Certains yogourts et en particulier deux de leurs ingrédients, le D-lactate et le glycolate, pourraient avoir des effets « magiques » sur les maladies neurodégénératives comme la maladie de Parkinson.
Des chercheurs allemands de l’Institut Max-Planck ont découvert que ceux-ci pourraient ralentir, voire arrêter la détérioration des neurones.
La trouvaille scientifique pourrait grandement aider les gens souffrant du Parkinson, car dans leur cas, les neurones meurent lentement et graduellement pour faire place à une perte de contrôle des mouvements et du corps.
Le D-lactate et glycolate auraient donc des capacités jusqu’ici insoupçonnées et seraient en mesure de maintenir l’activité des mitochondries des neurones qui habituellement cesse en présence de Parkinson.
Top Santé révèle que l’étude a été réalisée sur des cellules de C. elegans qui sont en fait des vers qui servent de modèles en biologie moléculaire. Ils sont souvent utilisés par les scientifiques pour étudier le vieillissement et la mort cellulaire.
Environmental Working Group (EWG), un groupe de recherche et de pression américain, explique que les femmes s’exposent à environ 168 substances chimiques, présentes dans leurs produits de beauté, au quotidien.
En 2004, EWG a lancé sa propre base de données appelée Skin Deep, qui recense les ingrédients potentiellement dangereux présents dans quelque 78 00 produits vendus aux États-Unis.
Le groupe de pression vient de lancer son application, appelée Skin Deep, compatible iOS et Android. Elle permet de visualiser les ingrédients présents dans ses produits préférés, grâce à une base de données et à un scanneur de code-barres.
Une application similaire, Think Dirty, est récemment sortie sur iOS. Elle est gratuite et permet aussi de scanner ses produits. Elle comprend des données provenant d’ONG comme EWG, mais aussi des gouvernements canadien, américain et européen. Elle contient à ce jour des informations sur plus de 12 000 produits cosmétiques.
Les substances toxiques de l’environnement ayant le lien le plus évident avec l’obésité, les syndromes métaboliques et le diabète sont les biphényles polychlorés (BCP) ainsi que les pesticides chlorés, des produits interdits d’utilisation depuis des décennies.
Ces substances toxiques sont appelées polluants organiques persistants, car ils restent longtemps dans l’organisme et s’accumulent avec le temps. En fait, les experts soutiennent qu’elles restent de 50 à 75 ans dans le corps.
Des études japonaises ont démontré qu’un haut niveau de BPC pouvait entraîner un diabète de type 2, puisqu’il cause une hausse du taux de sucre dans le sang.
Or, la plus grande source de ces composés toxiques pour l’humain est le saumon d’élevage.
Cependant, depuis qu’il a été prouvé que le poisson réduit les risques de maladies cardiaques, sa consommation a nettement augmenté.
Rappelons que pour connaître la provenance du poisson que vous achetez, il est possible de demander à votre poissonnier, si l’endroit où il a été pêché n’est pas indiqué sur l’étiquette.