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Une marinade de bière pour des grillades sécuritaires

Même si le printemps se fait tardif et timide au Québec en ce moment, les deux belles saisons seront bientôt à nos portes et mettront la table pour les plaisirs estivaux, notamment celui des bons repas en plein air et des barbecues.

Un autre plaisir coupable en été est sans aucun doute celui de siroter une bonne bière, et une nouvelle étude propose une double utilité à la boisson pour ceux qui aiment bien s’installer au barbecue pour faire cuire leur viande.

Selon cette nouvelle étude, par ailleurs rapportée par ScienceDaily, il serait possible de se protéger de certaines substances et bactéries potentiellement dangereuses retrouvées dans la viande en été grâce à l’utilisation d’une marinade à base de bière.

La bière ainsi utilisée permettrait notamment de combattre la possible présence d’hydrocarbones aromatiques polycycliques (HAP ou PAH en anglais), qui se forment lorsqu’on cuit une viande à haute température.

Les chercheurs ont testé la théorie en effectuant la cuisson de portions de viande de porc à l’aide marinade de bière (Pilsner), de bière non alcoolisée et de bière noire. Cette dernière aurait permis d’obtenir les meilleurs résultats, réduisant les niveaux d’HAP de plus de la moitié.

Les conclusions de cette étude ont été publiées dans le Journal of Agricultural and Food Chemistry.

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L’air officiellement cancérigène, selon l’OMS

C’est une véritable bombe que ce rapport de l’OMS, alors que l’Organisation mondiale de la santé classe officiellement l’air ambiant comme une substance cancérigène, selon ce que rapporte The National Library of Medicine.

Alors que les cas de cancer semblent augmenter de façon constante, et ce, malgré les progrès stupéfiants de la médecine moderne et des sciences, on cherche à déterminer depuis longtemps les causes qui peuvent expliquer le phénomène.

L’une des théories persistantes est celle de l’air ambiant, respiré par tous, qui serait teinté de substances cancérigènes. Une théorie qui serait maintenant vérifiée et vérifiable, selon l’OMS.

« Notre tâche était d’évaluer l’air ambiant que tout le monde respire, plutôt que de mettre l’accent sur des polluants spécifiques. Les résultats de nos études pointent dans la même direction : le risque de développer un cancer du poumon est dramatiquement plus élevé chez les personnes soumises à la pollution de l’air », explique Dana Loomis dans un communiqué.

Bien entendu, cette notion est variable selon les régions du monde et la location géographique d’un individu, mais ces révélations ont de quoi décevoir et rendre pessimiste.

La Chine serait l’une des régions du monde les plus touchées par la pollution de l’air, à cause de son industrialisation effrénée, conclut aussi l’étude.

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Des plombages qui affectent le comportement

Des chercheurs de la Nouvelle-Angleterre qui ont étudié 534 enfants ont remarqué de minimes changements dans la façon d’être et d’agir de ces derniers, lorsque ceux-ci avaient au moins deux plombages à base de BPA.

Sur une période de cinq ans, il est ressorti que les enfants qui avaient le plus grand nombre de plombages à base de BPA avaient plus de problèmes émotionnels à la fin de l’enquête que ceux qui détenaient moins de ces plombages.

Les chercheurs ont également découvert qu’étrangement, il n’y avait pas de changements comportementaux chez les petits qui avaient d’autres types de garnitures, comme l’uréthane, pour leurs plombages, révèle l’étude qui paraîtra en août dans la revue Pediatrics.

Mentionnons que des études antérieures liaient le BPA à l’hyperactivité et au comportement agressif chez certains enfants.

Dans les années 90, rappelons que le BPA était devenu le pilier pour le traitement des caries, car la substance avait été dite beaucoup plus naturelle et sécuritaire que les amalgames contenant du mercure, explique le dentiste Burton Edelstein.

Bien que cette nouvelle étude soulève des inquiétudes, qu’une solution de rechange aux plombages à base de BPA devrait être envisagée et que l’étude ait trouvé une association entre les matériaux dans les obturations et les comportements, il n’y a pas de relation de cause à effet.

Des spécialistes suggèrent tout de même aux parents de choisir les plombages de leurs enfants avec un composite blanc sans BPA plutôt qu’argenté.

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Le thé aussi peut prévenir le cancer

Récemment, on disait que le café pouvait aider à prévenir le cancer du sein. Aujourd’hui, deux études démontrent qu’un composant du thé pourrait prévenir l’apparition de cellules cancéreuses dans le corps.
 
La première étude de chercheurs du New Jersey a évalué la théaflavine-2 (TF-2), le composé du thé noir.
 
On a constaté qu’elle avait la capacité de tuer les cellules cancéreuses en stimulant un rétrécissement cellulaire pendant un traitement. De plus, elle supprime l’activité d’un gène qui induit l’enzyme cyclo-oxygénase 2 en diminuant l’activité des molécules qui causent l’inflammation.
 
La deuxième étude, effectuée en Inde cette fois, s’est penchée sur les effets des polyphénols contenus dans le thé noir et le thé vert. On remarque une réduction de la tumeur de 77 % et la croissance de celle-ci peut chuter de 92 %.

Les chercheurs doivent toutefois effectuer plus d’essais avant de donner des conclusions définitives sur les effets du thé contre le cancer.

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Une substance contre les cellules cancéreuses

Une recherche dont les résultats sont publiés dans la revue médicale Cell nous apprend la découverte de la salinomycine, une substance médicamenteuse qui s’attaque aux cellules cancéreuses et empêche ainsi la propagation de la tumeur.

Les travaux ont été menés par le Dr Robert Weinberg, membre du Whitehead Institute for Biomedical Research, et son équipe sur des souris atteintes de tumeurs cancéreuses malignes et résistantes aux traitements habituels.

Les scientifiques ont découvert que la salinomycine peut réduire la quantité de cellules-souches cancéreuses 100 fois plus que le paclitaxel, une molécule fréquemment utilisée pour traiter les cancers.

Ces derniers ignorent toutefois le mécanisme pour expliquer l’efficacité de la substance et recommandent d’autres études pour vérifier si elle le sera tout autant chez les humains.