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Et si on cessait de se stresser avec les cadeaux de Noël?

Encore faut-il trouver le temps et le cadeau parfait, sans se ruiner. Osez changer les règles du jeu. Soyez l’instigateur d’une initiative qui fera sans doute plaisir à plus de gens que vous le croyez, comme le mentionne SheKnows.

La pige – Pigez le nom d’un membre de votre famille, et c’est à lui uniquement que vous offrirez un cadeau. Un principe simple, sous-exploité. Un budget prédéterminé, 3 choix sur chaque papier, et vous décidez lequel vous achetez.

Un échange rigolo – Prenez un article que vous ne souhaitez plus avoir chez vous. Emballez-le et glissez-le sous le sapin familial. Cela ne vous coûtera rien, et vous pouvez même faire participer les enfants entre eux. Choisissez des articles farfelus ou, au contraire, des choses qui pourraient être utiles à d’autres, comme un livre.

Une thématique – Choisissez un thème pour toute la famille. Un seul cadeau. Un montant global à ne pas dépasser, puis un thème qui peut aller d’une couleur à un article défini comme une bouteille de vin ou un article de cuisine.

Fait à la main – Que ce soit une confiture, un pâté maison, un tricot, une peinture, nous avons tous un talent caché. Voilà l’occasion de s’en servir et d’offrir des cadeaux personnalisés, qui viennent du cœur et non du magasin.

Aucun cadeau – Oui, certaines familles décident d’offrir des cadeaux uniquement aux enfants. Pensez-y.

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Des jeunes de plus en plus stressés et fatigués

Top Santé rapporte quelques statistiques étonnantes et inquiétantes concernant la jeune relève de l’humanité, alors qu’une étude-sondage française dresse un sombre portrait de la santé mentale chez les 20-35 ans.

D’abord en termes de stress et de fatigue, alors que plus de 50 % des jeunes répondants à l’étude affirment « subir un stress élevé », et que plus de 40 % avouent ressentir de l’épuisement ou de la fatigue découlant d’un trouble du sommeil (insomnie, cauchemars, réveils fréquents, etc.).

Étonnant, si l’on considère que ces statistiques semblent fondre de moitié chez les répondants plus âgés…

Pire encore, il semble qu’une personne âgée entre 20 et 34 ans sur trois souffre de problème de dépression ou de troubles de l’humeur. Ces symptômes psychologiques mènent finalement près de 60 % des jeunes à surconsommer de l’alcool, toujours selon les résultats de l’étude effectuée en France.

Bien qu’il s’agisse d’un phénomène qu’on pouvait déjà ressentir, constater de tels résultats suite à une étude du genre a de quoi inquiéter.

Aucune réponse quant aux raisons qui expliquent ce phénomène n’est avancée ici, mais les chercheurs devront certainement se pencher sur les causes de cet inquiétant portrait de la santé mentale de la jeune génération, afin d’en trouver les solutions.

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La modération a bien meilleur goût, même dans le sport

Le professeur et pédiatre Richard Bélanger souhaite sensibiliser les amateurs de sport au phénomène de surentraînement, rapporte Radio-Canada, notamment chez les jeunes.

Le Dr Bélanger indique que même s’il est fantastique et hautement bénéfique de s’intéresser au sport et de pratiquer des activités physiques, il est tout aussi important de savoir tracer une ligne et d’éviter d’en faire trop.

Pour étayer ses propos, le spécialiste s’est allié à des chercheurs de l’Université de Genève et de l’Université de Suisse pour mener à bien une étude sur le sujet. L’équipe a donc analysé les cas de 1245 jeunes individus, âgés de 16 à 20 ans.

En observant différents facteurs et différentes réactions chez les sujets de l’étude, Bélanger et ses collègues ont déduit que la « norme » de temps accordé aux activités physiques devrait s’établir à 7 heures par semaine.

En dépassant ce nombre, il semble que plusieurs problèmes puissent survenir, à savoir du surmenage, des troubles de l’humeur, des symptômes dépressifs et du stress.

Comme quoi la modération a bien meilleur goût, même dans le sport!

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5 trucs pour aider les familles d’enfants autistes à rendre Noël moins stressant

Medical News Today a mis en ligne cette semaine le top 10 des trucs et astuces de l’Institute for Behavioral Training (IBT). Ceux-ci ont pour objectif d’aider les familles avec des enfants autistes à réduire les situations stressantes lors des festivités.

Voici quelques suggestions :

1. Préparez un agenda clair, visuel, que vous afficherez. Prévoyez dans chaque journée de festivité suffisamment de périodes de retrait ou de repos. Toute la famille doit être avisée et participer.

2. Faites participer votre enfant qui souffre du trouble du spectre autistique (TSA) à la planification de cet horaire. Faites-lui choisir l’ordre dans lequel se déroulera l’horaire. Par exemple : librairie en premier, épicerie en second, arcade par la suite, etc.

3. Prévoyez au moins une journée consacrée à le sortir du brouhaha du temps des fêtes, comme une journée au musée.

4. Réduisez les périodes de rencontres dans les fêtes en famille. Si la célébration chez votre frère est à 15 h et se termine à minuit, avisez que vous arriverez pour le souper et repartirez 3 heures plus tard, et respectez cet horaire.

5. Choisissez vos batailles. Entre le bien-être de votre enfant et l’opinion des autres, c’est le bien-être qui prime.

La liste complète peut être consultée au lien suivant : Medical News Today.

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La taille d’une partie du cerveau reliée au niveau d’anxiété des enfants

Selon les chercheurs de la Stanford University School of Medicine, en mesurant la dimension de l’amygdale et l’ampleur de sa connectivité avec les autres parties du cerveau, on peut déterminer le niveau d’anxiété vécu par l’enfant dans son quotidien.

Vinod Menon mentionne cependant qu’une amygdale plus développée ne veut pas nécessairement dire que l’enfant passera obligatoirement par la dépression ou des troubles sévères d’anxiété plus tard. « Il s’agit d’un pas important dans l’identification des jeunes enfants qui sont à risque. »

En tout, 76 participants âgés de 7 à 9 ans ont été examinés. Menon et l’équipe de chercheurs ont été stupéfiés de voir la corrélation, très probante, entre le niveau de stress de l’enfant et le surdéveloppement de l’amygdale.

Les chercheurs ont identifié quatre systèmes néocorticaux fonctionnels touchés par l’amygdale. La perception, l’attention et la vigilance, la récompense et la motivation, puis le stimulus émotionnel et la gestion de celui-ci.

Comprendre l’influence de l’anxiété chez l’enfant en rapport avec des troubles anxieux plus sévères à l’âge adulte représente un bel espoir de traitement préventif, rapporte MedicalXpress.

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Attaquer la fatigue hivernale de plein fouet

Avec les premières neiges qui s’installent arrive souvent la fameuse dépression saisonnière, mais aussi ce qu’il serait convenu d’appeler la « fatigue hivernale », alors que notre corps se met à l’heure d’une nouvelle saison froide et grise, en plus du changement apporté à l’horloge qui provoque l’obscurité plus tôt qu’à l’habitude.

Inutile de sous-estimer le phénomène ou d’attendre que celui-ci se pointe sournoisement, alors que Top Santé fait part de quelques conseils pour attendre cette vague de fatigue de pied ferme et pour la contrer de façon proactive.

Certaines sources font état d’une statistique qui indique qu’une personne sur deux serait frappée de ce mal à l’arrivée de l’hiver, notamment à cause d’une alimentation inadéquate, d’un manque de sommeil, du stress quotidien et du manque de luminosité.

Il est donc convenu de mettre en veilleuse les vieilles habitudes alimentaires néfastes et axées vers la nourriture grasse, au profit d’un festival de fruits et légumes, de vitamines et de repas équilibrés.

La vitamine B, notamment, semble être l’une des clés du bon fonctionnement en hiver, alors que la B1, la B6, la B9 et la B12 permettent une amélioration du système immunitaire et des hausses d’énergie.

On suggère aussi fortement de ralentir le rythme professionnellement, c’est-à-dire de prévoir une charge moins lourde de travail, en plus de congés. Il est important de s’offrir un ou deux mois de réduction de stress, et ce genre de tour de force n’est possible que par la volonté personnelle.

Dans la même veine et en terminant, la première étape pour éviter la fatigue ou le surmenage d’hiver, c’est d’avouer que le phénomène existe et de ne pas jouer au surhomme avec votre corps.

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Une étude vante les mérites de la conscience contre les effets du vieillissement

Tout le monde doit maintenant savoir qu’un régime alimentaire équilibré ainsi qu’un programme d’exercice physique régulier permettent d’afficher une meilleure mine, une meilleure taille et une meilleure santé en général.  

Mais une nouvelle étude vient ajouter un troisième volet, souvent négligé, à cette quête de santé et de prévention des effets du vieillissement. Il s’agit du soin de la conscience et de l’esprit, par des moyens comme la méditation, par exemple.

Surmonter et éviter le stress quotidien, l’angoisse et les appréhensions de l’avenir seraient donc des facteurs aussi importants que l’alimentation et l’exercice physique, selon Santé Log, qui rapporte les conclusions d’une équipe de chercheurs présentées lors de Conférence Neuroscience 2013.

Les spécialistes impliqués dans l’étude ont observé l’impact de différentes actions et mesures sur la santé de rongeurs, et ont pu vérifier l’importance des émotions et de la bonne santé de l’esprit sur les effets du vieillissement.

Bien qu’un régime faible en calories et un style de vie actif ont également clairement démontré leurs effets bienfaiteurs sur la santé et contre le vieillissement lors de l’étude, l’équipe de chercheurs croit qu’il est maintenant temps d’accorder autant d’importance à l’humeur et à la gestion du stress, en cette ère moderne.

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Les hypocondriaques et Google ne font pas bon ménage

De plus en plus de gens consultent Google pour obtenir des explications médicales sur certains symptômes, ce qui agace un bon nombre de spécialistes et de praticiens, selon ce que rapporte le Telegraph (UK).

C’est que non seulement le célèbre moteur de recherche et les nombreux forums de discussion inhérents ne sont pas conçus pour diagnostiquer, ils ne font souvent que jeter de l’huile sur le feu pour les personnes sensibles ou carrément hypocondriaques.

Véritable phénomène en pleine progression, la « cyber-hypocondrie » ne fait que créer des paniques inutiles et perdre un temps précieux aux médecins qui doivent se battre contre un faux premier « diagnostic », croit justement le Dr Thomas Fergus de l’Université Baylor, au Texas.

Fergus croit que les dangers liés à l’utilisation de Google ou d’un autre moteur de recherche pour des fins de diagnostic sont nombreux. D’abord, les gens pourraient décider de s’automédicamenter en se basant sur ces résultats, mais plusieurs patients ressentiront aussi une anxiété et une détresse psychologique devant une situation qui n’existe probablement pas ou qui s’avère une distorsion de la réalité.

On conseille vivement de plutôt consulter un médecin pour connaître les explications entourant un ou plusieurs symptômes.

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La superstition en traitement de l’anxiété

Superstitieux, mais moins anxieux? C’est un peu la logique qui se cache derrière les révélations rapportées par Top Santé, qui font état des bienfaits de la superstition en « traitement » des troubles anxieux.

Des chercheurs américains, de l’Université de Chicago, tracent un lien direct entre certaines actions superstitieuses et des niveaux de stress et d’anxiété plus bas, ce qui porte à croire que l’on pourrait utiliser cette méthode pour traiter certains troubles anxieux de façon partielle.

Bien que la superstition soit associée à la magie, au mystique, au karma et au cosmique, les psychologues sont loin de réfuter son utilité. Ils expliquent simplement que ces gestes, comme celui de toucher du bois ou de placer un porte-bonheur à un endroit clé, touchent une fibre importante de la psychologie humaine et permettent à l’individu qui pose le geste de se rassurer.

« Nous pouvons chercher à nous débarrasser des superstitions au nom de la modernité et du progrès, mais cela risque d’être difficile, car même si ces gestes nous semblent superficiels et irrationnels, ils sont parfois nécessaires. Les rituels superstitieux marchent vraiment. Ce n’est pas de la magie, c’est de la psychologie », peut-on lire dans les conclusions de l’étude publiée par le Journal of Experimental Psychology.

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Le divorce serait particulièrement dangereux pour la santé des hommes

Top Santé rapporte une étude qui confirme certaines théories précédemment avancées par des spécialistes, à savoir que les hommes qui traverseront un divorce risquent d’éprouver des problèmes de santé.

À tout le moins plus que les femmes, comprend-on des informations révélées dans cette étude en provenance de l’Université Cornell, aux États-Unis. On y apprend que les hommes divorcés voient les risques de mort prématurée, de suicide, de dépression et d’AVC augmenter considérablement.

Même chose en ce qui concerne l’abus d’alcool ou la toxicomanie, des comportements qui peuvent justement mener à certains autres problèmes de santé comme ceux énumérés précédemment.

Le professeur Ridwan comment l’étude : « La perception populaire de nombreuses cultures et les médias véhiculent l’idée que les hommes sont solides, résistants et moins vulnérables aux traumatismes psychologiques que les femmes. Il me semble que cette vision humaine est fausse. Les hommes ayant subi un traumatisme psychologique, comme le divorce, la faillite, la guerre et le deuil sont plus vulnérables que les femmes et perdent plus facilement et rapidement leurs points de repère ».

De plus, comme les hommes eux-mêmes vivent convaincus de ce stéréotype, ils seront moins enclins à demander et quérir de l’aide pour les aider à traverser le deuil et l’épreuve, croit Ridwan, à juste titre.

Deux autres études récentes ont par ailleurs indiqué de meilleures chances de survie au cancer (20 %) chez les hommes mariés, ainsi qu’une longévité accrue, en moyenne. Il semble que l’état civil d’un homme influence beaucoup plus sa destinée qu’on aurait pu le croire.