’un proche, entre autres.

Catégories
Uncategorized

Boire de l’eau pour réduire le stress

Voici une astuce des plus simple pour vous aider à surmonter votre stress : boire de l’eau.
 
Une étude rapportée par WebMD affirme que l’eau aide à réduire le stress. Lorsque le corps est déshydraté, c’est tout son métabolisme qui est perturbé, ce qui entraîne un grand stress.
 
« La recherche révèle que le manque d’eau pourrait augmenter les niveaux de cortisol, l’hormone qui déclenche le stress », déclare la spécialiste en nutrition Amanda Carlson.
 
Dans un état de stress, le corps a besoin de liquide, mais le stress nous fait oublier notre soif. Un verre d’eau est suffisant pour avoir des effets bénéfiques. Attention toutefois, le stress ne disparaîtra pas en un instant. Par contre, il n’augmentera pas.
 
« Lorsque nous sommes stressés, le cœur bat plus vite, la respiration est plus lourde aussi et le corps a besoin de liquide. Le stress nous fait oublier de boire et il ne faut pas le laisser augmenter, car nous allons encore plus oublier notre soif », ajoute une autre nutritionniste, Renee Melton.
 
En plus de combattre le stress, l’eau redonne de l’énergie et combat donc la fatigue. Elle aide également à la bonne distribution de l’oxygène et des autres éléments essentiels aux cellules de l’organisme.
Catégories
Uncategorized

L’insécurité émotionnelle chez le nourrisson peut augmenter ses risques d’obésité dès son plus jeune âge

De nombreuses recherches sont effectuées en ce moment pour tenter de trouver les causes de l’obésité croissante chez les enfants. Ainsi, l’une d’elles, conduite par Sarah Anderson, professeure assistante en épidémiologie à l’Université d’État de l’Ohio, associe le stress relationnel entre la mère et l’enfant comme cause de l’obésité.

Cette nouvelle recherche a été remise en question par de multiples spécialistes qui réfutaient l’attribution de l’obésité au seul facteur d’insécurité émotionnelle. Pourtant, l’information colligée par Anderson et Robert Whitaker, professeur à l’Université Temple de Philadelphie, constitue une solide base de données.

Sur Reserch News, on indique que plus de 6 500 enfants américains âgés de 24 mois ont fait l’objet d’une observation attentive en 2001. Les chercheurs relevaient les indices de l’implication émotionnelle de l’enfant envers sa mère et vice versa, ainsi que la routine instaurée et les habitudes alimentaires.

Les enfants étaient par la suite réévalués à l’âge de 4 ans et demi. En additionnant l’ensemble des facteurs évalués, soit la cote d’insécurité octroyée et le facteur d’obésité, les résultats affichaient une augmentation de 30 % d’obésité chez les enfants ayant vécu un plus grand stress relationnel avec leur mère à l’âge de 24 mois.

Catégories
Uncategorized

La dépression de maman est un facteur de stress

Selon Psychological Science, un tout-petit peut ressentir beaucoup de stress par rapport au comportement et à l’état de santé de ses parents, et ce, lorsqu’il est à peine âgé de trois ans.

Une étude parue dans cette revue scientifique a en effet démontré qu’une hormone de stress était fortement présente dans la salive d’enfants de cet âge.
 
Les jeunes participants qui étaient confrontés à des situations stressantes, même si elles étaient inoffensives, accusaient ainsi de hauts taux de cortisol.
 
On prenait cette mesure tout de suite après avoir provoqué un événement causant un certain stress aux enfants. Les chercheurs ont donc conclu que déjà à trois ans, les enfants étaient stressés par un parent dépressif qui les entourait d’émotions négatives.
 
Les réponses les plus fortes ont été observées avec la maman, lorsque celle des enfants avait un historique de dépression ou qu’elle démontrait de l’agressivité en jouant avec eux.
 
Toutefois, on note qu’il n’y avait pas suffisamment d’hommes dans le cadre de cette recherche pour détailler comment ils interagissent avec leur enfant. La dépression était aussi moins présente dans ce groupe.

Malgré tout, cette étude expose l’un des effets que la dépression d’un parent peut entraîner sur l’enfant.

Catégories
Uncategorized

Avoir un animal de compagnie aide à vous garder en meilleure santé

Le Woman’s Day rappelle qu’il peut être très avantageux de posséder un animal de compagnie. Il peut vous aider à garder la forme, notamment si vous sortez votre chien tous les jours pour une promenade. Cela peut aussi être une sécurité si vous demeurez seul; il n’y aura pas de meilleur système d’alarme.
 
On relate surtout cinq grands bénéfices prouvés par des études qui démontrent que posséder un animal de compagnie est un atout majeur pour votre santé, tant physique que psychologique.
 
Par exemple, la présence d’un animal à vos côtés diminue le niveau de stress, mais aussi la tension artérielle. De plus, si vous souffrez de migraines ou de douleurs chroniques, cela peut aider à vous soulager. Le niveau de cholestérol sera également diminué avec un animal.
 
D’autres études démontrent que si vous possédez un chat, votre risque de subir une crise cardiaque est diminué de 30 % et votre risque d’accident vasculaire cérébral est abaissé de 40 %. Si vous avez déjà eu une crise cardiaque, avoir un chien auprès de vous multiplie par huit votre espérance de vie.
Catégories
Uncategorized

Conséquences de l’anxiété durant la grossesse

Une relation amoureuse malsaine durant la grossesse peut engendrer de tristes répercussions sur la santé du bébé à venir. C’est la conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs norvégiens.

Les résultats de leur étude, parue dans BMC Public Health, démontrent que la relation de la future maman et son conjoint est à la base de plusieurs problèmes.

L’anxiété et la dépression durant la grossesse peuvent mener, dans de nombreux cas, à une naissance prématurée, un faible poids de naissance, voire une santé déficiente une fois que l’enfant a atteint l’âge scolaire.
 
Les chercheurs de la présente étude sont arrivés à ces résultats après avoir suivi 50 000 femmes enceintes. Ils ont questionné les participantes quant à leurs relations avec leur famille et leur conjoint, de même que leur travail.
 
Ils ont ensuite comparé ces données avec les dépendances à l’alcool, au tabac ainsi qu’aux problèmes de santé mentale vécus par ces femmes. Il en est ressorti que la détresse émotionnelle vécue durant la grossesse était le plus souvent liée à la relation qu’une femme vivait avec son conjoint.

D’autre part, une femme enceinte qui vivait une relation harmonieuse vivait mieux les difficultés provenant de son travail ou du manque d’argent, par exemple.

Catégories
Uncategorized

Le stress n’affecterait pas la fertilité

Bien souvent, on a nommé le stress comme un obstacle à la fertilité, mais de récentes études ont prouvé que le stress émotionnel n’aurait aucune influence sur la réussite d’une fécondation in vitro ou autres traitements qui ont pour but de concevoir un enfant.

Le British Medical Journal rapporte que des chercheurs ont analysé 14 études regroupant 3 583 femmes. Leur niveau de stress a été mesuré avant qu’elles commencent des traitements dans l’espoir de tomber enceintes.

Les résultats démontrent clairement que le stress n’a aucun effet sur le succès ou l’échec d’une grossesse. Les femmes stressées auraient autant de chances de connaître les joies de la maternité que les femmes plus détendues.

Toutefois, bien que le stress n’influence pas la fertilité, les experts recommandent de ne pas l’ignorer, lors des traitements. Toutes les femmes qui passent par ce processus devraient recevoir du soutien et de la compassion de la part de leur entourage.

Catégories
Uncategorized

Le postpartum influencé par le mode de vie

Une récente étude ayant porté sur 60 nouvelles mamans nous apprend que l’augmentation de leur IMC (indice de masse corporelle) est liée à la façon dont elles vivent leur postpartum.

Précisément, ce gain de poids serait causé par l’impact que le stress d’être parent a sur l’activité physique.

Chez les participantes de la recherche, la dépression était liée à une vie peu active et un IMC élevé. À l’inverse, peu ou pas de signes de la dépression était très lié à une vie active et un faible IMC.

Les mères qui présentaient plus de symptômes dépressifs reconnaissaient tout de même leurs qualités en tant que parent.

D’autre part, on a relevé que l’interaction sociale, qui est reconnue comme un indice de bien-être, était étroitement liée à un IMC plus élevé.

On croit donc que les nouvelles mamans voient beaucoup leurs proches, mais qu’en général, elles sont portées à privilégier une vie sédentaire, comme regarder beaucoup la télévision au lieu d’aller se promener avec leur bébé.

Malgré tout, on a pu démontrer, dans le cadre de cette étude parue dans Women & Health, que ce qui influence le plus le mode de vie des mères est leur façon de vivre le stress.

Catégories
Uncategorized

Détecter les signes du stress chez l’enfant

Il est important de déceler les symptômes du stress chez notre enfant, car cela peut cacher d’autres problèmes latents.

Contrairement à ce que l’on pense, les enfants souffrent autant du stress que les adultes. Les signes en sont simplement différents.

C’est pourquoi l’Académie américaine de pédiatrie a résumé les indices majeurs à remarquer chez notre enfant afin de déceler sa souffrance. Ils ont été publiés dernièrement sur HealthDay News.

Des douleurs physiques comme les maux de tête et de ventre sont de bons indicateurs que quelque chose ne va pas. On recommande aussi aux parents d’être attentifs si leur enfant ressent une grande fatigue, vit de l’anxiété ou si, au contraire, il est plus agité que d’habitude.

On doit aussi investiguer si notre enfant devient plus agressif et s’il perd soudainement son intérêt pour le sport ou une autre activité qu’il aimait beaucoup auparavant.

Ces changements dans son comportement peuvent aussi consister en du vol à l’étalage ou des mensonges.

Il est aussi possible que l’enfant entre dans un mutisme complet ou qu’il soit beaucoup moins volubile qu’avant. Il s’agit d’un signe de dépression, donc que le problème est assez avancé.

À l’observation de ces symptômes, il est important d’en parler avec son enfant et de consulter rapidement un médecin. Vivre du stress sur une longue période peut avoir des répercussions importantes sur la santé.

Catégories
Uncategorized

Les parents courent trop

Pas moins de la moitié des gens ne parviendraient pas à bien gérer leur temps lorsqu’ils sont parents. C’est ce que rapporte un sondage mené dernièrement par la Ligue des familles, un regroupement français.

Mille parents ont été interrogés dans le cadre de cette recherche. La moitié d’entre eux disaient avoir des difficultés quant à la gestion de leur temps. Il semble que la combinaison du travail, de l’école, des activités et des déplacements constitue en effet un casse-tête pour une grande partie des parents.

24 % des personnes sondées couraient toujours après leur temps, tandis que cela arrivait souvent pour 25 % d’entre elles. Ces résultats sont indépendants de l’âge des enfants et du lieu de vie.

Les femmes semblent plus souvent concernées par ce manque de temps. Les mères âgées de 25 à 39 ans qui ont un conjoint seraient celles qui vivent le plus souvent cette situation.

Cette course affecte bien entendu la qualité de vie de ces adultes. Ainsi, 71 % des parents vivent du stress, alors que 16 % ressentent même de l’inquiétude. Cette dernière tranche de répondants concerne surtout les mères monoparentales.