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Pour relaxer, choisissez Salt Lake City au lieu de Détroit

Le site web Portefolio.com vient de publier le classement des villes les plus stressantes des États-Unis, un palmarès basé sur une multitude de facteurs dont le taux de chômage, la criminalité, la santé et les niveaux de vie.

En considérant tous ces facteurs, le site a élu Détroit au sommet des villes les plus stressantes du pays, tout juste avant Los Angeles et Cleveland, respectivement deuxième et troisième.

La Californie compte, avec Riverside qui est la quatrième ville jugée la plus stressante, une 2e ville dans le top 5 de cette liste où il est préférable d’occuper les derniers rangs.

La 5e position revient à St. Louis, l’une des grandes villes du Missouri.

Pour compléter le top 10 de ces villes où vos chances de rencontrer des habitants désagréables semblent être plus élevées qu’ailleurs aux États-Unis, on retrouve sans grande surprise New York en 6e position, de même que la Nouvelle-Orléans, Chicago, Birmingham et Miami-Fort Lauderdale.

À l’inverse, la ville qui présente le moins de facteurs pouvant stresser sa population est Salt Lake City, dans l’Utah. Elle est suivie de Virginia Beach en Virginie, de Minneapolis-St.Paul au Minnesota, Raleigh en Caroline du Nord et Austin au Texas.

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Le stress accentue les symptômes prémenstruels

Les symptômes prémenstruels, comme les fringales, les changements d’humeur, la douleur, les crises de larmes, la fatigue et les crampes, sont plus forts chez les femmes stressées.
 
Des chercheurs du National Institute of Child Health and Human Development mentionnent que le stress accentue les symptômes dans les deux semaines précédant les règles chez la femme.
 
« Il est possible de réduire ou prévenir la gravité de ces symptômes avec des techniques qui aident les femmes à faire face plus efficacement au stress comme le biofeedback, le sport ou la relaxation », mentionne la chercheuse Audra Gollenberg au Journal of Women’s Health.
 
« Certaines femmes dont les symptômes sont plus graves peuvent avoir recours aux médicaments. Cependant, de prochaines études pourront mettre en lumière que les techniques de réduction du stress peuvent fournir une alternative efficace aux médicaments pour certaines femmes », ajoute Mary Hediger du National Institute.
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La déshydratation peut causer le stress

Le stress n’est pas seulement causé par des soucis au travail ou à la maison. Un manque de liquide peut aussi être à l’origine de cet état.
 
L’organe le plus sensible à l’eau est le cerveau. L’eau est essentielle pour notre corps, elle agit comme lubrifiant, régularise la température corporelle et fournit les minéraux et électrolytes à l’organisme.
 
Toutes les parties du corps ont besoin d’eau. Si elles en manquent, leurs fonctions commencent à diminuer. De plus, un manque expose aux bactéries et virus et rend donc plus sensible au stress. La soif est l’un des premiers signes de déshydratation.
 
Si la déshydratation survient une ou deux fois, il n’y a pas de soucis, mais si vous êtes souvent en manque de liquide, vos fonctions immunitaires pourraient en être affectées. Il est donc important de boire beaucoup, mentionne MedicMagic.
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L’exercice physique provoque un sentiment de satiété

Le journal PLoS Biology rapporte que l’exercice physique provoque un sentiment de satiété. C’est ce qu’ont découvert des chercheurs brésiliens de l’Université de Campinas.
 
Voici donc une autre raison de se mettre à bouger, car cela vous « nourrit » et donc vous mangerez moins.
 
« Chez les animaux obèses, l’exercice sportif accroît les taux de protéines IL-6 et IL-10 dans l’hypothalamus. Ces molécules jouent un rôle crucial dans l’accroissement de la sensibilité aux hormones qui contrôlent l’appétit, l’insuline et la leptine », mentionne le directeur de l’université, José Barreto C. Carvalheira.
 
De plus, l’exercice physique vous fera brûler des calories et, par conséquent, vous fera perdre quelques kilos, vous permettra de garder la forme, de diminuer votre stress et d’augmenter votre énergie. Cela augmente également votre hormone du bonheur et peut même améliorer votre sommeil.
 
Jumelé à un régime alimentaire équilibré, l’exercice physique n’aura que des bienfaits sur votre vie.
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Les bébés deviennent anxieux s’ils sont ignorés de leur mère

Une étude démontre que les bébés de six mois qui n’ont pas l’attention de leur mère, même pendant deux minutes, voient leur niveau d’hormone du stress, le cortisol, augmenter.
 
De plus, après quelques tests, les chercheurs ont remarqué que ces bébés devenaient aussi stressés le lendemain lorsqu’on les remettait dans une même situation de peur et que leur mère les ignorait encore une fois.
 
Selon le Dr David Haley de l’Université de Toronto, cela démontre que les bébés ont la capacité de développer une réponse de stress d’anticipation basée sur le comportement qu’ils s’attendent à recevoir de leurs parents dans une situation donnée.
 
Les experts en développement des enfants affirment que ce genre d’épisodes de stress vécus de façon répétée pourrait avoir des effets considérables sur la santé de l’enfant tout au cours de sa vie.
 
Cela démontre également qu’une dépression chez la mère peut grandement affecter sa relation avec son enfant. Il est donc important de se faire soigner rapidement.
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Les femmes ont moins de chances de tomber enceintes, si elles sont stressées

Des chercheurs britanniques viennent de démontrer pour la première fois qu’il existe bel et bien un lien entre un niveau élevé de stress et la difficulté de concevoir un enfant.

Selon les travaux de la Dre Cecilia Pyper et son équipe de l’Université d’Oxford, parmi les 300 femmes qui ont participé à la recherche, on a constaté que celles qui avaient un taux élevé d’adrénaline avaient 12 % moins de chances de tomber enceintes, rapporte le journal Fertility and Sterility.

On recommande donc aux couples qui tentent d’avoir un enfant de pratiquer des techniques de relaxation, ce qui pourrait grandement les aider.

Rappelons que d’autres facteurs peuvent également réduire les chances de concevoir un enfant, comme l’âge, un surpoids, la consommation d’alcool et le tabac. Toutefois, ce sont tous des facteurs qui peuvent être modifiés, avec un peu de volonté.

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Les femmes ont moins de chances de tomber enceintes, si elles sont stressées

Des chercheurs britanniques viennent de démontrer pour la première fois qu’il existe bel et bien un lien entre un niveau élevé de stress et la difficulté de concevoir un enfant.

Selon les travaux de la Dre Cecilia Pyper et son équipe de l’Université d’Oxford, parmi les 300 femmes qui ont participé à la recherche, on a constaté que celles qui avaient un taux élevé d’adrénaline avaient 12 % moins de chances de tomber enceintes, rapporte le journal Fertility and Sterility.

On recommande donc aux couples qui tentent d’avoir un enfant de pratiquer des techniques de relaxation, ce qui pourrait grandement les aider.

Rappelons que d’autres facteurs peuvent également réduire les chances de concevoir un enfant, comme l’âge, un surpoids, la consommation d’alcool et le tabac. Toutefois, ce sont tous des facteurs qui peuvent être modifiés, avec un peu de volonté.

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Les enfants qui marchent pour aller à l’école sont moins stressés

Une nouvelle étude révèle que les enfants qui marchent chaque matin pour se rendre à l’école sont moins stressés pour leur journée en classe que ceux qui sont conduits en voiture ou en autobus.

De plus, la marche est une activité physique, verte et peu coûteuse. Elle permet de diminuer la fréquence cardiaque et la pression artérielle, deux facteurs qui peuvent mener à des maladies cardiovasculaires plus tard.

Selon des chercheurs de l’Université de Buffalo, le processus des maladies cardiovasculaires débute dès l’enfance : il est donc important de trouver des moyens de freiner son évolution. L’activité physique est un excellent protecteur, et la marche est sans doute la plus accessible des activités.

Des études précédentes ont démontré que les enfants qui marchent pour se rendre à l’école étaient plus alertes et prêts à travailler lorsqu’ils arrivent en classe.

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Les bébés les plus dorlotés en retirent des bénéfices une fois adultes

Il serait faux de croire qu’une mère est trop « mère poule » avec son bébé. Une étude américaine dévoile que les mamans qui procurent beaucoup d’affection à leur enfant, alors qu’ils n’ont que huit mois, en feront des adultes beaucoup plus posés et moins stressés, rapporte le Journal d’épidémiologie et de santé communautaire.
 
482 personnes du Rhode Island ont participé à cette étude qui s’est échelonnée sur plusieurs années.  Les chercheurs ont d’abord évalué le lien entre la mère et leur bébé, alors âgé de huit mois. Lorsque ces enfants ont eu 34 ans, on leur a fait passer un test pour connaître leur niveau d’anxiété, d’hostilité et de mal-être en général.
 
Au départ, les mères avaient été catégorisées en trois groupes, soit celles qui donnaient peu d’affection, celles qui démontraient de l’affection normalement et celles qui étaient plus excessives.
 
Alors que les chercheurs se surprennent de constater qu’il n’y a pas de différence chez les deux premiers groupes, les enfants ayant reçu énormément d’affection étaient devenus des adultes moins anxieux, hostiles et se sentaient beaucoup mieux en général que les autres.
 
Cela démontre clairement que les expériences, même celles vécues à un très jeune âge, influencent la vie d’adulte. Plus on est dorloté lorsqu’on est bébé, mieux on sera préparé pour affronter les problèmes de la vie à l’âge adulte.
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Le stress est génétique

En effet, les chercheurs ont découvert que le stress est provoqué par un gène que nous avons hérité de nos parents.

Ce qui explique pourquoi certaines personnes arrivent à garder la tête froide et d’autres tombent en morceaux devant une situation difficile.

C’est la toute première fois que l’on observe des variations génétiques pour le stress, rapporte le Daily Mail.

Pour en arriver à ces conclusions, des scientifiques ont observé des images du cerveau de personnes devant une situation stressante. On a utilisé des scènes violentes d’un film, des photographies de visages en colère et effrayés, pour provoquer ce stress.

Dans la région de l’amygdale, celle qui nous permet de décoder nos émotions, il y avait plus d’activité chez les personnes qui avaient hérité du gène du stress.

On note que la moitié de la population possèderait ce gène qui nous fait perdre nos moyens.