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Ce test vous révélera le côté sombre de votre personnalité

Tout le monde a un côté plus sombre, mais on ne veut pas toujours se l’avouer… Mais il est toujours bon de se connaître!

Voici un petit test qui vous y aidera. C’est très facile! Regardez l’image suivante pendant quelques secondes et lisez l’interprétation associé à ce que vous aurez vu en premier.

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Un visage de la femme

Votre côté le plus négatif, c’est votre préoccupation concernant l’apparence et la richesse matérielle. Pour vous, l’important est limage que l’autre dégage et non son comportement.

Vous êtes à la limite de la superficialité quand vous jugez les gens. Votre grand intérêt pour la beauté et la richesse vous met parfois en fâcheuse situation.

Il vous arrive d’entrer en relation avec quelqu’un parce qu’il correspond aux standards physiques de la société, pour ensuite voir que vous n’êtes pas compatibles.

On vous suggère d’en finir avec ce trait de votre personnalité, car vous risquez de vous briser le coeur à nouveau et de subir des trahisons. Et ce, tant en amour qu’en amitié! Le physique et la richesse ne devraient pas orienter vos choix de relations.

Évidemment, on ne vous dit pas de former un couple avec une personne qui ne vous attire pas. Mais évitez de vous emballer seulement pour un physique qui correspond aux standards de la société.

Le visage d’une personne ne révèle pas ses valeurs et son attitude. Concentrez-vous sur le comportement des gens. À long terme, dans une relation, c’est l’intéraction qui compte. Le beauté s’en va, mais un lien fondé sur quelque chose de réel, non.

Cette tendance à vous rapprocher seulement des personnes qui ont un physique avantageux selon vous provient de votre quête d’acceptation.

Vous êtes à la recherche de la validation des personnes que vous pensez plus belles que vous, pour occulter vos complexes personnels.

Vous pensez que  réussir à construire une relation avec quelqu’un de beau ou de riche, signifie que vous avez de la valeur. 

C’est le moment d’entamer un vrai travail sur vous-même afin de vous entourer des bonnes personnes, sans tenir compte de leur physique. La superficialité  ne vous aide pas à vous sentir mieux dans votre peau. 

Écoutez plus votre votre intuition avant de juger les autres.

Un saxophoniste

Vous êtes probablement individualiste. Pour vous, c’est « chacun pour soi ». Travailler avec les autres et démontrer de l’empathie vous est difficile. Souvent, vous êtes focalisé.e sur vous-même. 

Vos besoins et intérêts passent avant ceux d’autrui. Ce n’est pas mal, mais il vaudrait mieux trouver un juste équilibre.   C’est primordial de se prioriser, mais il ne faut pas le faire au périment des autres et sans perte mesquin.e.

Il peut vous arriver de manipuler les gens pour arriver à vos fins. Ce n’est pas sain pour vous. Il faut savoir tempérer votre amour-propre.

On vous invite à développer votre empathie et votre considération pour les gens qui vous entourent. N’oubliez pas que des gens peuvent se sentir blessés par votre comportement. Il y a sûrement dans votre vie une personne qui compte réellement pour vous et que vous voudrez prioriser.

Les gens peuvent vous trouver passablement égoïste et égocentrique. Mais vous pouvez renverser la vapeur!

Pour cela, une longue et profonde introspection est nécessaire. Cela  vous permettra de mieux développer vos interactions sociales. On ne vous demande pas de vous oublier ou d’oublier vos propres besoins, mais d’évaluer si ces besoins  font plus de mal que de bien aux gens qui comptent pour vous.

Vous pouvez faire appel à un professionnel, qui pourra vous accompagner et faire un suivi du développement de votre empathie.

Entretenir de meilleurs rapports avec vos proches vous sera bénéfique!

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Mauvaise économie et nutrition ne font pas bon ménage

Il appert que nos habitudes alimentaires pourraient varier en fonction de la santé économique du pays où l’on se trouve, lance Top Santé.

Selon des spécialistes basés à Miami, en Floride, une économie nationale laborieuse et une période de crise seraient des facteurs qui mèneraient les citoyens à se tourner vers une alimentation moins saine et plus grasse.

Est-il possible de manger ses émotions de façon collective? C’est un peu ce que propose l’étude américaine. Pour étayer cette théorie, les chercheurs de la Miami School of Business ont étudié les comportements de plusieurs sujets, divisés en deux groupes.

Le premier groupe a été placé devant une version de chocolats (une marque bien connue) auxquels on prêtait un apport calorique plus élevé. Le deuxième groupe a quant à lui été placé devant les mêmes chocolats, mais en version allégée, affirmait-on. Bien sûr, tous les chocolats étaient en fait les mêmes.

On a ensuite soumis les deux groupes à une série d’images, certaines alarmistes et inquiétantes, et d’autres plus neutres, moins négatives.

Résultats : 70 % plus de bonbons caloriques ont été dévorés lorsque les sujets étaient placés devant les images agressives et négatives.

On expliquerait ce comportement, outre par le stress, par le besoin inconscient de « se faire des réserves » en période de crise.

Les conclusions de cette étude légère sont parues dans le magazine Psychological Science.