Une équipe de chercheurs de la faculté de médecine de l’Université Emory à Atlanta s’est penchée sur la sévérité des symptômes qui varie considérablement chez les adultes ayant vécu un traumatisme lors de leur enfance.
Selon eux, les variations du gène FKBP5, qui joue un rôle dans les réactions de l’organisme face au stress, pourraient expliquer la variation des symptômes des troubles post-traumatiques.
900 adultes, ayant vécu de forts traumatismes au cours de l’enfance, ont participé à cette étude, menée par la Dre Rebekah Bradley. L’équipe de la Dre Bradley a réussi à identifier le gène FKBP5 comme responsable de la sévérité des troubles post-traumatiques, qui touchent environ 8 % des Américains.
Tous les détails de la recherche sont publiés dans le journal de l’Association médicale américaine.