C’est le retour du look extrêmement évasé! Voilà déjà maintenant quelque 17 années depuis que ce look était en vogue et aujourd’hui, en 2024, il fait son comeback!
Bien sûr, on est plus dans la zone de l’inspiration de ce look que dans la récréation de celui-ci.
Il n’y a pas plus de 10 ans que le look serré et cintré était populaire chez les hommes; on voulait voir la silhouette et apparaître plus musclé grâce à des chandails très serrés et des pantalons skinny/droit. À l’heure d’aujourd’hui, on veut pouvoir deviner!
On ne se sait pas ce qui se cache en dessous et c’est ce qui fait son charme!
Manches évasées jusqu’au coude et pantalon évasé qui s’assoit sur les souliers.
Un look de type streetwear qui est extrêmement populaire, autant chez les femmes que chez les hommes.
Que ce soit pour un look de tous les jours, un look plus sport confortable ou un look plus chic, il y en a pour tous les goûts!
Rajoutez votre touche personnelle avec les accessoires de votre choix et on garantit que non seulement vous allez être confortable, mais vous allez avoir tout un swag!
Vous souvenez-vous de Soulja Boy? Un maître du genre à l’époque!
HollywoodPQ a eu la chance de s’entretenir avec la sympathique et adorableClaudia Bouvette en marge du lancement de la nouvelle série Projet Innocence (diffusée tous les mardis à 20h sur les ondes de Noovo) dans laquelle elle interprète le personnage de Vicky.
Lors de ce moment très agréable avec la chanteuse et comédienne, celle-ci s’est ouverte sur plusieurs sujets, dont son rôle dans la série, sa carrière et sa passion pour la mode!
HollywoodPQ: «Quelle est la facette de ton personnage qui t’a le plus intéressée?»
Claudia Bouvette: «Moi, ce que j’ai vraiment aimé de Vicky, c’est sa fougue. C’est une femme qui ne se laisse pas piler sur les pieds, qui a son intensité (…) Moi, en fait, ce qui m’intéressait c’est… au-delà de ce qu’on voit d’elle. C’est-à-dire qu’elle est dans le réseau de prostitution, qu’elle vit de la violence, que finalement son destin est fatal et qu’elle finit par en mourir. Je trouvais ça intéressant d’aller exploiter toute l’humanité derrière le personnage et que c’est une femme qui avait de l’ambition et qui avait un mot à dire… qui essayait de sortir de ça et qui avait une tête sur les épaules. Je te dirais que c’est la facette de mon personnage que je trouvais la plus intéressante à pousser. Et c’est important pour moi de défendre mon personnage et de défendre le fait qu’elle était bien plus que seulement une femme qui était victime (…)»
HPQ: «Est-ce qu’on la retrouvera dans les futurs épisodes?»
CB: «Oui. Vicky elle est… c’est sporadique, elle est dans des flashbacks tout au long de l’enquête. Quand on revient sur le cas et qu’on fait des associations, elle est un peu partout, mais c’est comme here and there, des petits sparks!»
HPQ: «Tu me parles de comment est ton personnage, avez-vous des similarités au niveau de la personnalité et du caractère?»
CB: «(…)Je pense que je suis quelqu’un qui a du torque et je sais relativement où je m’en vais dans la vie mais des fois non, c’est pour ça que je dis relativement (rires)! Mais, clairement, Vicky elle a un crunch, peut-être un petit crunch, un petit edge de crunch de plus!»
HPQ: «C’est quelque chose que tu aimes jouer?»
CB: «Je pense que c’est quelque chose que j’ai en moi et c’est pour ça que je suis capable, mais je suis plus nuancée. Je pense que je suis moins d’attaque que Vicky, mais c’est le fun. Moi, j’aime pouvoir faire des rôles qui me sortent de qui je suis et j’aime d’autant plus (…) quand il y a de la force dans le personnage!»
HPQ: «Tu es chanteuse et actrice, est-ce que tu as une préférence entre les deux?»
CB: Je te dirais que la chanson, c’est ma passion de cœur, c’est ce que j’ai toujours voulu faire. Ça a toujours été clair depuis que je suis toute jeune! (…) C’est très chargé pour moi la musique, parce que c’est extrêmement important et c’est un long processus de faire de la musique (…) Autant (que c’est) ardu et pénible des fois de plonger, d’arriver à se faire confiance et de faire fi du syndrome de l’imposteur des fois qui revient (…) c’est mon projet de cœur et c’est la passion première. Mais, le jeu, c’est quelque chose qui est arrivé dans ma vie et qui venait aussi avec le syndrome de l’imposteur, puisque je n’ai pas la formation. Mais, on dirait que Projet Innocence ça m’a fait… ça m’a permis de reconnecter avec cette passion-là (…) ça me permet d’être un petit peu plus pragmatique et calculée, parce que tu apprends tes textes, tu livres quelque chose et après tu passes à un autre appel. La musique, ça obsède, c’est toujours présent. Donc, je ne pourrais pas choisir, c’est juste vraiment différent, les deux m’amènent beaucoup!»
HPQ: «Tu as aussi une passion pour la mode!»
CB: «Oui, ben oui! En plus que là, depuis deux ans je travaille avec une styliste et ça… ça part en couille (…) On est devenus super proches, Laurence Morissette de son nom. Puis, les deux, on est passionnées de la mode, mais elle c’est à un autre niveau. L’avantage d’avoir une styliste c’est que tu peux élargir tes horizons et essayer des trucs que je n’aurais pas pensé! Elle me sort beaucoup de ma zone de confort et j’aime me faire sortir de ma zone de confort et elle, elle aime jouer avec ça. Donc, on est un bon mariage (…) j’adore expérimenter et oser.»
HPQ: «Comment tu définirais l’évolution de ton look dans les dernières années?»
CB: «Oh mon Dieu! Je pense que… ce qui est le fun, c’est de ne pas se limiter et moi je n’ai pas envie de me limiter! (…) En fait, ça part d’assumer (…) c’est par rapport à assumer ce que je porte!»
HPQ: «De ne pas avoir peur de ce que les gens vont dire?»
CB: «Non, exact, exact. Et j’aime pouvoir explorer dans le côté un petit peu plus féminin, sexy (…) On dirait qu’il y a une petite partie de moi qui est un peu… des fois c’est peut-être ma petite révolte personnelle de faire: Je peux être sexy et crédible! Longtemps, je me suis sentie pas crédible en étant femme et sexy, donc là, pour moi, c’est important de le faire et de ne pas être affectée par personne!»
HPQ: «2024 vient de commencer. As-tu pris des résolutions?»
CB: «Oui! Une de mes premières résolutions, cette année… j’ai envie de concrétiser et d’accomplir les choses que j’ai envie de faire. Exemple, ça fait des années que je dis que je veux faire de la poterie et je ne le fais pas. Donc, cette année, je prends un cours de poterie! (…) Cette année, j’ai envie de pouvoir découvrir de nouvelles affaires et essayer de nouvelles affaires, de le faire, de ne pas juste le dire! (…)»
Un grand merci à Claudia Bouvette pour sa générosité et ce bel entretien fort intéressant!
Ne manquez pas Projet Innocence, diffusée chaque mardi à 20h sur les ondes de Noovo.
Même s’il a raté les derniers mois de la saison en raison d’une opération au genou gauche, Juraj Slafkovsky n’a pas chômé pour autant, lui qui dit qu’il sera de retour à 100% pour le camp d’entraînement du Canadien en septembre prochain.
D’ailleurs, il a donné hier ses premiers coups de patin en solitaire après l’entraînement de son équipe.
Selon ce que rapportent les journalistes Arpon Basu et Marc-Antoine Godin de The Athletic, le Directeur du développement hockey du Canadien, Adam Nicholas, lui envoyait des vidéos spécifiques en lui demandant de les analyser et en soutirer tout ce qu’il peut.
Le joueur qui était analysé est nulle autre que l’attaquant vedette Matthew Tkachuk des Panthers de la Floride.
Gros bonhomme lui aussi, il sait se servir autant de son physique pour avoir un jeu robuste que de son talent pour marquer des buts, lui qui connait une deuxième saison consécutive de 100 points.
« Le Canadien avait élaboré un plan avec lui de manière à intégrer progressivement de nouvelles notions à son jeu. C’était un plan élaboré sur plus d’une saison qui a cependant été court-circuité par la blessure au genou gauche qu’il a subi le 15 janvier. Cela dit, au lieu de se tourner les pouces en attendant le jour où il pourrait sauter sur la glace – ce qu’il a d’ailleurs fait lundi – Slafkovský a passé du temps à analyser Des vidéos de Matthew Tkachuk que le Directeur du développement hockey du Canadien Adam Nicholas lui envoyait. L’ailier vedette des Panthers de la Floride est l’un des joueurs qui arrive le mieux dans la LNH à allier la composante physique du jeu aux habiletés offensives, et Nicholas l’a invité à regarder ce que Tkachuk faisait de bien. »
– Marc-Antoine Godin
Imaginez si le jeune attaquant de puissance du Canadien était capable de modeler son jeu en fonction de celui de Matthew Tkachuk. À 6’3″/238lbs, Slafkovsky pourrait potentiellement devenir un véritable monstre!
Âgé de 19 ans, Juraj Slafkovsky est le choix de 1ere ronde (1er total) du Canadien en 2022. Il a compilé une fiche de 4 buts et 6 passes pour un total de 10 points en 39 matchs cette saison.
Voyons voir de quoi aura l’air sa saison l’an prochain, lui qui dit ne pas être satisfait de ses performances cette saison et être capable d’en donner plus.
Toutes les fashionistas et les amoureux.ses de mode locale seront ravi.e.s de savoir que la Braderie de Mode québécoise est de retour pour un événement en présentiel. Les dernières éditions s’étaient déroulées virtuellement afin de respecter les contraintes liées à la pandémie.
Trois événements distincts auront lieu, soit à Gatineau (déjà passé), à Montréal et à Québec. L’événement à Montréal débutera dès le 14 octobre jusqu’au 17 octobre.
Plusieurs designers locaux seront présents lors de l’événement, comme Annie 50, Elisa C-Rossow, Iris Setlawke, Mercedes Morin et Meemoza. C’est le moment parfait pour faire le plein de vêtements et d’accessoires de designers à prix d’ami.
Évidemment, les règles sanitaires seront respectées et les passeports sanitaires seront demandés avant d’entrer. La Braderie aura lieu du 14 au 17 octobre au Marché Bonsecours, en plein cœur du Vieux-Montréal. Évidemment, plusieurs styles seront aussi disponibles en ligne pour les personnes qui ne peuvent pas se déplacer pour l’événement.
Pour plus d’infos sur cet événement et pour voir la liste complète des designers participants, cliquez ici.
Going In Style, le remake, est un projet qui attire beaucoup l’attention depuis quelque temps. Non seulement l’original film est encore considéré comme un classique, mais la distribution pour le remake commence à prendre forme et s’annonce prometteuse.
Déjà, Morgan Freeman et Michael Caine auraient confirmé leur participation au projet, qui raconte l’histoire d’un groupe d’hommes âgés qui trouvent le temps long et décident de se divertir en organisant un spectaculaire vol de banque.
C’est maintenant au tour de Dustin Hoffman d’entrer dans la danse spéculative en vue de l’un des rôles principaux de Going In Style, rapporte EmpireOnline.
Sur le plan de la réalisation, c’est toutefois le jeune Zach Braff qui semble en tête de liste, lui qui commence à se faire remarquer comme réalisateur depuis Garden State et Wish I Was Here.
La version de 1979 de Going In Style mettait en vedette d’autres légendes, soit George Burns, Art Carney et Lee Strasberg, et il semble que leurs successeurs auront autant de substance.
Aucune date de tournage ou de sortie n’a encore été avancée par la production.
Going In Style, le remake, est un projet qui attire beaucoup l’attention depuis quelque temps. Non seulement l’original film est encore considéré comme un classique, mais la distribution pour le remake commence à prendre forme et s’annonce prometteuse.
Déjà, Morgan Freeman et Michael Caine auraient confirmé leur participation au projet, qui raconte l’histoire d’un groupe d’hommes âgés qui trouvent le temps long et décident de se divertir en organisant un spectaculaire vol de banque.
C’est maintenant au tour de Dustin Hoffman d’entrer dans la danse spéculative en vue de l’un des rôles principaux de Going In Style, rapporte EmpireOnline.
Sur le plan de la réalisation, c’est toutefois le jeune Zach Braff qui semble en tête de liste, lui qui commence à se faire remarquer comme réalisateur depuis Garden State et Wish I Was Here.
La version de 1979 de Going In Style mettait en vedette d’autres légendes, soit George Burns, Art Carney et Lee Strasberg, et il semble que leurs successeurs auront autant de substance.
Aucune date de tournage ou de sortie n’a encore été avancée par la production.
La chanteuse et rappeuse Iggy Azalea serait déjà en proie à quelques crises de vedette, même si son statut de superstar est on ne peut plus récent et encore pour le moins précaire.
Azalea n’a pas esquissé le moindre sourire lors du tournage de l’émission House of Style, diffusée sur MTV, ce qui lui a valu quelques critiques. La nouvelle star est en effet la plus récente tête d’affiche de cette série sur la mode et le magasinage, mais il semble qu’elle ne soit pas tout à fait dans son élément.
Par chance, rapporte BANG Media International, son invitée Jennifer Lopez a été de l’avis de tous « un ravissement pour tout le monde », prenant le temps de sourire et de parler avec les personnes impliquées dans le projet et les fans que les deux artistes retrouvaient sur leur chemin.
Un contraste évident entre la nouvelle venue et la vétérane qu’est J. Lo, et un résultat qui risque d’être intéressant pour les téléspectateurs, quoi qu’en disent les détracteurs de l’interprète de Fancy.
La chanteuse et rappeuse Iggy Azalea serait déjà en proie à quelques crises de vedette, même si son statut de superstar est on ne peut plus récent et encore pour le moins précaire.
Azalea n’a pas esquissé le moindre sourire lors du tournage de l’émission House of Style, diffusée sur MTV, ce qui lui a valu quelques critiques. La nouvelle star est en effet la plus récente tête d’affiche de cette série sur la mode et le magasinage, mais il semble qu’elle ne soit pas tout à fait dans son élément.
Par chance, rapporte BANG Media International, son invitée Jennifer Lopez a été de l’avis de tous « un ravissement pour tout le monde », prenant le temps de sourire et de parler avec les personnes impliquées dans le projet et les fans que les deux artistes retrouvaient sur leur chemin.
Un contraste évident entre la nouvelle venue et la vétérane qu’est J. Lo, et un résultat qui risque d’être intéressant pour les téléspectateurs, quoi qu’en disent les détracteurs de l’interprète de Fancy.
Le talentueux et tordu Quentin Tarantino était de passage sur le plateau de Jay Leno pour mousser le roman graphique de Django Unchained, et en a profité pour parler de son prochain projet de film, rapporte Empire Online.
Le réalisateur acclamé par la critique et les fans a avoué d’emblée souhaiter faire un deuxième western, mais qui n’aura vraisemblablement aucun lien avec Django Unchained.
« Je n’ai dit ça à personne publiquement, mais je vais dire le genre : c’est un western. J’ai eu tellement de plaisir à faire Django, et j’aime tellement les westerns, qu’après avoir appris comment en faire un, je me dis : “OK, faisons-en un autre, maintenant que je sais ce que je fais” », lance Tarantino avec sa verve habituelle.
Aucun autre détail n’ayant été révélé par Tarantino sur ce prochain film, on ne peut maintenant que spéculer sur ses intentions.
Sur le web, il est étonnant de constater que plusieurs personnes souhaitent voir le réalisateur revenir à son genre de prédilection, et même offrir une suite à Kill Bill! Les puristes devront attendre, alors que le réalisateur semble déterminé à demeurer au Far West pour quelque temps.
Le talentueux et tordu Quentin Tarantino était de passage sur le plateau de Jay Leno pour mousser le roman graphique de Django Unchained, et en a profité pour parler de son prochain projet de film, rapporte Empire Online.
Le réalisateur acclamé par la critique et les fans a avoué d’emblée souhaiter faire un deuxième western, mais qui n’aura vraisemblablement aucun lien avec Django Unchained.
« Je n’ai dit ça à personne publiquement, mais je vais dire le genre : c’est un western. J’ai eu tellement de plaisir à faire Django, et j’aime tellement les westerns, qu’après avoir appris comment en faire un, je me dis : “OK, faisons-en un autre, maintenant que je sais ce que je fais” », lance Tarantino avec sa verve habituelle.
Aucun autre détail n’ayant été révélé par Tarantino sur ce prochain film, on ne peut maintenant que spéculer sur ses intentions.
Sur le web, il est étonnant de constater que plusieurs personnes souhaitent voir le réalisateur revenir à son genre de prédilection, et même offrir une suite à Kill Bill! Les puristes devront attendre, alors que le réalisateur semble déterminé à demeurer au Far West pour quelque temps.