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L’exercice pendant la jeunesse entraine une structure osseuse plus résistante

Une nouvelle recherche effectuée par le professeur Stuart Warden et son équipe a été réalisée auprès de joueurs de baseball professionnels. Leur parcours pendant la jeunesse, leur carrière et leur retraite ont été pris en considération.

Warden a réalisé que l’exercice physique pendant l’enfance et l’adolescence permettait d’augmenter la force et même la grosseur des os, rapporte Medical News Today. Cela dit, ces caractéristiques perduraient, selon les résultats, pendant toute la vie, c’est-à-dire même jusqu’à 80 ans.

Plus spécifiquement, la moitié de la grosseur des os demeurait, ainsi que le tiers de la force de ceux-ci. « C’est un niveau de maintien impressionnant », rapporte le professeur, « particulièrement considérant que certains joueurs de baseball ne s’étaient pas exercés pendant plus de 50 ans ».

Ainsi, Warden conseille fortement aux enfants de faire au moins une heure d’exercice par jour, dont le tiers doit être consacré à une activité faisant travailler tout le squelette. Entre autres, la course, la corde à sauter, le tennis, le soccer, le basketball ou le volleyball.

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Les jeunes fumeurs altèrent la structure de leur cerveau

Selon Medical news today, les jeunes fumeurs, adolescents et jeunes adultes représentent le groupe de fumeurs le plus important en Amérique.

Or, à l’adolescence, le cerveau est encore en développement, et la cigarette a des conséquences directes sur la structure neurobiologique du cerveau, même si le jeune ne fume pas depuis longtemps. Ces changements apportent une plus grande dépendance à l’âge adulte.

C’est une recherche menée à la UCLA, chapeautée par Edythe London, professeure en psychiatrie et en médecine pharmacologique et moléculaire, qui a présenté cette conclusion. Les données sont publiées dans la revue Neuropsychopharmacology.

En tout, 42 participants de 16 à 22 ans ont contribué à l’étude. À l’aide d’une résonance magnétique de haute définition, les chercheurs ont découvert une altération du cortex insulaire, partie du cerveau fortement associée à la dépendance.

Parmi les candidats, 18 étaient des fumeurs. Chez ceux qui avaient commencé à fumer à environ 15 ans, le cortex insulaire était plus mince et s’amincissait encore plus lorsque le nombre d’années de consommation de nicotine augmentait.

London affirme que la recherche était modeste et doit donc faire l’objet d’une étude de plus grande ampleur, afin d’appuyer les présents résultats.

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Est-ce que les enfants s’amusent réellement de nos jours?

Vous êtes devenu parent. Mais vous avez déjà été un enfant. Rappelez-vous. Les activités se passaient principalement à l’extérieur, seul ou entre amis. Le jeu de cache-cache, la construction de cabanes avec presque rien. Il y  avait le jeu du loup (la « tag »), les jeux avec des cordes et des élastiques, on jouait librement avec le ballon dans la cour d’école après les classes.

Selon Parenting.com, les experts émettent un avertissement… les enfants ne s’amusent plus réellement. Ils sont en perpétuelle course à travers leurs différentes activités, qui sont toutes contrôlées. Lorsque ce n’est pas le cas, ils sont devant des jeux qui pensent à leur place, parlent à leur place.

L’imagination, la créativité, mais surtout la liberté de jouer ont été relayées au second plan au bénéfice d’une routine planifiée au quart de tour. Il est temps de redonner la place au jeu libre.

L’apprentissage prend beaucoup de place dans leur vie. Laissons-les être ce qu’ils sont avant tout… des enfants. « Retirer le jeu aux enfants cause plus de mal qu’on le croit pour leur développement », raconte le psychologue David Elkind, auteur du livre The Power of Play (Le pouvoir du jeu). « Le plus nuisible, c’est qu’on les pousse à grandir trop vite. »

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La mémoire des enfants est-elle suffisamment développée en 1re année?

Selon Vladimir Sloutsky, chercheur et professeur de psychologie à l’Ohio State University : « Les enfants de moins de 7 ans sont capables de se souvenir des événements sur une base individuelle. Nos résultats suggèrent cependant qu’il leur est très difficile de placer ces événements dans le bon contexte, au bon endroit et dans le bon ordre chronologique ».

Donc, la structure de la mémoire est plus complexe qu’il n’y paraît. Et elle continue à se développer après l’âge de 7 ans, surtout en ce qui a trait à la superposition d’éléments, rapporte medicalxpress.com.

Les tests effectués auprès d’enfants de 4 à 7 ans, puis également testés chez des adultes, démontrent clairement que les enfants ont de la difficulté à retenir des éléments qui s’entremêlent. Ainsi, lorsque des images présentées étaient regroupées par paires, puis distribuées dans la maison rouge ou la maison bleue, la mémoire des enfants s’arrêtait à la paire formée. Seuls les adultes pouvaient replacer les images dans leur contexte.

Coauteur de la recherche, Simon Dennis, de l’Université de Newcastle en Australie, explique : « Ces résultats démontrent que les enseignants et auteurs de livres pour enfants devraient tenir compte des limitations de la mémoire des jeunes enfants ».

Il ajoute également que les tribunaux ne devraient pas faire venir à la barre des enfants trop jeunes, puisque leur mémoire ne leur permet pas de séquencer les éléments de façon appropriée.

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Impact positif des aires de jeux naturelles chez les enfants

Selon medicalnewstoday.com, ces enfants sont également plus créatifs et utilisent donc plus leur imagination que les autres. Les faits sont rapportés par Dawn Coe, professeure adjointe du Department of Kinesiology, Recreation, and Sport Studies aux États-Unis. Il s’agit d’ailleurs de la première étude portant sur le sujet.

« Les aires de jeux aux structures rappelant la nature ont éclos un peu partout à travers le pays, mais rien de concluant sur l’impact n’avait été fait à ce jour », affirme Dre Coe. « Maintenant, nous savons. »

L’étude a débuté en juin 2011, alors que Dre Coe relevait l’activité physique des enfants utilisant les glissades de plastique et les balançoires en métal du UT Early Learning Center. Chaque utilisation de la glissade, l’intensité de l’activité physique, le temps passé sous le porche pour éviter le soleil, tout était pris en considération.

Par la suite, de grandes rénovations ont eu lieu au Learning Center. Des glissades faisant partie de la pente du terrain, de petits arbres et une crique artificielle, en plus de rochers et de fleurs, ont été intégrés à l’aire de jeu.

Cary Springer, une statisticienne de l’Office of Information Technology, est revenue sur les lieux pour assister Dre Coe. Les données par la suite recueillies ont démontré des changements significatifs.

Les enfants avaient plus que doublé leur temps de jeu, puis sautaient régulièrement en bas des buches, arrosaient les plantes, puis développaient des mouvements faisant travailler beaucoup plus la structure osseuse et musculaire.

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Découverte dans le domaine de la chimiothérapie

Selon la revue Nature, une équipe de la Duke University a découvert la structure de la molécule clé qui transporte la chimiothérapie vers les cellules.
 
« Connaître la structure et les propriétés de cette molécule “transporteur” peut être une clé pour modifier le principe d’action de certaines chimiothérapies », indique l’auteur principal des travaux, le Pr Seok-Yong Lee.
 
La molécule déplace les nucléosides, qui sont les blocs de construction de l’ADN et de l’ARN, de l’extérieur vers l’intérieur des cellules. Cette molécule transporte également la chimiothérapie.
 
La découverte de cette structure moléculaire pourrait améliorer l’efficacité des traitements contre le cancer. Les chercheurs pourraient aussi créer un médicament qui pénétrerait facilement les cellules sans endommager les tissus sains avoisinants.
 
« Maintenant, nous savons que la molécule transporteur dispose de trois formes qui reconnaissent les différents médicaments et sont adaptées aux différents tissus. Connaître la forme des transporteurs permettra aux scientifiques de concevoir des médicaments bien reconnus par ce transporteur », explique le Pr Lee.
 
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Les maladies neurodégénératives auraient toutes un point en commun

Des chercheurs américains et français viennent de découvrir que les maladies neurodégénératives auraient toutes un point un commun, soit la structure de leurs protéines.
 
Ce type de maladies comme le Parkinson ou l’Alzheimer se caractérise par le dépôt de protéines qui s’accumulent dans les tissus du cerveau et causent des dommages irréversibles.
 
En ce moment, on tente d’obtenir en 3D la structure atomique de ces dépôts afin d’en comprendre le mécanisme.
 
Toutefois, avec cette découverte d’un point commun entre les maladies neurodégénératives, on espère avoir une meilleure compréhension des maladies, mais surtout pouvoir mieux diagnostiquer les risques de développer la maladie.
 
On souhaite également que cela mène à la création de nouveaux médicaments qui permettraient notamment de freiner la formation des dépôts dans les tissus.