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Un gène associé au stress post-traumatique

Une équipe de chercheurs de la faculté de médecine de l’Université Emory à Atlanta s’est penchée sur la sévérité des symptômes qui varie considérablement chez les adultes ayant vécu un traumatisme lors de leur enfance.

Selon eux, les variations du gène FKBP5, qui joue un rôle dans les réactions de l’organisme face au stress, pourraient expliquer la variation des symptômes des troubles post-traumatiques.

900 adultes, ayant vécu de forts traumatismes au cours de l’enfance, ont participé à cette étude, menée par la Dre Rebekah Bradley. L’équipe de la Dre Bradley a réussi à identifier le gène FKBP5 comme responsable de la sévérité des troubles post-traumatiques, qui touchent environ 8 % des Américains.

Tous les détails de la recherche sont publiés dans le journal de l’Association médicale américaine.

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Une explication du syndrome de la guerre du Golfe

Plus de 15 ans après l’invasion américaine en Irak, des scientifiques ont réussi à identifier la cause du syndrome de la guerre du Golfe dont sont atteints environ 100 000 militaires américains, canadiens et britanniques, ce qui représente entre 26 et 32 % des effectifs déployés lors du conflit.

Selon les chercheurs de l’École de médecine de l’Université de San Diego en Californie, l’exposition à des substances toxiques dangereuses aurait causé ce syndrome, qui se caractérise par des douleurs musculaires, une fatigue chronique, des problèmes respiratoires, une perte de mémoire et de l’insomnie.

Il semblerait que certains médicaments, fournis par l’armée pour protéger les troupes contre des gaz neurotoxiques et des pesticides, auraient provoqué le syndrome.

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Prévenir le stress au travail

Le stress vécu au travail peut engendrer des conséquences psychologiques et émotionnelles difficiles. Lorsque vécues à long terme, ces dernières peuvent affecter la santé des individus qui les vivent. Les employés et employeurs devraient être alertes pour détecter et éviter les situations stressantes récurrentes.

Il est possible de consulter le site Internet Passeport Santé qui donne accès à des informations fiables concernant la santé psychologique. Les origines ainsi que les symptômes du stress y sont décrits, ainsi que des trucs et conseils pour le déceler.

Le manque d’autonomie ou de reconnaissance au travail est un exemple de source de stress analysé par les experts de ce site.

Aussi au menu, des solutions proposées pour prévenir et régler les sources de stress au travail.

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Une découverte qui explique le tabagisme et l’alcoolisme

Selon une étude présentée au Congrès de la Société canadienne de cardiologie, il y aurait une relation d’ordre génétique entre le stress, le tabagisme et l’alcoolisme.

Les gènes d’où provient notre façon de réagir au stress seraient aussi les responsables de nos prédispositions à l’alcoolisme et au tabagisme.

Les résultats de cette étude menée au Saguenay montrent que les individus de nature stressée auraient génétiquement tendance à consommer alcool et tabac.

Les chercheurs auraient constaté que plus d’hommes que de femmes vivraient des situations de stress intense entraînant l’alcoolisme et le tabagisme.

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Le comportement du cerveau face au stress

À la suite d’essais et d’expériences sur des souris, les chercheurs des Université de Harvard et de Southwestern affirment que la vulnérabilité au stress se mesurerait par le niveau de neurotrophine dans certaines parties du cerveau associées aux émotions.

Dans le cerveau, la survie de différents types de neurone dépend de cette protéine qu’est la neurotrophine.

Les chercheurs ont pu observer un accroissement de la dite protéine dans le cerveau des rongeurs les plus sujets au stress. Le niveau de neurotrophine est par contre demeuré stable chez les souris dont les réactions semblaient plus calmes.

Grâce à cette découverte, de nouveaux médicaments pouvant être utiles en situation de stress intense pourraient éventuellement voir le jour.

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Prendre votre emploi trop à coeur…

Selon des chercheurs canadiens, trop de pression et de stress dans un milieu de travail pourraient augmenter les risques d’une deuxième ou même troisième crise de coeur.

D’après l’étude publiée dans le Journal of the American Medical Association, un retour au travail dans un milieu stressant pourrait mener à la mort ceux qui ont déjà eu un infarctus. Ces derniers courent deux fois plus de risques de refaire une crise cardiaque, et ce, autant pour l’homme que pour la femme.

Selon les explications du Dr Shukri David, cardiologue en chef du Providence Hospital, une situation stressante au travail pourrait avoir un impact sur le taux de mauvais cholestérol, et ainsi induire des problèmes d’artères bloquées suivis d’un infarctus.