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Une étreinte peut avoir les mêmes effets qu’une anesthésie

Il a déjà été démontré que de caresser, étreindre et toucher une personne que l’on aime aide à diminuer le stress, soulager la douleur et permet d’entretenir une relation. Des chercheurs ont maintenant constaté que cela pouvait avoir les mêmes effets qu’une anesthésie.
 
Avec 25 participantes, on a découvert que pour une femme, le simple fait de toucher ou de voir son partenaire, même en photo, était similaire à des anesthésiants. Pour les essais, on a soumis les femmes à de légères brulures. Elles ressentaient moins d’inconfort lorsqu’elles regardaient les photos de leur amoureux et si elle lui tenait la main, l’effet étant similaire à une anesthésie.
 
Ceci expliquerait également pourquoi une mère peut soulager la douleur de son enfant si efficacement.
 
Caresser un animal de compagnie aide également à soulager la douleur, ajoute le Telegraph.
 
Selon le Dr Ludwig Lowenstein, le secret d’un mariage heureux serait d’au moins quatre étreintes par jour.
 
De plus, après avoir questionné des amoureux, on mentionne que pour durer, un couple doit s’accorder au moins sept soirées en amoureux par mois, dont une sortie sans enfants ni amis, seulement en tête à tête.
 
Aussi, les hommes devraient donner des fleurs ou un autre cadeau à leur femme une fois par mois. On ajoute qu’il est important également que le couple s’accorde au moins une soirée par mois séparément afin de faire ses propres activités.
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Prévenir le stress dès la naissance

Une maman pourrait prévenir le stress que vivra son bébé une fois qu’il sera adulte. C’est la conclusion vers laquelle convergent deux récentes études de l’Institut Douglas.

La première, parue dans Developmental Psychobiology, a fait un lien entre l’allaitement et le stress. Il semble que la quantité et la qualité du lait maternel et la relation entre la mère et son enfant auraient une grande influence sur la réponse au stress du bébé devenu adulte.

La deuxième étude a porté sur les soins parentaux en début de vie. Parue dans le Journal of Psychiatry and Neuroscience, elle a aussi fait un lien avec la réponse au stress.

Après avoir mesuré le taux de cortisol chez de jeunes adultes qui étaient confrontés à une situation stressante, on a remarqué qu’il était très bas chez ceux ayant reçu le plus d’affection lorsqu’ils étaient tout-petits.

Or, le faible taux de cortisol des sujets ayant reçu le plus d’amour maternel était associé à une forte estime de soi, tandis que ceux en ayant eu le moins en avaient une beaucoup plus faible.

Par ailleurs, il semble qu’un faible taux d’hormone du stress peut être un bon ou un mauvais signe. Il faudrait à la fois dépister la baisse de cortisolémie et faire des évaluations psychologiques afin de savoir si une personne est vulnérable au stress.

Malgré tout, ces deux recherches démontrent que l’amour d’une mère peut avoir une influence positive sur le développement du cerveau de son bébé.

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Manger des bananes pour réduire le stress

Les bananes contiennent de nombreux éléments nutritifs, mais saviez-vous qu’elles pouvaient vous aider à faire face au stress?
 
En plus de posséder des fructo-oligosaccharides qui diminuent le cholestérol et les risques de maladies cardiaques, les bananes favorisent la production de sérotonine, mieux connue sous de nom de l’hormone du bonheur.
 
En effet, cette hormone améliore l’humeur et stabilise les émotions. Du même coup, les bananes sont donc également recommandées pour prévenir les dépressions.
 
Comme elles possèdent aussi de la vitamine B, qui gère le système nerveux, elles aident le corps à se sentir plus détendu.
 
Il ne faut pas non plus oublier que le potassium contenu dans les bananes stabilise la fréquence cardiaque, mentionne la revue Genius Beauty.
 
Les nombreux bienfaits des bananes sont même encore plus grands, alors il ne faut pas négliger leur consommation dans notre alimentation quotidienne.
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Le café a plus d’effets positifs sur les femmes

Une étude parue dans le Journal of Applied Social Psychology affirme que le café a plus d’effets positifs sur les femmes que sur les hommes.
 
Bien des gens consomment du café au travail afin de surmonter le stress, mais une étude mentionne que les performances des femmes sont nettement améliorées avec le café.
 
Selon les tests effectués, les femmes obtenaient un meilleur rendement que les hommes après avoir bu du café. Elles étaient notamment plus rapides pour terminer un casse-tête de 100 morceaux.
 
Les chercheurs constatent que devant le stress, les hommes peuvent réagir de façon plus agressive, alors que les femmes sont plus aptes à collaborer, ce qui explique en partie pourquoi elles obtiennent de meilleurs résultats.
 
De plus, le café augmente la dopamine et aiderait ainsi les gens à faire face au stress.
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Manger diminuerait la mauvaise humeur

Dans une situation de stress, de nombreuses personnes mangent plus et pour cause, la nourriture permettrait de diminuer la mauvaise humeur.
 
Selon une recherche parue dans le Genius Beauty, le tiers des employés se tournerait vers la nourriture en période de stress afin de lutter contre des sentiments désagréables.
 
Certaines personnes consomment également une collation afin de refaire le plein d’énergie pour les aider à passer à travers une journée épuisante.
 
L’étude révèle aussi que le stress ferait adopter une alimentation malsaine, puisque 80 % des salariés avouent que dans une telle situation, ils mangent plus de malbouffe, d’aliments sucrés ou autres produits malsains pour la santé.
 
25 % des 3 000 répondants affirment que la nourriture les aide à se calmer après qu’ils se soient disputés avec leur partenaire. Pas étonnant donc que manger soit considéré comme une source de réconfort.
On estime qu’une personne pense à la nourriture en moyenne pendant 1 h 40 par jour au total.
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Les travaux ménagers sont une grande source de stress

Ce n’est pas le travail qui cause le plus grand stress chez les gens, mais plutôt les tâches ménagères, selon une recherche dévoilée par la revue Psychosomatic Medicine.
 
Le stress généré par les tâches à la maison est donc plus nocif pour la santé cardiaque, mentionnent les chercheurs qui ont interrogé 100 travailleurs. La gestion d’une maison fait grandement augmenter la pression artérielle. Ce n’est pas la charge de travail qui pose problème, mais la façon dont nous gérons les choses.
 
L’hypertension augmente plus avec le nettoyage, la cuisine et le magasinage. Suivent de près l’entretien et les réparations sur la voiture, le paiement des factures et le maintien d’un budget équilibré.
 
Toutefois, on remarque que s’occuper des enfants ou encore des animaux n’a aucun effet néfaste sur la tension artérielle.
 
Les chercheurs ajoutent que ce sont les femmes qui sont plus touchées par le stress de la maisonnée, car elles exécutent plus souvent les tâches et voient au bon fonctionnement de celles-ci.
 
De plus, les familles défavorisées sont encore plus affectées que les autres.
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Un plus gros placenta chez les femmes stressées

Après avoir suivi 75 000 femmes enceintes, des chercheurs ont démontré que le stress augmentait la taille du placenta.

L’étude en question, dirigée par la Faculté de psychologie de Bâle, en Suisse, a été publiée dernièrement dans le magazine PloS One.

Dans le cadre de celle-ci, on a pu constater que le placenta était plus gros et plus lourd à la naissance de l’enfant chez les femmes vivant le plus grand stress.

Parmi les éléments stressants relevés, on compte ceux reliés au milieu de travail et à la vie familiale.

Il semble que ce développement accru du placenta proviendrait d’un besoin de protection du bébé. Il protégerait le fœtus des effets néfastes du stress.

D’autre part, les chercheurs ont remarqué que des facteurs comme la peur et la dépression n’ont aucune incidence sur la grosseur du placenta.

On ignore encore si la taille du placenta a une influence sur la santé du bébé.

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Les répercussions d’une dépression durant la grossesse

Des chercheurs ont remarqué certaines différences physiques et émotives chez les bébés dont la mère a souffert de dépression durant la grossesse.

L’étude en question de l’Université du Michigan, parue dans l’Infant Behaviour and Development, indique que les cascades d’émotions vécues par la mère pourraient influer sur le développement du cerveau de son enfant.

Une fois venu au monde, celui-ci aurait moins de tonus musculaire et un taux plus élevé d’hormones du stress. Il y serait donc plus sensible et y répondrait de manière plus forte. Il pourrait aussi avoir plus de difficulté à gérer ce stress.

Cette étude et d’autres pourront mener à un meilleur encadrement des femmes enceintes souffrant de dépression et à la mise en place de programmes efficaces dans le traitement du post-partum.

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Les régimes yo-yo affectent le cerveau

Selon le Journal of Neuroscience, une étude de l’Université de Pennsylvanie a examiné le comportement et le niveau de l’hormone de stress de souris mises au régime.
 
Les chercheurs ont constaté que les souris au régime étaient plus stressées. Aussi, lorsqu’elles revenaient à une alimentation normale, elles mangeaient plus de nourriture grasse que les souris qui n’avaient jamais suivi de régime.
 
Après trois semaines de régime, les souris avaient perdu 10 à 15 % de leur poids, tout comme les humains qui suivent les régimes pour perdre du poids rapidement, mais bien souvent, ils reprennent les kilos perdus et même plus.
 
Au régime, le niveau d’hormone du stress augmente et on constate également que des gènes sont altérés. De plus, ce changement persiste lors du retour à une alimentation normale. Ainsi, le cerveau ne répond plus de la même façon au stress.
 
« Ces résultats suggèrent que faire un régime augmente non seulement le stress, ce qui rend son succès difficile, mais reprogramme aussi les réactions du cerveau vis-à-vis de la nourriture face à des situations de stress ou des impulsions émotionnelles », disent les chercheurs.
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Au moins 8 % des enfants canadiens font de l’hypertension

Une équipe de l’Université Brock, en Ontario, étudie l’influence du milieu sur l’hypertension et l’obésité chez les enfants, une première au Canada, pouvons-nous lire sur Medical News Today.

Les données actuelles ne sont pas rassurantes. En effet, jusqu’à 8 % des jeunes Canadiens ont une pression artérielle requérant un suivi ou des soins, alors que 1,5 % d’entre eux souffrent d’hypertension sévère.

Or, si l’on a pointé du doigt jusqu’ici l’obésité et les mauvaises habitudes de vie, il semble que les problèmes de santé des enfants pourraient tout autant provenir de leur milieu de vie.

Dans l’étude en question, qui en est à sa quatrième année, on a pu remarquer que les enfants qui vivent au sein de familles plus défavorisées étaient plus en contact avec différents stress quotidiens. Cela peut amener l’enfant à développer une haute pression artérielle à un jeune âge.

L’équipe d’experts de l’Université Brock a donc mis en place un programme en quatre étapes pour ces enfants, lequel a pour but de les outiller émotionnellement pour faire face au stress qu’ils peuvent vivre.

Rappelons que l’hypertension peut entraîner de graves dommages au coeur et qu’elle est l’une des grandes causes des maladies cardiovasculaires.